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Akashi Ellyot
Akashi Ellyot
Joueur
Messages : 71
Date d'inscription : 07/11/2020
Age : 28
Localisation : Un endroit.

Akashi Ellyot - Joueur [Finie] Empty Akashi Ellyot - Joueur [Finie]

Sam 7 Nov - 6:05

Akashi “Elly" Ellyot

 “ Quitte à tuer, fais-le avec tes poings… ”

Âge : 24 ans
Nature : Joueur
Sexe : Masculin
Orientation : Asexuelle


 
Nationalité : Belgo-japonaise
Métier : Videur/Ancien combattant MMA
Guilde : Indépendant
Avatar : Mikoto Suoh – K Project

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Présentation

Statistiques


Caractéristiques
Akashi Ellyot - Joueur [Finie] FghfhgForce : 7
Akashi Ellyot - Joueur [Finie] FghfhgAgilité : 6
Akashi Ellyot - Joueur [Finie] FghfhgConstitution : 6
Akashi Ellyot - Joueur [Finie] FghfhgPerception : 6
Akashi Ellyot - Joueur [Finie] FghfhgIntelligence : 0

Affinité élémentaire
Akashi Ellyot - Joueur [Finie] Fghfhg Air

Physique et mental


Si je vous parle d’un homme aux cheveux rouges et aux yeux d’or, quelle image vous vient en premier ? Normalement, vous me citez un personnage de fiction, soit d’un jeu vidéo, soit d’un manga. Pourtant, je vais bien vous parler de moi. Pour mes yeux, j’ignore pourquoi ils sont ainsi. Probablement une mutation génétique rare, vu que personne d’autre n’a ça dans ma famille. Pour mes cheveux, c’est juste une coloration que je refais le plus souvent possible. Ma couleur naturelle ? Avant, c’était brun, aujourd’hui, c’est blanc. On ne choisit pas, c’est ainsi. En dehors de ces deux traits bien visibles et particuliers, je suis long d’un mètre quatre-vingt-dix et je dois peser vers les quatre-vingts kilos, que de muscle en revanche, ça aide les sports de combat. Visuellement, les muscles sont tracés, mais ne sont pas saillants ou explosifs, un jeune homme surtout longiligne en bref.

Psychologiquement… Je ne suis pas quelqu’un de souriant ou pour être plus précis, je ne souris pas comme ça, dans la rue, pour faire plaisir. Je ne souris que quand c’est sincère et que je passe un bon moment. Je ne suis pas non plus un grand blagueur, bien que ça m’arrive de faire marcher les gens, mais ne vous attendez pas à un spectacle de stand-up avec moi. À choisir, je préfère largement un endroit calme où je peux me poser quand je ne suis pas en train d’entretenir mon corps. En parlant de ça, je suis très appliqué dans les choses importantes comme le travail ou le sport et je respecte chaque personne qui se donne à fond de ce qu’il fait. Vous l’aurez compris, j’ai du mal avec les fainéants, mais je ne suis pas leur mère, donc à part si c’est vraiment important, je ne pousserai pas quelqu’un qui n’a aucune motivation. Pour finir, je suis plutôt pragmatique sur les choses qui donnent des maux de tête aux gens, comme la relation entre le bien et le mal ou encore la mort. Je ne connais que trop bien ces choses et dans les situations où ces choses sont centrales, j’agirais selon mes convictions et par rapport à la situation. Bref, j’essaie d’appliquer la meilleure solution à la situation, quitte à passer pour un sale type.

Histoire



« M’arracher mon bras droit ne t’aidera pas, parce que c’est avec ma gauche que je tue… »

Dire une chose pareille, face à une créature qui est assez puissante pour m’arracher la tête, il n’y avait que moi pour faire ça. Probablement parce que la mort ne m’effrayait pas ou plutôt, elle ne m’effrayait plus. La mort, je la connais bien, car avant aujourd’hui, deux personnes sont allées près d’elle par ma faute.

Ma première rencontre avec elle, j’avais huit ans je crois. Je vivais en Belgique à l’époque avec mes parents et ma sœur, Akashi Eileen, qui venait de fêter son troisième anniversaire. Ma mère, Akashi Hana, était designeuse web indépendante et mon père, Benoit Tandem, bossait dans une boîte de pub en tant que directeur créatif, comme dans une vieille série qui s’appelait Mad Men. Pour ma part, j’étais à l’école primaire non loin de la maison et j’avais des cours de boxe pour enfants trois jours par semaine. Je me souviens uniquement du vendredi, cet événement s’était produit un vendredi.

