Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
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- Xue ShenJoueur
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Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Jeu 26 Nov - 15:12
XUE Shen & ORLOV ElenaSocial
Finances limités.
De l'argent, c'était la préoccupation principale de ce jeune chinois loin de son pays. Après tout, l'atelier détruit, et le manque d’expérience l'empêchant de faire des donjons en solitaire, les sources de revenues étaient moindres. Les indemnités liées à la destruction de l'atelier de sa famille n'étaient pas vraiment assez pour couvrir les réparation et ses dépenses quotidiennes. Il n'était donc pas si rare que ça de le voir voir faire des petits boulots ici et là dans la vaste ville de Tokyo. Bon, ce n'était rien de bien fou la plupart du temps, des petits boulots pour la plupart assez ennuyeux, bien éloignés de son rêve. Mais bon, il fallait faire ce qu'il fallait pour survivre, enfin, en restant dans la légalité tout de même. Il s'étira calmement en lisant le journal, fouillant principalement dans les petites annonces de travail. Ironiquement, il y en avait une pour la rénovation d'un bâtiment, apparemment détruit en grande partie par une dispute entre rangs S.
- Ça feras l'affaire.. Je peut pas vraiment me permettre d'être pointilleux sur les offres d'emplois après tout, c'est pas comme si je pouvais juste entrer dans un portail en solo et tout défoncé.
Il enfila alors une tenue un peu plus ample, après tout il ne voudrait pas forcement prendre sa tenue de chasseur pour un travail de maçon, ou allez savoir ce qu'il allait faire la bas. De toute façon ce n'était pas si important, après tout en tant qu'éveillé, il était dans tous les cas plus fort qu'un humain lambda, alors il ne perdait rien à tenter, si ? Surtout que c'était seulement l'affaire d'une petite journée, alors bon. Il avait un peu de temps devant lui, donc autant déjà se rendre sur place pour venir voir comment ça se déroule, ce genre de choses, non ? La route fût calme, paisible même, à cette heure de la journée les rues sont bien plus agréables... Pas noires de monde, pas bruyantes... Pas de voitures toutes les trois secondes, mais surtout, pas de monde.Toutefois, sur sa route, il remarqua un carton bien étrange, perdu à l'angle d'une ruelle, visiblement laisser sur place, un carton qui remuait, comme vivant, jusqu'à ce qu'une petite tête féline sombre en dépasse. Un chaton à l’abandon. Un long soupire traverse les lèvres du lancier, qui tente de se retenir , pour finalement craquer et s'accroupir devant le carton, caressant la tête de l'animal qui se mit à ronronner en lâchant un petit miaulement, se frottant par la suite de lui-même contre la main tendue. Il se leva ensuite et fonça à la boulangerie la plus proche chercher de quoi grignoter pour la petite boule de poile sombre, le nourrissant finalement peu à peu, ignorant les regards étranges des passants qui se disaient visiblement qu'ignoré le chaton était la meilleure solution. Et on s'étonnait après qu'il n'aimait pas le monde.
- Pauvre petite chose... Malheureusement, je dois me nourrir moi aussi..
Il se leva alors doucement, s'étirant un peu alors que le chat se frottait à sa jambe en miaulant, le faisant pester un peu, lui faisant des dignes de mains de toute évidence peu motivé pour l'éloigné, ce qui eût l'effet inverse, la boule de poile sautant et s'installant dans la poche intérieure de sa veste. Abandonnant, il reprit sa route, jusqu'à finalement rejoindre l'endroit indiquer sur l'annonce, le chaton décidant de faire sortir sa tête.
- Gnn.. Non reste caché ! Qu'es-ce qu'on va penser de moi si je ramène un chaton abandonné sur mon lieux de travail Yinying !
Oui, il l'avait déjà baptisé, essayant tant bien que mal de faire en sorte que la boule de poile très affective et joueuse, ne se cache de nouveau.
- Ça feras l'affaire.. Je peut pas vraiment me permettre d'être pointilleux sur les offres d'emplois après tout, c'est pas comme si je pouvais juste entrer dans un portail en solo et tout défoncé.
Il enfila alors une tenue un peu plus ample, après tout il ne voudrait pas forcement prendre sa tenue de chasseur pour un travail de maçon, ou allez savoir ce qu'il allait faire la bas. De toute façon ce n'était pas si important, après tout en tant qu'éveillé, il était dans tous les cas plus fort qu'un humain lambda, alors il ne perdait rien à tenter, si ? Surtout que c'était seulement l'affaire d'une petite journée, alors bon. Il avait un peu de temps devant lui, donc autant déjà se rendre sur place pour venir voir comment ça se déroule, ce genre de choses, non ? La route fût calme, paisible même, à cette heure de la journée les rues sont bien plus agréables... Pas noires de monde, pas bruyantes... Pas de voitures toutes les trois secondes, mais surtout, pas de monde.Toutefois, sur sa route, il remarqua un carton bien étrange, perdu à l'angle d'une ruelle, visiblement laisser sur place, un carton qui remuait, comme vivant, jusqu'à ce qu'une petite tête féline sombre en dépasse. Un chaton à l’abandon. Un long soupire traverse les lèvres du lancier, qui tente de se retenir , pour finalement craquer et s'accroupir devant le carton, caressant la tête de l'animal qui se mit à ronronner en lâchant un petit miaulement, se frottant par la suite de lui-même contre la main tendue. Il se leva ensuite et fonça à la boulangerie la plus proche chercher de quoi grignoter pour la petite boule de poile sombre, le nourrissant finalement peu à peu, ignorant les regards étranges des passants qui se disaient visiblement qu'ignoré le chaton était la meilleure solution. Et on s'étonnait après qu'il n'aimait pas le monde.
- Pauvre petite chose... Malheureusement, je dois me nourrir moi aussi..
Il se leva alors doucement, s'étirant un peu alors que le chat se frottait à sa jambe en miaulant, le faisant pester un peu, lui faisant des dignes de mains de toute évidence peu motivé pour l'éloigné, ce qui eût l'effet inverse, la boule de poile sautant et s'installant dans la poche intérieure de sa veste. Abandonnant, il reprit sa route, jusqu'à finalement rejoindre l'endroit indiquer sur l'annonce, le chaton décidant de faire sortir sa tête.
- Gnn.. Non reste caché ! Qu'es-ce qu'on va penser de moi si je ramène un chaton abandonné sur mon lieux de travail Yinying !
Oui, il l'avait déjà baptisé, essayant tant bien que mal de faire en sorte que la boule de poile très affective et joueuse, ne se cache de nouveau.
- Elena OrlovJoueur
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Date d'inscription : 18/10/2020
Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Mar 1 Déc - 23:03
- Donc, tu est entrain de me dire qu’une cocotte comme toi à les bras nécessaires pour ce travail ?
L’avantage d’être une freelance avec plusieurs années à son service, c’est que si on est un minimum connu dans le quartier, rare sont ceux qui refusent de la main-d’œuvre volontaire, après tout, les propriétaires sont humains, alors parler d’une personne en particulier peut arriver pendant une conversation quelconque.
- Quoi ? Il vous faut une preuve ? Les femmes ne peuvent pas faire le même travail que les hommes ?
Hélas, ce n’est pas forcément le cas sur ce coup.
Je connais la chanson à force : tu es une femme, les boulots physiques ne sont pas pour toi, retourne travailler au supermarché, etcetera etcetera… À force, j’ai développé une tactique parfaite qui est de se ressasser une musique en tête tout en les laissant parler.
Certes, je peux répliquer, certes, je peux leur casser les genoux, mais après ? Je dois me nourrir, j’ai des factures d’eau, d’électricité, de l’hôpital et le loyer. Je me suis déjà rebellée une fois contre un de ces crétins où j’étais en temps plein, il a fait la blague de trop et il en a pris pour son grade.
Le plaisir de mettre mon poing dans sa gueule était immense, surtout en voyant sa tête…
Puis après, j’ai été virée et je n’ai pas retrouvé d’emploi pour les 3 prochains mois. J’ai cher payé ce petit moment de dérapage, la rue m’attendais et pas un pour te tendre la main.
Bienvenue dans le monde des adultes, c’est manger ou être mangé, tuer ou être tué.
- Eh là petite, tu va te calmer, sinon direction la porte.
L’envie de claquer ma langue fit surface, mais je me retiens.
Le ton que j’ai utilisé avait l’air d’être peu à son goût, il avait l’air d’être du style à vouloir compenser ses maigres capacités avec une grande gueule.
- Mes excuses.
- J’aime mieux ça.
Soupire, bon tu as un job bien payé ou je m’en vais ? Ce genre de boulot rapportait pas mal la journée, surtout quand ça doit être fait vite, dis-moi que tu as un truc.
- Bon, vu que tu as l’air d’avoir une grande gueule, je suppose que tu as confiance en tes capacités ?
Parle pour toi, tu veux jouer à celui qui a la plus grosse ?