Le cours avait été annulé, la fille du professeur était tombée malade et il n’y avait personne pour le remplacer. Je me dirigeai donc chez moi, pensant à quel film on allait regarder le soir même et quand je fus au niveau de la maison, la porte de cette dernière était entrouverte et des bruits venaient de l’intérieur. Je rentrai rapidement et je me dépêchai de rejoindre le salon, voulant savoir de quoi il s’agissait pour finalement voir mon père, du sang sur le visage et les mains, qui tenait ma mère par les cheveux et la regardait souffrir. Un cri s’échappa de ma gorge et le tortionnaire tourna sa tête vers moi, arborant un souvenir démoniaque digne des monstres qu’il y avait dans les histoires qu’on me racontait avant d’aller dormir.

Son expression m’avait paralysé et malgré mon instinct de survie qui m’hurlait de prendre la fuite, mon corps refusait de bouger le moindre muscle. Il finit par lâcher sa victime et se mit à s’approcher de moi, lentement, en me promettant qu’il ne me ferait rien, car j’étais un bon garçon. Je n’avais pas à avoir peur de lui, il ne faisait que « punir » maman, car elle avait fouillé dans ses affaires et que la curiosité était un vilain défaut. Il finit par être juste devant moi et s’agenouilla, me disant que je ne devais pas parler de ce que je venais de voir, sinon j’allais aussi être « puni ».

À ces mots, je lui décochai un uppercut dans la mâchoire, le faisant basculer en arrière pour qu’il finisse sur son dos avant de sauter sur son torse et de commencer à enchaîner les coups de poing dans son visage. Ce moment de violence dura une minute entière, une minute pendant laquelle un hurlement mêlant rage et peur sortait de ma gorge. Je ne contrôlais plus rien du tout, j’étais comme spectateur de ce que j’étais en train de faire et ce fut après un dernier coup du gauche que la nuque de mon père fit un bruit bizarre, bruit qui me stoppa net, bruit qui avait fait comprendre à tout mon être que je venais de le tuer…

Ce fut la femme d’une voisine qui découvrit l’horrible scène en voulant nous ramener ma petite sœur de sa journée à la crèche. Ma mère se retrouva aux soins intensifs, ma sœur chez les voisins et moi, j’allais être encadré par les membres d’une cellule psychologique. Les premiers jours, aucun mot ne voulait sortir de ma bouche et je m’occupai en jouant à des jeux éducatifs ou répétais inlassablement les exercices de mes cours de boxe. Après une semaine, ma mère eut l’autorisation de sortir de sa chambre pour venir me voir et quand elle me prit dans ses bras, mon cœur craqua et je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps. Durant la semaine qui suivit, un rapport sur l’événement fut écrit et nous allions être suivis par plusieurs psychologues pour nous permettre de reprendre une vie plus ou moins normale. Le suivi dura environ trois ans, la première année étant surtout pour nous aider à nous remettre et les deux suivantes servant à faire des mises à jour.

Un seul battement de cils avait suffi à ce que je me remémore ma première rencontre avec la mort. Mon passé semblait me rattraper, je me le remémorais comme si cela c’était passé hier. Voir sa vie défilée devant ses yeux, ça arrivait quand on était sur le point de mourir à ce qu’il paraît. J’allais donc mourir dans cette salle cachée, face à cette étrange créature ? Finalement, ce n’était pas plus mal. Après tout, depuis cet incident quand j’avais 19 ans, tellement de gens veulent me voir mort.

Onze années s’étaient écoulées depuis l’accident avec mon paternel et nos vies, à tous les trois, étaient redevenues plus ou moins normales. Enfin, pour moi, normale comme pouvait l’être la vie d’un combattant MMA. Je combattais pour une petite fédération, mais les récompenses des matchs étaient plutôt bonnes, j’avais assez pour vivre et même profiter derrière, ce qui me suffisait amplement. C’est aussi à cette époque que je suis allé passer la détection de puissance des éveillés avec des camarades de mon club. Alors qu’ils espéraient tous avoir un rang élevé, je n’avais aucune attente, préférant même être au plus bas possible pour éviter de devenir un chasseur et continuer mon train de vie classique. Résultats, on était une belle brochette de rang E, ce qui m’arrangeait, mais j’étais dégoûté pour eux car ils voulaient tous devenir des chasseurs pour protéger le pays comme ils disaient.

Une semaine plus tard, je me retrouvais pour mon cinquième match dans la cage de la fédération face à un jeune Français, lui aussi invaincu au début du combat. J’avais quatre victoires, toutes par K.O. dans le deuxième round. Lui, c’était sept victoires et toutes par soumission. La stratégie était simple, porter des coups rapides et éviter qu’il ne m’attrape et que je me retrouve bloqué dans une prise.