- Va voir le superviseur, il te dira quoi faire. Par contre, si j’entends le moindre-
Blablabla, aller, dis-moi quand je peux y aller.
---------------
- Et hop.
L’un des rares moments où je remercie d’être une éveillée, c’est dans ce genre de situation. Être capable et multifonctions, c’est bien, mais être capable, multifonctions et costaud, c’est mieux.
Les sacs de grains pour le ciment aux bras, je me dirigeais ensuite vers le mortier sous le regard de mes collègues de la journée.
Comme quoi, se retenir de casser des gueules et prouver ce que l’on sait faire sur le terrain est bien mieux : on garde son job et on ferme des clapais, une pierre deux coups.
- Hop là…
- Eh petite, j’ai besoin de bras par ici, tu viens ?
- Tout de suite.
En plus de gagner en reconnaissance.
L’avantage d’être une freelance avec plusieurs années à son service, c’est que si on est un minimum connu dans le quartier, rare sont ceux qui refusent de la main-d’œuvre volontaire, après tout, les propriétaires sont humains, alors parler d’une personne en particulier peut arriver pendant une conversation quelconque.
- Quoi ? Il vous faut une preuve ? Les femmes ne peuvent pas faire le même travail que les hommes ?
Hélas, ce n’est pas forcément le cas sur ce coup.
Je connais la chanson à force : tu es une femme, les boulots physiques ne sont pas pour toi, retourne travailler au supermarché, etcetera etcetera… À force, j’ai développé une tactique parfaite qui est de se ressasser une musique en tête tout en les laissant parler.
Certes, je peux répliquer, certes, je peux leur casser les genoux, mais après ? Je dois me nourrir, j’ai des factures d’eau, d’électricité, de l’hôpital et le loyer. Je me suis déjà rebellée une fois contre un de ces crétins où j’étais en temps plein, il a fait la blague de trop et il en a pris pour son grade.
Le plaisir de mettre mon poing dans sa gueule était immense, surtout en voyant sa tête…
Puis après, j’ai été virée et je n’ai pas retrouvé d’emploi pour les 3 prochains mois. J’ai cher payé ce petit moment de dérapage, la rue m’attendais et pas un pour te tendre la main.
Bienvenue dans le monde des adultes, c’est manger ou être mangé, tuer ou être tué.
- Eh là petite, tu va te calmer, sinon direction la porte.
L’envie de claquer ma langue fit surface, mais je me retiens.
Le ton que j’ai utilisé avait l’air d’être peu à son goût, il avait l’air d’être du style à vouloir compenser ses maigres capacités avec une grande gueule.
- Mes excuses.
- J’aime mieux ça.
Soupire, bon tu as un job bien payé ou je m’en vais ? Ce genre de boulot rapportait pas mal la journée, surtout quand ça doit être fait vite, dis-moi que tu as un truc.
- Bon, vu que tu as l’air d’avoir une grande gueule, je suppose que tu as confiance en tes capacités ?
Parle pour toi, tu veux jouer à celui qui a la plus grosse ?
- Va voir le superviseur, il te dira quoi faire. Par contre, si j’entends le moindre-
Blablabla, aller, dis-moi quand je peux y aller.
---------------
- Et hop.
L’un des rares moments où je remercie d’être une éveillée, c’est dans ce genre de situation. Être capable et multifonctions, c’est bien, mais être capable, multifonctions et costaud, c’est mieux.
Les sacs de grains pour le ciment aux bras, je me dirigeais ensuite vers le mortier sous le regard de mes collègues de la journée.
Comme quoi, se retenir de casser des gueules et prouver ce que l’on sait faire sur le terrain est bien mieux : on garde son job et on ferme des clapais, une pierre deux coups.
- Hop là…
- Eh petite, j’ai besoin de bras par ici, tu viens ?
- Tout de suite.
En plus de gagner en reconnaissance.
- Xue ShenJoueur
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Date d'inscription : 24/11/2020
Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Mer 2 Déc - 10:02
XUE Shen & ORLOV ElenaSocial
Finances limités.
Shen soupire un peu et dépose le chaton sur un muret, avant de lui caresser la tête. Il secoua la tête doucement pour lui faire comprendre qu'il ne pouvait pas le suivre. Après tout, pas sûr qu'un chantier soit l'environnement le plus... Safe, pour un chaton perdu. Enfin d'un côté le ressortissant chinois espérait un peu qu'il n'attende pas, parce que se connaissant, il craquerait et le ramènerait chez lui. Le problème c'est que s'il faisait ça avec tous les chatons perdus qu'il croisait, il ne s'en sortirait pas financièrement, déjà qu'il avait du mal à joindre les deux bouts... Il devrait vraiment songer à se trouver un petit boulot stable, ou devenir plus fort, pour rentabilisé ses sorties dans les dojons.
- Voilà, tu ne bouge pas d'ici Yinying, compris ? Ou alors tu bouge, mais pas là où je vais, c'est dangereux !
Après cet argumentation à sens unique avec un chat, le chinois pris enfin la direction du chantier, pour prendre le petit boulot qu'il avait vu dans l'annonce, là, on l'envoya voir le superviseur. Enfin, quand il arriva, il semblait être occupé, alors patienter serait s^purement la chose à faire, n'est-ce pas ? Il ferma un peu les yeux, réfléchissant à comment agir une fois qu'il se présenterait, l'avantage étant qu'il n'avait pas besoin de justifier son retard, il pouvait juste dire qu'il était occupé au moment de son arrivée. Il remarqua alors un petit problème, oh très léger, rien de bien méchant.. Il y avait juste un groupe qui semblait transporter quelque chose, et semblait à deux doigts de se faire écrabouillé par une poutre qui menaçait de tombée...
- Heu... Patron ?
Il tentait forcement d'interpellé le chef de chantier, même si celui-ci semblait ne pas l'entendre.. Soit, pas le choix alors. Soupirant, il prit une impulsion et se déplaça jusqu'au groupe, les poussant un par un hors de portée de la poutre, avant de sauté d'un petit bond en arrière, une main dans la poche, l'autre servant à empêcher la poutre maintenant figée dans le sol de basculée vers l'un des employés, alors qu'un soupire traversa ses lèvres.. Heureusement qu'un chasseur était plus fort, plus rapide et tout le blabla qu'un être humain lambda. Mais ce qui suivit le laissa béa. Les employés, saufs, se mirent à partir en hurlant.
- O.. Oy ? Les gars ? Vous.. Vous allez pas me laisser en plan comme ça avec une poutre quand même ?!
Il soupira et laisse la poutre tomber au sol, plongeant son autre main dans sa poche droite, roulant des yeux avec un air dépité sur le visage, et pour cause. Il était sauvés, alors pourquoi prendre la poudre d'escampette comme ça, sérieusement ? C'est avant qu'il fallait se faire dessus!Enfin, ce n'est pas comme s'il ne comprenait pas du tout, lui aussi avant d'être chasseur se serait sûrement fait dessus, mais sur le coup pas après !
- Y as pas de quoi surtout, hein ?
Il soupire un peu alors que le superviseur du chantier arrive vers lui, le regardant de bars en haut, alors que Shen s'inclina finalement poliment devant lui. Après tout son but de base, c'était d'avoir un petit boulot, alors bon..
- Oh ? C'est toi le ptit nouveau ? Je pensais que c'était la gamine qui fait des merveilles là bas, mais visiblement, t'es pas sans reste non plus niveau force dans les bras hein ? Suit moi, on as jamais assez de mains avec ce merdier de toute façon.
Calmement, il suivit donc le patron, rejoignant la fameuse « gamine », s'inclinant un peu devant elle en guise de salutation, avant de regarder la montagne de maternité en tout genre visiblement en attente de transport dans une autre partie du chantier et.. Le camion à la roue cassée. Il comprenait un peu mieux la situation pour le coup.. Le vieillard lui expliqua donc ce qu'il devait faire, prendre les sac de sables, ciments et graviers de l'épave, et les transportés à l'arrière du bâtiment. Hochant la tête, il prit un sac sous chaque bras et pris la direction de l'endroit indiqué en soupirant,, c'est une fois presque arrivé qu'il senti un poids sur son épaule, Yinying avait finalement décidé de le rejoindre, assit fièrement sur l'épaule du lancier.
- Voilà, tu ne bouge pas d'ici Yinying, compris ? Ou alors tu bouge, mais pas là où je vais, c'est dangereux !
Après cet argumentation à sens unique avec un chat, le chinois pris enfin la direction du chantier, pour prendre le petit boulot qu'il avait vu dans l'annonce, là, on l'envoya voir le superviseur. Enfin, quand il arriva, il semblait être occupé, alors patienter serait s^purement la chose à faire, n'est-ce pas ? Il ferma un peu les yeux, réfléchissant à comment agir une fois qu'il se présenterait, l'avantage étant qu'il n'avait pas besoin de justifier son retard, il pouvait juste dire qu'il était occupé au moment de son arrivée. Il remarqua alors un petit problème, oh très léger, rien de bien méchant.. Il y avait juste un groupe qui semblait transporter quelque chose, et semblait à deux doigts de se faire écrabouillé par une poutre qui menaçait de tombée...
- Heu... Patron ?
Il tentait forcement d'interpellé le chef de chantier, même si celui-ci semblait ne pas l'entendre.. Soit, pas le choix alors. Soupirant, il prit une impulsion et se déplaça jusqu'au groupe, les poussant un par un hors de portée de la poutre, avant de sauté d'un petit bond en arrière, une main dans la poche, l'autre servant à empêcher la poutre maintenant figée dans le sol de basculée vers l'un des employés, alors qu'un soupire traversa ses lèvres.. Heureusement qu'un chasseur était plus fort, plus rapide et tout le blabla qu'un être humain lambda. Mais ce qui suivit le laissa béa. Les employés, saufs, se mirent à partir en hurlant.
- O.. Oy ? Les gars ? Vous.. Vous allez pas me laisser en plan comme ça avec une poutre quand même ?!
Il soupira et laisse la poutre tomber au sol, plongeant son autre main dans sa poche droite, roulant des yeux avec un air dépité sur le visage, et pour cause. Il était sauvés, alors pourquoi prendre la poudre d'escampette comme ça, sérieusement ? C'est avant qu'il fallait se faire dessus!Enfin, ce n'est pas comme s'il ne comprenait pas du tout, lui aussi avant d'être chasseur se serait sûrement fait dessus, mais sur le coup pas après !
- Y as pas de quoi surtout, hein ?
Il soupire un peu alors que le superviseur du chantier arrive vers lui, le regardant de bars en haut, alors que Shen s'inclina finalement poliment devant lui. Après tout son but de base, c'était d'avoir un petit boulot, alors bon..
- Oh ? C'est toi le ptit nouveau ? Je pensais que c'était la gamine qui fait des merveilles là bas, mais visiblement, t'es pas sans reste non plus niveau force dans les bras hein ? Suit moi, on as jamais assez de mains avec ce merdier de toute façon.
Calmement, il suivit donc le patron, rejoignant la fameuse « gamine », s'inclinant un peu devant elle en guise de salutation, avant de regarder la montagne de maternité en tout genre visiblement en attente de transport dans une autre partie du chantier et.. Le camion à la roue cassée. Il comprenait un peu mieux la situation pour le coup.. Le vieillard lui expliqua donc ce qu'il devait faire, prendre les sac de sables, ciments et graviers de l'épave, et les transportés à l'arrière du bâtiment. Hochant la tête, il prit un sac sous chaque bras et pris la direction de l'endroit indiqué en soupirant,, c'est une fois presque arrivé qu'il senti un poids sur son épaule, Yinying avait finalement décidé de le rejoindre, assit fièrement sur l'épaule du lancier.
- Elena OrlovJoueur
- Messages : 36
Date d'inscription : 18/10/2020
Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Sam 5 Déc - 23:00
Une cannette de soda dans la main, un sac de sable servant de siège, un panier repas dans l’autre... ce n’était pas du luxe, mais ça faisait l’affaire. Mon travail avait débuté dans la matinée et ayant bien avancer, on m’autorisa à prendre une pause après ma magnifique prouesse de la veille.
« Tu as une grande gueule, mais tu a ce qu’il faut pour la maintenir, ça me plaît » qui disait. Eh bien, il ne m’avait pas tapé dans l’œil au début, mais je pouvais au moins dire qu’il savait être un minimum respectable, c’est déjà ça.
Mon regard traîna ici et là sur le chantier, le temps de digérée avant de continuer.
- Sacrée bordel en effet.
Si ma mémoire ne me jouait pas des tours, ce n’était pas un chantier prévu à la base. La raison ? 2 rangs S se sont prit de mouche et en voila le résultat : des trous ici et là, des poutres en moins, des murs en morceaux,… un beau bordel en résultat et du travail offert.
- Par contre, raison de plus pour les évités.
Imaginer être aux côtés de ce genre de gars pouvant faire effondrer des immeubles au moindre pet de travers ? Non merci, j’ai peut être un tempérament explosif, néanmoins, j’ai un instinct de survie… Même si ça serait difficile de ne pas l’ouvrir pour dire deux / trois trucs.
- Au moins, ce genre d’histoire rapporte. Le malheur des uns font le bonheur des autres.
Vidant la canette de soda d’une traite avant de la ranger avec le reste de mes affaires, je me laissais perdre dans mes pensées, méditant sur tout et n’importe quoi, factures, nouveaux artistes,… des broutilles en quelque sorte… Hm ? Un nouveau venu ? Et poli ? Eh bien, c’est rare de nos jours. Physique ? Pas mauvais, le genre sympathique avec un minimum actif au niveau sport.
Je lui répond d’un signe de tête, voulant gagner encore quelques minutes avant de m’y remettre.
Savoir se reposer est important dans le milieu.
Ah… Peut être pas finalement, je sens le regard acéré du patron...
Me concentrant sur la tâche à faire, j’attrape aussitôt deux sacs avant de les mettre sur les épaules, tachant de les garder correctement dessus. Ma nouvelle charge en place, je rattrapais le nouveau qui commençait à jouer avec son présumer animal de compagnie.
C’est mignon, mais si on te voyait à tirer au flan, tu prendras un coup sur le salaire.
- Je te conseil de le mettre autre part, à moins que tu ne souhaite qu’il finisse sous une roue ou que l’on te vire pour ne pas faire ce que l’on te dit.
En effet, ce ne sont pas mes affaires, s’il se faisait botter le derrière avec pas un sou en prime, je le pleurerais pas, Néanmoins, je n’étais pas assez cruel pour ne rien lui dire, il ne m’avait pas l’air d’être le genre de gars à avoir de l’expérience dans le milieu… ou pas ici en tout cas.
- Après tout, il y en a plusieurs qui prendront ta place si tu échoue.
Déposant les 2 colis au lieu désigner, je repris la route pour poursuivre ma besogne.
« Tu as une grande gueule, mais tu a ce qu’il faut pour la maintenir, ça me plaît » qui disait. Eh bien, il ne m’avait pas tapé dans l’œil au début, mais je pouvais au moins dire qu’il savait être un minimum respectable, c’est déjà ça.
Mon regard traîna ici et là sur le chantier, le temps de digérée avant de continuer.
- Sacrée bordel en effet.
Si ma mémoire ne me jouait pas des tours, ce n’était pas un chantier prévu à la base. La raison ? 2 rangs S se sont prit de mouche et en voila le résultat : des trous ici et là, des poutres en moins, des murs en morceaux,… un beau bordel en résultat et du travail offert.
- Par contre, raison de plus pour les évités.
Imaginer être aux côtés de ce genre de gars pouvant faire effondrer des immeubles au moindre pet de travers ? Non merci, j’ai peut être un tempérament explosif, néanmoins, j’ai un instinct de survie… Même si ça serait difficile de ne pas l’ouvrir pour dire deux / trois trucs.
- Au moins, ce genre d’histoire rapporte. Le malheur des uns font le bonheur des autres.
Vidant la canette de soda d’une traite avant de la ranger avec le reste de mes affaires, je me laissais perdre dans mes pensées, méditant sur tout et n’importe quoi, factures, nouveaux artistes,… des broutilles en quelque sorte… Hm ? Un nouveau venu ? Et poli ? Eh bien, c’est rare de nos jours. Physique ? Pas mauvais, le genre sympathique avec un minimum actif au niveau sport.
Je lui répond d’un signe de tête, voulant gagner encore quelques minutes avant de m’y remettre.
Savoir se reposer est important dans le milieu.
Ah… Peut être pas finalement, je sens le regard acéré du patron...
Me concentrant sur la tâche à faire, j’attrape aussitôt deux sacs avant de les mettre sur les épaules, tachant de les garder correctement dessus. Ma nouvelle charge en place, je rattrapais le nouveau qui commençait à jouer avec son présumer animal de compagnie.
C’est mignon, mais si on te voyait à tirer au flan, tu prendras un coup sur le salaire.
- Je te conseil de le mettre autre part, à moins que tu ne souhaite qu’il finisse sous une roue ou que l’on te vire pour ne pas faire ce que l’on te dit.
En effet, ce ne sont pas mes affaires, s’il se faisait botter le derrière avec pas un sou en prime, je le pleurerais pas, Néanmoins, je n’étais pas assez cruel pour ne rien lui dire, il ne m’avait pas l’air d’être le genre de gars à avoir de l’expérience dans le milieu… ou pas ici en tout cas.
- Après tout, il y en a plusieurs qui prendront ta place si tu échoue.
Déposant les 2 colis au lieu désigner, je repris la route pour poursuivre ma besogne.
- Xue ShenJoueur
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Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Dim 6 Déc - 10:07
XUE Shen & ORLOV ElenaSocial
Finances limités.
Soupirant un peu, le lancier écoutait les propos de sa collègue, grattant doucement le menton du chaton avec un doigt. Il ne le savait que trop bien, mais l'animal ne semblait pas vraiment enclin à écouté. Il ferma un peu les yeux, attrapant le chaton doucement, pour le poser au sol, le regardant alors que celui-ci s’asseyait en penchant un peu la tête sur le côté droit.
- Allez, oust, file d'ici Yinying !
Se faisant , le lancier faisait de grands mouvements de la main pour inciter l'animal à partir, ce qui se fit peu de temps après, au grand soulagement du joueur. Soupirant un peu, il ramassa le sac de ciment et reprit donc la direction de la zone de dépôt, baillant même un peu sur le chemin. Enfin, il ne s'en faisait pas trop pour son salaire, il n'était là que pour une journée, et puis, en regardant autour de lui, un employé temporaire qui s'occupe de son chat serait bientôt le cadet de ses soucis. Il ralentit un peu, pour rester au niveau de sa collègue.
- Je ne m'en fait pas trop à ce sujet, s'il réagit pas vite il y auras un mort ou deux sur le chantier avant la fin de la matinée. Donc je serais probablement le cadet de ses soucis.
Pour appuyer ses dires, il désigna d'un simple mouvement de tête un tas de poutre entreposées au sommet d'un toit de l'un des bâtiments inachevé. A première vue, rien de bien méchant, mais en regardant de plus près, il était possible de voir que la sangle maintenant le tout était dangereusement usée. Menaçant de se brisée à tout moment, Shen savait très bien ce qu'il se passerait si cela venait à arrivé, sûrement un mort ou deux au passage, quelques blessés peut-être, et un gros retard sur le chantier. Mais bon, ce n'était pas son problème, il n'était pas payer pour faire le travail des inspecteurs, lui, il était payé pour transporter des sacs.
- Mais bon, c'est pas vraiment mon problème, je ne suis pas payer pour faire le travail des autres, et puis je en connaît aucun d'eux, et vu les regards qu'ils m'ont offert à mon arrivée.. Meh, j'ai pas vraiment envie de leur sauver les miches.
Le genre de regard qui commençait doucement à l'énerver avec le temps. Il est chinois, c'est bon, faites vous une raison, cela fait plusieurs années maintenant qu'il vit au Japon, et qu'il est même naturalisé. Mais visiblement, demander à certaines personnes de voir par dessus l'aspect physique, c'est déjà beaucoup demander, donc pourquoi il s’embêterait avec eux ? Le monde serait débarrassé de personnes fortement désagréables,e t ça ne l'empêcherait pas vraiment de dormir la nuit.
- Une femme et un étranger, c'est comme ça qu'ils nous voient, pour nous, ils lèveraient pas le petit doigt si la situation était inversé, donc pourquoi je lèverait le mien ? Et puis je n'est pas envie de me prendre la tête avec le chef en lui expliquant que son travail est mal fait. Au mieux, il m'enverrait boulet en me disant qu'il sait ce qu'il fait, au pire, il me virerait en me remplaçant par quelqu'un qui dirait pas que son boulot est mal fait, après tout, c'est pas les candidats qui manques comme tu l'as dit plus tôt, hm ?
Et puis, personne n'avait été là le jour ou sa famille est morte, pourtant, les rues n'étaient pas vides. Mais non, personne, absolument personne, n'avait levé le petit doigt. D'autant plus que si l'inspecteur du bâtiment avait fait son travail correctement, il aurait remarqué les problèmes structuraux de la bâtisse, et l'incident aurait pût être évité. Ou e tout cas, ils ne seraient pas tous mort dans l’effondrement. Il ferma les yeux en reprenant sa marche, déposant finalement le premier sac avant d'aller en chercher un nouveau, ignorant simplement les regards et les chuchotements à son encontre. Il n'était de toute façon pas ici pour se faire des amis, ou se sociabilisé, il était là pour l'argent, l'argent et rien d'autre. Il se fichait bien qu'on lui reproche l'incident, qu'il aurait pût être éviter, même qu'on lui mette sur le dos les morts liés à celui-ci.
- Allez, oust, file d'ici Yinying !
Se faisant , le lancier faisait de grands mouvements de la main pour inciter l'animal à partir, ce qui se fit peu de temps après, au grand soulagement du joueur. Soupirant un peu, il ramassa le sac de ciment et reprit donc la direction de la zone de dépôt, baillant même un peu sur le chemin. Enfin, il ne s'en faisait pas trop pour son salaire, il n'était là que pour une journée, et puis, en regardant autour de lui, un employé temporaire qui s'occupe de son chat serait bientôt le cadet de ses soucis. Il ralentit un peu, pour rester au niveau de sa collègue.
- Je ne m'en fait pas trop à ce sujet, s'il réagit pas vite il y auras un mort ou deux sur le chantier avant la fin de la matinée. Donc je serais probablement le cadet de ses soucis.
Pour appuyer ses dires, il désigna d'un simple mouvement de tête un tas de poutre entreposées au sommet d'un toit de l'un des bâtiments inachevé. A première vue, rien de bien méchant, mais en regardant de plus près, il était possible de voir que la sangle maintenant le tout était dangereusement usée. Menaçant de se brisée à tout moment, Shen savait très bien ce qu'il se passerait si cela venait à arrivé, sûrement un mort ou deux au passage, quelques blessés peut-être, et un gros retard sur le chantier. Mais bon, ce n'était pas son problème, il n'était pas payer pour faire le travail des inspecteurs, lui, il était payé pour transporter des sacs.
- Mais bon, c'est pas vraiment mon problème, je ne suis pas payer pour faire le travail des autres, et puis je en connaît aucun d'eux, et vu les regards qu'ils m'ont offert à mon arrivée.. Meh, j'ai pas vraiment envie de leur sauver les miches.
Le genre de regard qui commençait doucement à l'énerver avec le temps. Il est chinois, c'est bon, faites vous une raison, cela fait plusieurs années maintenant qu'il vit au Japon, et qu'il est même naturalisé. Mais visiblement, demander à certaines personnes de voir par dessus l'aspect physique, c'est déjà beaucoup demander, donc pourquoi il s’embêterait avec eux ? Le monde serait débarrassé de personnes fortement désagréables,e t ça ne l'empêcherait pas vraiment de dormir la nuit.
- Une femme et un étranger, c'est comme ça qu'ils nous voient, pour nous, ils lèveraient pas le petit doigt si la situation était inversé, donc pourquoi je lèverait le mien ? Et puis je n'est pas envie de me prendre la tête avec le chef en lui expliquant que son travail est mal fait. Au mieux, il m'enverrait boulet en me disant qu'il sait ce qu'il fait, au pire, il me virerait en me remplaçant par quelqu'un qui dirait pas que son boulot est mal fait, après tout, c'est pas les candidats qui manques comme tu l'as dit plus tôt, hm ?
Et puis, personne n'avait été là le jour ou sa famille est morte, pourtant, les rues n'étaient pas vides. Mais non, personne, absolument personne, n'avait levé le petit doigt. D'autant plus que si l'inspecteur du bâtiment avait fait son travail correctement, il aurait remarqué les problèmes structuraux de la bâtisse, et l'incident aurait pût être évité. Ou e tout cas, ils ne seraient pas tous mort dans l’effondrement. Il ferma les yeux en reprenant sa marche, déposant finalement le premier sac avant d'aller en chercher un nouveau, ignorant simplement les regards et les chuchotements à son encontre. Il n'était de toute façon pas ici pour se faire des amis, ou se sociabilisé, il était là pour l'argent, l'argent et rien d'autre. Il se fichait bien qu'on lui reproche l'incident, qu'il aurait pût être éviter, même qu'on lui mette sur le dos les morts liés à celui-ci.
- Elena OrlovJoueur
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Date d'inscription : 18/10/2020
Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Mar 8 Déc - 1:10
Ce genre de chose arrivait plus souvent qu’on ne le pensait. Que ça soit les animaux qui meurent par nos mains, ou qu’un autre être humain perd la vie à cause de nous, c’est arriver, cela arrive et ça arrivera. Je ne suis pas le genre de personne à prendre pitié pour les inconnus, de même de toujours vouloir sauver la veuve et l’orphelin.
Comme lui, je suis de ceux qui vivent d’abord pour eux-mêmes.
Ses dires m’étonna en premier lieu, ce n’était pas le genre de chose que l’on dit à sa collègue de travail, encore moins si on ne veut pas attiré une mauvaise attention. Pourtant, il l’a dit sans rien cacher, crachant sa vision et sa vérité froide dans le vent. Je ne le connais que depuis quelques minutes et il m’exposa une part de lui que la plupart des gens ne voudrait même pas entendre ou voir.
- Il est vrai, je ne sais pas si c’est la même chose ailleurs, mais dans ce pays, les gens sont plus du style à tirer des balles dans le pied des autres s’ils peuvent s’en sortir.
Et je parle par expérience.
- Après le hic, c’est qu’il faut se bouger quand ça se passe mal pour les autres, sinon, on peut nous mettre ça sur le dos ou qu’on nous accuse de n’avoir rien fait alors que ça se passait sous nos yeux.
Après tout, un patron enragé peut fermer bien des portes et dans une ville comme Tokyo, le travail se fait de plus en plus rare dans une capitale avec un tel nombre d’habitant.
Le camion à la roue cassée, l’équipement usée et le personnelle n’ayant peut être pas les qualifications pour ce chantier d’envergure. Peut être que l’on est en ce moment dans une boîte frôlant l’illégalité sur plusieurs points. Eh bien, du moment que je reçois mon dût à la fin de mes heures, ils peuvent faire ce qu’ils veulent.
Les regards se tournèrent sur notre duo sortant de l’ordinaire, pensaient-ils à vouloir fracasser le visage du nouveau venu ou allaient-ils plus loin en me regardant ? Rien que d’y penser, une sensation de dégoût me hanta l’espace d’un instant.
- Eh ma jolie, ça te dit de boire un verre ?
Et si je te disais de sauter ton chien, peut être que tu auras plus de succès ?
Oups. *Tousse* Usant de mes années d’expérience, un sourire naturel apparût, avant de lui dire poliment que ce n’était pas possible.
C’était la méthode la moins coûteuse que j’avais en stock et qui marchais souvent.
- D’ailleurs, tu viens d’arriver en ville ? Je travail ici depuis quelques années, alors je bouge dans toute la ville et ses alentours. L’avantage d’avoir une bonne réputation.
Et du fait qu’il était moins oubliable que les autres avec ce franc-parler.
- Hm ?
Le superviseur nous fit signe de la main, le genre de truc qui veut dire qu’on doit aller le voir. Que voulait-il ? Bonne question, je ne suis pas payer à penser à sa place,
- Espérons qu’il ne va rien demandé d’irréalisable. Disais-je en traçant ma route vers lui.
Comme lui, je suis de ceux qui vivent d’abord pour eux-mêmes.
Ses dires m’étonna en premier lieu, ce n’était pas le genre de chose que l’on dit à sa collègue de travail, encore moins si on ne veut pas attiré une mauvaise attention. Pourtant, il l’a dit sans rien cacher, crachant sa vision et sa vérité froide dans le vent. Je ne le connais que depuis quelques minutes et il m’exposa une part de lui que la plupart des gens ne voudrait même pas entendre ou voir.
- Il est vrai, je ne sais pas si c’est la même chose ailleurs, mais dans ce pays, les gens sont plus du style à tirer des balles dans le pied des autres s’ils peuvent s’en sortir.
Et je parle par expérience.
- Après le hic, c’est qu’il faut se bouger quand ça se passe mal pour les autres, sinon, on peut nous mettre ça sur le dos ou qu’on nous accuse de n’avoir rien fait alors que ça se passait sous nos yeux.
Après tout, un patron enragé peut fermer bien des portes et dans une ville comme Tokyo, le travail se fait de plus en plus rare dans une capitale avec un tel nombre d’habitant.
Le camion à la roue cassée, l’équipement usée et le personnelle n’ayant peut être pas les qualifications pour ce chantier d’envergure. Peut être que l’on est en ce moment dans une boîte frôlant l’illégalité sur plusieurs points. Eh bien, du moment que je reçois mon dût à la fin de mes heures, ils peuvent faire ce qu’ils veulent.
Les regards se tournèrent sur notre duo sortant de l’ordinaire, pensaient-ils à vouloir fracasser le visage du nouveau venu ou allaient-ils plus loin en me regardant ? Rien que d’y penser, une sensation de dégoût me hanta l’espace d’un instant.
- Eh ma jolie, ça te dit de boire un verre ?
Et si je te disais de sauter ton chien, peut être que tu auras plus de succès ?
Oups. *Tousse* Usant de mes années d’expérience, un sourire naturel apparût, avant de lui dire poliment que ce n’était pas possible.
C’était la méthode la moins coûteuse que j’avais en stock et qui marchais souvent.
- D’ailleurs, tu viens d’arriver en ville ? Je travail ici depuis quelques années, alors je bouge dans toute la ville et ses alentours. L’avantage d’avoir une bonne réputation.
Et du fait qu’il était moins oubliable que les autres avec ce franc-parler.
- Hm ?
Le superviseur nous fit signe de la main, le genre de truc qui veut dire qu’on doit aller le voir. Que voulait-il ? Bonne question, je ne suis pas payer à penser à sa place,
- Espérons qu’il ne va rien demandé d’irréalisable. Disais-je en traçant ma route vers lui.
- Xue ShenJoueur
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Date d'inscription : 24/11/2020
Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Mar 8 Déc - 12:01
XUE Shen & ORLOV ElenaSocial
Finances limités.
Le chinois observa la femme calmement, hochant tranquillement la tête à ses propos, après tout elle n'avait pas tord dans ses dires. De toute évidence, il était un peu trop sanguin, mais que voulez-vous ? N'importe qui avait son point de rupture, et lui était à deux doigts d'encastrer ses visages jugeurs dans le ciment frais. Enfin, heureusement la jeune femme faisait un excellent travail en le distrayant assez pour chasser ces mauvaises pensées. Il ferma un peu les yeux en soupirant, secouant la tête lentement en posant le sac à sa destination finale, pour reposer son attention sur elle.
- Je comprends ce que tu veut dire, vraiment. Mais que veut-tu ? Je n'ai rien à perdre de toute façon tu sais ? J'ai déjà des Yakuzas sur le dos, ma famille morte, des frais de réparations de l'atelier de mon père qui ne font que s'accumuler de jours en jours, et pour couronner le tout, je suis en bas de l'échelle en terme d'éveil. Donc je ne suis plus à ça près.
Il soupira un peu, bien plus encore en entendant l'ouvrier proposer un verre à sa collègue. C'était bien le genre de chose qui le faisait vomir, ce manque de tact, et cette drague lourde qu'il ressortait probablement à toutes les femmes qu'il croisait. Il allait répondre à cet homme à l’élégance douteuse de se mettre une des poutres qu'il transporte dans le cul, mais une nouvelle fois, Elena attira son attention avec une question le concernant. Bah, il n'avait rien à cacher en soit, donc pourquoi ne pas y répondre en ignorant ce cloporte ?
- Ah.. Pas vraiment, je suis au Japon depuis quelques temps déjà, j'aidais mon père à l'atelier de métallurgie de Tokyo qu'il avait ouvert en arrivant ici, l'atelier du Dragon d'or. C'est là bas que j'ai fabriquer ma lance, même si elle ne sert à rien d 'autre que décoré ma chambre, pas très efficace ne donjon une arme faîte avec des matériaux humain, la seconde que j'ai faite avec du matos venant du donjon est bien plus efficace. Malheureusement, cet atelier, c'est plus qu'un tas de ruine et un tombeau.
Il ne mentionnerait pas sa presque intégration dans la Triade, ou son passé tumultueux avec son ami Lee, parce que ça ne la concernait pas. Il regardait du coin de l’œil l'ouvrier qui semblait juste laisser tomber en voyant qu'il se faisait ignorer, ce qui dans le fond était un peu décevant, pour lui qui s'attendait à devoir l'encastré dans un mur en contreplacage. Enfin, d'un autre côté, il ne risquait pas de se faire renvoyer pour une connerie du genre. De toute façon, ce n'était pas vraiment pour prendre la défense de sa collègue, plus pour se défouler un peu. Il faut dire qu'il était un peu sanguin sur les bords ces derniers temps. Peut-être à cause des monstres qu'il tuait ? Ou bien sa reprise de contact avec Lee ? Il n'en savait trop rien, mais de toute façon, ça ne l'intéressait pas vraiment de le savoir. Il ferma les yeux calmement quad on les interpella, le chef de chantier.. qu'es-ce qu'il voulait cette fois ?
- Hm.. J’espère surtout que ça rentre dans le salaire.
Après tout, si ça n'avait rien à voir avec le salaire qu'on lui versait pour cette journée de travail, il ne fallait pas compter sur sa coopération, quitte à se retrouver avec quelques portes closes après cette journée. Il n'était pas une machine à exploiter après tout. Il avait eût bien assez de ce genre de traitement avec son père. De toute façon, il se disait qu'aller voir ne lui coûterait rien. Calmement, il suivait donc sa collègue, marchant à ses côtés sans un bruit, attendant simplement par la suite les explications du chef de chantier quand à son interpellation.
- Je comprends ce que tu veut dire, vraiment. Mais que veut-tu ? Je n'ai rien à perdre de toute façon tu sais ? J'ai déjà des Yakuzas sur le dos, ma famille morte, des frais de réparations de l'atelier de mon père qui ne font que s'accumuler de jours en jours, et pour couronner le tout, je suis en bas de l'échelle en terme d'éveil. Donc je ne suis plus à ça près.
Il soupira un peu, bien plus encore en entendant l'ouvrier proposer un verre à sa collègue. C'était bien le genre de chose qui le faisait vomir, ce manque de tact, et cette drague lourde qu'il ressortait probablement à toutes les femmes qu'il croisait. Il allait répondre à cet homme à l’élégance douteuse de se mettre une des poutres qu'il transporte dans le cul, mais une nouvelle fois, Elena attira son attention avec une question le concernant. Bah, il n'avait rien à cacher en soit, donc pourquoi ne pas y répondre en ignorant ce cloporte ?
- Ah.. Pas vraiment, je suis au Japon depuis quelques temps déjà, j'aidais mon père à l'atelier de métallurgie de Tokyo qu'il avait ouvert en arrivant ici, l'atelier du Dragon d'or. C'est là bas que j'ai fabriquer ma lance, même si elle ne sert à rien d 'autre que décoré ma chambre, pas très efficace ne donjon une arme faîte avec des matériaux humain, la seconde que j'ai faite avec du matos venant du donjon est bien plus efficace. Malheureusement, cet atelier, c'est plus qu'un tas de ruine et un tombeau.
Il ne mentionnerait pas sa presque intégration dans la Triade, ou son passé tumultueux avec son ami Lee, parce que ça ne la concernait pas. Il regardait du coin de l’œil l'ouvrier qui semblait juste laisser tomber en voyant qu'il se faisait ignorer, ce qui dans le fond était un peu décevant, pour lui qui s'attendait à devoir l'encastré dans un mur en contreplacage. Enfin, d'un autre côté, il ne risquait pas de se faire renvoyer pour une connerie du genre. De toute façon, ce n'était pas vraiment pour prendre la défense de sa collègue, plus pour se défouler un peu. Il faut dire qu'il était un peu sanguin sur les bords ces derniers temps. Peut-être à cause des monstres qu'il tuait ? Ou bien sa reprise de contact avec Lee ? Il n'en savait trop rien, mais de toute façon, ça ne l'intéressait pas vraiment de le savoir. Il ferma les yeux calmement quad on les interpella, le chef de chantier.. qu'es-ce qu'il voulait cette fois ?
- Hm.. J’espère surtout que ça rentre dans le salaire.
Après tout, si ça n'avait rien à voir avec le salaire qu'on lui versait pour cette journée de travail, il ne fallait pas compter sur sa coopération, quitte à se retrouver avec quelques portes closes après cette journée. Il n'était pas une machine à exploiter après tout. Il avait eût bien assez de ce genre de traitement avec son père. De toute façon, il se disait qu'aller voir ne lui coûterait rien. Calmement, il suivait donc sa collègue, marchant à ses côtés sans un bruit, attendant simplement par la suite les explications du chef de chantier quand à son interpellation.
- Elena OrlovJoueur
- Messages : 36
Date d'inscription : 18/10/2020
Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Jeu 31 Déc - 2:35
- Ah, voila nos deux héros de la journée.
Oui oui, c’est nous, les deux super héros, fort et preux, doté d’une grande bonté et d’amour pour les autres ~
...Non sérieusement, rien que d’imaginer cette scène me donne mal au ventre, mais il faut bien se boosté le moral de temps en temps non ?
Aller, plus que quelques heures et bye bye à toute la troupe.
Le bruit du chantier allait gêner notre conversation, on a du rejoindre le même bureau mobile qu’au début de la matinée. Une discussion dans un brouhaha ambiant n’est pas une chose attrayante.
Ah et bien sûr, c’était le grand patron et le superviseur. Pourquoi ? Ne me poser pas la question.
- Donc, on fait quoi maintenant ? On casse le mur ? On porte des charges ?
- Les courses.
Pardon ?
- Les… courses ?
- Exactement.
Ils nous ont prit pour leurs coursiers ?
Pas que ça me gêne plus que ça, mais j’ai la tête d’une bonniche ? Je vais faire quoi après ? La cuisine, car la place de la femme c’est à la cuisine ?
- Vous avez oubliez votre casse croûte ?
- Pas seulement, mais pour les gars aussi.
Pour une soirée ou une fête entre collègues ? Une bar mitzvah ?
C’est pas mes affaires et je pense que ça doit être la même chose pour mon camarade venu de Chine, le contraire m’étonnerait, après ses dires et ce que racontent les autres dans son dos, la camaraderie n’était pas vraiment au rendez-vous.
L’aider ? Il a l’air de ceux qui peuvent se débrouiller seuls.
- Du moment que le salaire reste le même.
Ne crachons pas dessus, et puis, c’est moins emmerdants que de service de mains d’œuvre pour une compagnie douteuse remplis de cons en tout genre.
Quelques secondes passèrent, tendant la main en l’air avant de recevoir la commande du jour. Hm hm, bière, viande,… Ouais bon, le genre de délire en mode « va me chercher mon pique-nique », pas besoin de regarder le reste.
- Pas besoin de me dire où se trouve la supérette.
- Ok, par contre, prenez bien votre temps. Une heure serait le mieux.
Hein ?
Fronçant les sourcils à cette remarque inhabituel, je haussais les épaules.
- N’oubliez pas qu’après ça, c’est la fin de journée pour moi. Disais-je en sortant.
Mon acolyte ? Qu’il vienne si ça lui chante.
Oui oui, c’est nous, les deux super héros, fort et preux, doté d’une grande bonté et d’amour pour les autres ~
...Non sérieusement, rien que d’imaginer cette scène me donne mal au ventre, mais il faut bien se boosté le moral de temps en temps non ?
Aller, plus que quelques heures et bye bye à toute la troupe.
Le bruit du chantier allait gêner notre conversation, on a du rejoindre le même bureau mobile qu’au début de la matinée. Une discussion dans un brouhaha ambiant n’est pas une chose attrayante.
Ah et bien sûr, c’était le grand patron et le superviseur. Pourquoi ? Ne me poser pas la question.
- Donc, on fait quoi maintenant ? On casse le mur ? On porte des charges ?
- Les courses.
Pardon ?
- Les… courses ?
- Exactement.
Ils nous ont prit pour leurs coursiers ?
Pas que ça me gêne plus que ça, mais j’ai la tête d’une bonniche ? Je vais faire quoi après ? La cuisine, car la place de la femme c’est à la cuisine ?
- Vous avez oubliez votre casse croûte ?
- Pas seulement, mais pour les gars aussi.
Pour une soirée ou une fête entre collègues ? Une bar mitzvah ?
C’est pas mes affaires et je pense que ça doit être la même chose pour mon camarade venu de Chine, le contraire m’étonnerait, après ses dires et ce que racontent les autres dans son dos, la camaraderie n’était pas vraiment au rendez-vous.
L’aider ? Il a l’air de ceux qui peuvent se débrouiller seuls.
- Du moment que le salaire reste le même.
Ne crachons pas dessus, et puis, c’est moins emmerdants que de service de mains d’œuvre pour une compagnie douteuse remplis de cons en tout genre.
Quelques secondes passèrent, tendant la main en l’air avant de recevoir la commande du jour. Hm hm, bière, viande,… Ouais bon, le genre de délire en mode « va me chercher mon pique-nique », pas besoin de regarder le reste.
- Pas besoin de me dire où se trouve la supérette.
- Ok, par contre, prenez bien votre temps. Une heure serait le mieux.
Hein ?
Fronçant les sourcils à cette remarque inhabituel, je haussais les épaules.
- N’oubliez pas qu’après ça, c’est la fin de journée pour moi. Disais-je en sortant.
Mon acolyte ? Qu’il vienne si ça lui chante.
- Spoiler:
- Je te laisse développé la suite, surprend-moi é_è
- Xue ShenJoueur
- Messages : 45
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Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Sam 2 Jan - 14:43
XUE Shen & ORLOV ElenaSocial
Finances limités.
Shen soupira légèrement en écoutant la conversation qui se tenait entre le chef de chantier et la femme, mais autre chose capta son regard, quelque chose qu'il aurait préféré ne pas vraiment voir, le regard lubrique des autres employés en écoutant la conversation. Il pensait avoir une vague idée de ce qui se tramait, ce qui se confirma avec la mention d 'une heure minimale pour les courses. Il rejoignit sa collègue, il s’en fichait dans le fond, mais d'un autre côté.. Est-ce que c'était vraiment bon de laisser passer ça ? Non pas le fait qu'ils fassent les bonniches, après tout c'était quelque chose de plutôt banal avec les nouveaux employés et les stagiaires, mais ce qui se tramait. Il mettait en place le puzzle qui se préparait en tout cas. Les regards, le temps, le fait que le chantier soit reculé... C'est en soupirant qu'il suivait la femme, marchant à ses côtés, les mains dans les poches.
- Je serais toi, je n'y retournerais pas, ou alors, pas sans me préparé à me battre pour ma vie. Vu le regard qu'ils faisaient, et le temps qu'ils nous demande de passer à l’extérieur.. Ils tendent un piège, j'ai déjà connu ça en Chine, c'est arrivé à une connaissance de mon père. Ils embauchent une femme, de préférence bien fichue, al font travaillée pour qu'elle baisse sa garde, puis innocemment, il lui demande d'aller hercher à manger, de passer une commande au fournisseur de matériaux, ce genre de truc.
Il lâche un profond soupire et regarde le ciel, toujours les mains dans les poches, alors que le chat de plus tôt revenait des ombres, s'installant sur son épaule droite, ronronnant un peu.
- Après quoi, ils la drogue, l'attache, voir parfois les deux, et la viol. Ensuite, ils la tuent et font passer ça pour un incident, après tout, sur un chantier, ce genre de chose ça arrive vite, non ? Et puis, tu te souviens de la poutre.. Je commence à me dire qu'ils sont déjà au courant, et que tout est prévu. Le problème dans le plan, c'est moi, c'est bien pour ça que j'ai préféré venir, comme ça j’ai le temps de réfléchir, si je serait rester.. Ils m'auraient sûrement assommer ou quelques chose comme ça, et j'aurais en plus servit de coupable idéal. Un jeune chasseur, célibataire et loin de son pays, c'est le coupable idéal pour le viol et le meurtre d'une femme, pas vrai ?
Il gratta la tête de l'animal calmement. S'il revenait seul, il s’en sortirait sûrement avec une fête organisée à l'improviste, pour faire en sorte que le plan ne soit pas découvert, et qu'ils aient une excuse valable pour les courses.
- Et puis, tu ne trouve pas ça bizarre toi, qu'il dise de prendre au moins une heure, et ce, sans même te fournir une liste de course ou quoi que ce soit d'autre ? Ils préparent le terrain, et la version des fait à sortir à la police une fois que tout est terminé.
C'était le crime parfait après tout, la seule chose changeant, c'est qu'avec la présence de Shen, ils auraient le parfait coupable, après tout, qui le croirait ? Même lui ça lui semblait irréel. Et pourtant, rien que le regard presque prédateur que les ouvriers lançaient sur la femme en disait long sur leurs intentions, il était même certains qu'il aurait pût trouver la drogue cachée dans les affaires de ceux-ci s'il avait prit le temps de fouiller un peu. Mais il ne 'lavait pas fait, il faut dire que le chef semblait être quelqu'un de bien, mais c'était justement ce qui le rendait si dangereux.
- Je serais toi, je n'y retournerais pas, ou alors, pas sans me préparé à me battre pour ma vie. Vu le regard qu'ils faisaient, et le temps qu'ils nous demande de passer à l’extérieur.. Ils tendent un piège, j'ai déjà connu ça en Chine, c'est arrivé à une connaissance de mon père. Ils embauchent une femme, de préférence bien fichue, al font travaillée pour qu'elle baisse sa garde, puis innocemment, il lui demande d'aller hercher à manger, de passer une commande au fournisseur de matériaux, ce genre de truc.
Il lâche un profond soupire et regarde le ciel, toujours les mains dans les poches, alors que le chat de plus tôt revenait des ombres, s'installant sur son épaule droite, ronronnant un peu.
- Après quoi, ils la drogue, l'attache, voir parfois les deux, et la viol. Ensuite, ils la tuent et font passer ça pour un incident, après tout, sur un chantier, ce genre de chose ça arrive vite, non ? Et puis, tu te souviens de la poutre.. Je commence à me dire qu'ils sont déjà au courant, et que tout est prévu. Le problème dans le plan, c'est moi, c'est bien pour ça que j'ai préféré venir, comme ça j’ai le temps de réfléchir, si je serait rester.. Ils m'auraient sûrement assommer ou quelques chose comme ça, et j'aurais en plus servit de coupable idéal. Un jeune chasseur, célibataire et loin de son pays, c'est le coupable idéal pour le viol et le meurtre d'une femme, pas vrai ?
Il gratta la tête de l'animal calmement. S'il revenait seul, il s’en sortirait sûrement avec une fête organisée à l'improviste, pour faire en sorte que le plan ne soit pas découvert, et qu'ils aient une excuse valable pour les courses.
- Et puis, tu ne trouve pas ça bizarre toi, qu'il dise de prendre au moins une heure, et ce, sans même te fournir une liste de course ou quoi que ce soit d'autre ? Ils préparent le terrain, et la version des fait à sortir à la police une fois que tout est terminé.
C'était le crime parfait après tout, la seule chose changeant, c'est qu'avec la présence de Shen, ils auraient le parfait coupable, après tout, qui le croirait ? Même lui ça lui semblait irréel. Et pourtant, rien que le regard presque prédateur que les ouvriers lançaient sur la femme en disait long sur leurs intentions, il était même certains qu'il aurait pût trouver la drogue cachée dans les affaires de ceux-ci s'il avait prit le temps de fouiller un peu. Mais il ne 'lavait pas fait, il faut dire que le chef semblait être quelqu'un de bien, mais c'était justement ce qui le rendait si dangereux.
- Elena OrlovJoueur
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Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Ven 15 Jan - 23:39
Le patron nous fila quelques liasses de billets avant de nous envoyer bouler d'un revers de la main sans aucune forme de politesse. D'un coup d'oeil, je regardais le butin qu'ils nous avaient donner pour ses courses et... c'est pas grand chose.
- Quel radin. À croire qu'il pense que l'on va payer le reste de nos poches. Bah, il n'a qu'à se brosser pour avoir quelque chose de valable. Disais-je en haussant les épaules.
Le salaire dans le bâtiment dépassait légèrement la moyenne, mais en aucun cas sa crevait le plafond. Mes pas se dirigèrent vers l'autre bout du chantier, marchant côte à côte avec le nouvel arrivant de Chine. Pour le moment, mon impression ne volait guère haute. Un gars sérieux ayant de gros problèmes à cause de ses origines, le genre de personne que l'on croise de temps en temps lorsqu'on traîne dans le milieu des freelances comme moi. Après, mon intérêt se portait principalement sur son pays natal.
Je n'ai jamais quitté le Japon, alors entendre comment c'était à l'extérieur était un bon sujet de conversation pour passer le temps. Quel nourriture il y a là-bas ? Comment vous vivez chez vous ? L'architecture ? Les vêtements ? Ecetera...
- Et al-
Il me coupa directement en me recommandant de ne pas revenir ici si je tenais à la vie.
- ...
Mon regard se durcit, mes muscles se crispèrent, mes pas s'arrêtèrent, ma tête digéra l'information que le nouveau me donna. Par pitié ? Par honnêteté ? Là n'était pas la question, mais plutôt s'ils allaient vraiment le faire. Avoir de mauvaises manières et avoir des regards vulgaires est une chose, mais passer à l'acte en est une autre. Ce genre de choses n'était pas à prendre à la légère.
Si j'étais effrayer ? Oui.
Si j'étais dégoûté ? Oui.
Cependant, garder son calme était primordiale dans ce genre d'histoire.
- Ce sont de grosses accusations que tu dis là.
Nous étions en dehors du chantier. La possibilité qu'un des employés nous entendais était nuls, et même, ils seraient facilement visible de par leurs tenus de travail. Mais je me concentrais sur autre chose.
Sincèrement, si je devais à chaque fois faire attention où un homme m'invite à boire un verre, qu'ils viennent me parler, ou qu'ils me reluquent dans tous les sens, j'aurais dût arrêter de me sociabilisé depuis longtemps. Si c'était vraiment ce genre de groupe, en effet, je ne devrais pas rester là.
- Dire ce genre de choses seulement car la maintenance et le matériel sont mauvais, c'est plus que moyen. De plus, si je devais compté le nombre de fois où les personnes sont louches lorsqu'ils me regardent, mon corps serait déjà au cimetière.
Et encore, s'ils avaient au moins la décence de me donner une tombe, mais bref.
J'ai eu aussi mon lot de problèmes aux cours de ces dernières années, être une femme me force à devoir me méfier à chaque inconnu qui croisent ma route, tombé sur ce genre de choses n'est pas rare.
- Tu veux faire quoi alors ? Les prendre en filature ? Les balancés aux flics ? Une embuscade ? Désoler, mais jouer les héros n'est pas mon style. Tout ce que je peux faire à la limite, c'est de donner un appel et de les signalé pour le non respect des protocoles de sécurité ou de l'état du matériel. Continuais-je en le regardant dans les yeux, les bras croisés.
Je n'ai pas envie de gâché ma vie pour une plausible histoire de violeurs, je préfère éviter les problèmes.
Il pourrait être même la personne la plus dangereuse en ce moment, qui me dit qu'il ne tentera rien pendant que j'ai le dos tourné ? Ma garde était moins grande avec lui qu'avec les autres, hors, ça ne veux pas dire que je l'accueil à bras ouvert.
- Quel radin. À croire qu'il pense que l'on va payer le reste de nos poches. Bah, il n'a qu'à se brosser pour avoir quelque chose de valable. Disais-je en haussant les épaules.
Le salaire dans le bâtiment dépassait légèrement la moyenne, mais en aucun cas sa crevait le plafond. Mes pas se dirigèrent vers l'autre bout du chantier, marchant côte à côte avec le nouvel arrivant de Chine. Pour le moment, mon impression ne volait guère haute. Un gars sérieux ayant de gros problèmes à cause de ses origines, le genre de personne que l'on croise de temps en temps lorsqu'on traîne dans le milieu des freelances comme moi. Après, mon intérêt se portait principalement sur son pays natal.
Je n'ai jamais quitté le Japon, alors entendre comment c'était à l'extérieur était un bon sujet de conversation pour passer le temps. Quel nourriture il y a là-bas ? Comment vous vivez chez vous ? L'architecture ? Les vêtements ? Ecetera...
- Et al-
Il me coupa directement en me recommandant de ne pas revenir ici si je tenais à la vie.
- ...
Mon regard se durcit, mes muscles se crispèrent, mes pas s'arrêtèrent, ma tête digéra l'information que le nouveau me donna. Par pitié ? Par honnêteté ? Là n'était pas la question, mais plutôt s'ils allaient vraiment le faire. Avoir de mauvaises manières et avoir des regards vulgaires est une chose, mais passer à l'acte en est une autre. Ce genre de choses n'était pas à prendre à la légère.
Si j'étais effrayer ? Oui.
Si j'étais dégoûté ? Oui.
Cependant, garder son calme était primordiale dans ce genre d'histoire.
- Ce sont de grosses accusations que tu dis là.
Nous étions en dehors du chantier. La possibilité qu'un des employés nous entendais était nuls, et même, ils seraient facilement visible de par leurs tenus de travail. Mais je me concentrais sur autre chose.
Sincèrement, si je devais à chaque fois faire attention où un homme m'invite à boire un verre, qu'ils viennent me parler, ou qu'ils me reluquent dans tous les sens, j'aurais dût arrêter de me sociabilisé depuis longtemps. Si c'était vraiment ce genre de groupe, en effet, je ne devrais pas rester là.
- Dire ce genre de choses seulement car la maintenance et le matériel sont mauvais, c'est plus que moyen. De plus, si je devais compté le nombre de fois où les personnes sont louches lorsqu'ils me regardent, mon corps serait déjà au cimetière.
Et encore, s'ils avaient au moins la décence de me donner une tombe, mais bref.
J'ai eu aussi mon lot de problèmes aux cours de ces dernières années, être une femme me force à devoir me méfier à chaque inconnu qui croisent ma route, tombé sur ce genre de choses n'est pas rare.
- Tu veux faire quoi alors ? Les prendre en filature ? Les balancés aux flics ? Une embuscade ? Désoler, mais jouer les héros n'est pas mon style. Tout ce que je peux faire à la limite, c'est de donner un appel et de les signalé pour le non respect des protocoles de sécurité ou de l'état du matériel. Continuais-je en le regardant dans les yeux, les bras croisés.
Je n'ai pas envie de gâché ma vie pour une plausible histoire de violeurs, je préfère éviter les problèmes.
Il pourrait être même la personne la plus dangereuse en ce moment, qui me dit qu'il ne tentera rien pendant que j'ai le dos tourné ? Ma garde était moins grande avec lui qu'avec les autres, hors, ça ne veux pas dire que je l'accueil à bras ouvert.
- Xue ShenJoueur
- Messages : 45
Date d'inscription : 24/11/2020
Re: Money in the bank.. Or not (pv Elena Orlov)
Dim 17 Jan - 10:07
XUE Shen & ORLOV ElenaSocial
Finances limités.
Il ferme les yeux en écoutant la femme. C'est vrai qu'au Japon, la sécurité est censée être plus élevée, en Chine, ce n'était pas la même histoire, au contraire. Il sourit alors calmement en riant un peu, secouant lentement la tête en ouvrant les yeux de nouveau. Elle avait sûrement raison, il s'inquiétait sûrement pour rien. D'ailleurs, pourquoi il s'inquiétait en fait ? Il ne la connaissait même pas... Enfin, peut-être qu'il ne pouvait juste pas rester les bras croisés dans ce genre de situation, après tout, son frère en aurai fait autant, probablement. Enfin, même si lui ce serait surtout pour impressionner la donzelle, en grande partie. Bon bien sûr, il y aurait aussi le fait qu'il veuille véritable lui venir en aide, mais bon, d'une pierre deux coups pas vrai ? D'ailleurs, lui aussi pourrait bien profiter de la situation, d'une toute autre façon.
- Tu as raison, je m'en fait probablement pour rien, désolé. L'endroit où je vivait avant de venir au Japon m'as rendu plus méfiant que je le pensais, je ferais juste attention en revenant, au cas où. Dis-moi d'ailleurs, ce boulot, c'est quelque chose de temporaire, pas vrai ? Si ça te tente, je pourrais t'en proposer un vrai bien plus table dans les semaines à venir. Il se trouve que j'ai l'atelier de ma famille en rénovation pour en faire une forge, et j'aurais bien besoin de quelqu'un pour accueillir les clients et gérer les stocks, s ça t’intéresse ? Je suis plus doué pour forger que gérer les chiffres.
Bon, elle pourrait bien refuser, et ce seras très certainement le cas, mais s'il pouvait profiter de l'occasion pour embaucher une réceptionniste... Il faut dire que ce serait sûrement bine plus efficace que de faire attendre les clients pendant qu'il forge les commandes des autres. Sans compter qu'il savait bien que al plupart des gens n'était pas forcément des exemple de patience. D'un autre côté, est-ce qu'elle serait plus capable que lui de gérer dans ce domaine ? Allez savoir si ça se trouve elle est encore moins doué que lui.
- Enfin ce n'est qu'une proposition comme une autre. De toute manière tu as encore un peu de temps pour réfléchir à ma proposition vu que les travaux ne seront pas terminés avant au mieux deux semaines. Il faudrait peut-être que je te donne mon numéro pour me recontacter si besoin, d'ailleurs... En espérant que tu ne m'appelle pas en plein donjon, même si remarque, tu peut toujours laisser un message.
Et puis, c'était déjà en supposant qu'elle le recontacte, même si il apprécierait que ce soit le cas ne serait-ce que pour lui annoncer son refus, au minimum. Après, elle risque de trouver ça peut-être un peu trop beau pour être vrai, même si pour le coup, il était parfaitement sérieux, après tout al forge était probablement le métier le plus important en ce moment, vu que sans forgerons.. Eh bien pas de gestion de l'équipement, donc des équipes de chasseurs moins bine équipés, donc plus vulnérables. Ce qui, en soit, dépendait directement de la réussite ou non d'un donjon.
- Tu as raison, je m'en fait probablement pour rien, désolé. L'endroit où je vivait avant de venir au Japon m'as rendu plus méfiant que je le pensais, je ferais juste attention en revenant, au cas où. Dis-moi d'ailleurs, ce boulot, c'est quelque chose de temporaire, pas vrai ? Si ça te tente, je pourrais t'en proposer un vrai bien plus table dans les semaines à venir. Il se trouve que j'ai l'atelier de ma famille en rénovation pour en faire une forge, et j'aurais bien besoin de quelqu'un pour accueillir les clients et gérer les stocks, s ça t’intéresse ? Je suis plus doué pour forger que gérer les chiffres.
Bon, elle pourrait bien refuser, et ce seras très certainement le cas, mais s'il pouvait profiter de l'occasion pour embaucher une réceptionniste... Il faut dire que ce serait sûrement bine plus efficace que de faire attendre les clients pendant qu'il forge les commandes des autres. Sans compter qu'il savait bien que al plupart des gens n'était pas forcément des exemple de patience. D'un autre côté, est-ce qu'elle serait plus capable que lui de gérer dans ce domaine ? Allez savoir si ça se trouve elle est encore moins doué que lui.
- Enfin ce n'est qu'une proposition comme une autre. De toute manière tu as encore un peu de temps pour réfléchir à ma proposition vu que les travaux ne seront pas terminés avant au mieux deux semaines. Il faudrait peut-être que je te donne mon numéro pour me recontacter si besoin, d'ailleurs... En espérant que tu ne m'appelle pas en plein donjon, même si remarque, tu peut toujours laisser un message.
Et puis, c'était déjà en supposant qu'elle le recontacte, même si il apprécierait que ce soit le cas ne serait-ce que pour lui annoncer son refus, au minimum. Après, elle risque de trouver ça peut-être un peu trop beau pour être vrai, même si pour le coup, il était parfaitement sérieux, après tout al forge était probablement le métier le plus important en ce moment, vu que sans forgerons.. Eh bien pas de gestion de l'équipement, donc des équipes de chasseurs moins bine équipés, donc plus vulnérables. Ce qui, en soit, dépendait directement de la réussite ou non d'un donjon.
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