La cloche retentit et nous nous regardions droit dans les yeux tous les deux, garde relevée, prêts à en découdre. Je tâtais le terrain avec des jabs du droit, des petits coups pour voir comment il réagissait et je compris bien vite qu’il n’était pas bon qu’en soumission, il pouvait aussi jouer le contact et provoquer un K.O., ce qui n’arrangeait pas mes affaires. Les deux premières minutes du round furent une démonstration pure de boxe : jabs, directs, uppercuts, coups au foie, une belle démonstration de ce que les gens appellent le « noble art ».

Il finit par accélérer et essaya de m’avoir un coup de pied retourné que je réussis à esquiver de justesse pour l’enchaîner avec un coup de pied dans les côtes. Mais alors que j’allais le toucher, un frisson de terreur traversa mon corps, ma jambe se remettant à sa position initiale instinctivement. Il aurait pu attraper ma jambe, mais il aurait plus souffert que moi sur cet échange et pourtant, pendant un instant, l’image de ma jambe brisée était apparue clairement dans ma tête. C’était clair, il était dangereux, bien plus que ce que je pensais et son expression à cet instant précis ne faisait que confirmer mes doutes, il jubilait.

Le round se terminait sur un énième échange de boxe classique, je n’osais plus prendre le moindre risque, la peur commençait à me gagner et tout mon corps tremblait. Mon coach et son second tentait tant bien que mal de me calmer, mais c’était inefficace et je partais pour le second round avec l’impression que j’allais y laisser définitivement quelque chose. Alors que je me remettais en garde, mon adversaire me regardait en souriant et se mit à me parler discrètement, sans que l’arbitre le remarque. Il se foutait de moi, tentant de me rabaisser et j’essayais de ne pas l’écouter, mais il continuait et finit par me dire qu’après ce combat, il irait s’occuper de ma sœur avant de se lécher les lèvres.

Mes tremblements prirent fin d’un coup et je fonçai sur lui pour lui asséner un une-deux des plus violents, mais il en profita pour attraper mon bras gauche et me bloqua dans une prise de soumission, pile ce que je voulais éviter. Je venais de perdre ce combat psychologique et j’avais une marge de manœuvre très courte avant de tomber par manque d’oxygène. D’un coup sec, je le soulevai afin d’avoir la place pour lui asséner un violent coup de genou dans les côtes, ce qui eut pour effet un léger relâchement de sa prise. J’en profitai pour me dégager avant d’enchaîner successivement une gauche, une droite et une deuxième gauche qui le fit cracher une gerbe de sang sur mon visage et lui fit perdre l’équilibre. L’arbitre allait s’interposer et sonner la fin du match, mais il fut trop court de trois secondes, trois secondes pendant lesquelles je lui remis une droite avant de finir par un uppercut du gauche, le faisant atterrir sur le dos, inconscient.

Le match était terminé et un médecin rentra rapidement dans la cage pour s’occuper de mon opposant, mais il ne fallut que peu de temps pour que le diagnostic tombe : il était mort par cassage de nuque. Le silence avait apposé sa marque sur l’endroit avant que tout le monde ne se tourne vers moi et me jette un regard assassin : aux yeux du public, j’étais devenu un meurtrier.

La nouvelle fit la une des journaux de ma ville et rapidement, on se mit à me fuir comme la peste. Au début, je trouvais ça normal, car je pensais être le responsable, mais finalement, ce n’était pas mon coup qui était le responsable, mais sa chute. Quand il tomba au sol, sa nuque frappa la jonction entre le sol et un des murs de la cage, provoquant un choc suffisamment violent pour que cette dernière cède sur le coup. Cela calma l’inimitié à mon égard, mais beaucoup de gens continuaient de m’éviter. Je n’avais fait aucune déclaration aux journaux, ne les mettant même pas au courant des mots qu’il m’avait adressés pendant le combat. Ça n’aurait servi à rien et on allait sûrement dire que je crachais sur la mémoire d’un défunt. Quelle situation de merde…

Cette dernière phrase, elle s’appliquait aussi bien à l’époque que face à cette salle secrète. Un deuxième clignement des yeux m’avait suffi à revoir toute cette scène. Et ça avait aussi suffi pour que la créature face à moi m’arrache mon deuxième bras.

« J’ai même plus le droit de me battre… Bordel, ils auront eu ma peau, même si ça leur a coûté les leurs… », dis-je en tombant vers l’avant.

Peu de temps après mon dernier match dans la cage, je quittais la maison pour m’expatrier. Ma mère et ma sœur n’avait pas à subir le mépris des gens par ma faute. Je m’étais donc rendu chez ma tante du côté de ma mère, au Japon. Visiblement, les infos n’avaient pas voyagé aussi loin, je pouvais donc en profiter pour reprendre un train de vie plus sain. Plus sain, une belle pensée naïve.

Pendant mes deux premières années passées au Japon, j’ai enchaîné des petits boulots avec des horaires insensés pour un salaire pas terrible. J’ai fini par me trouver un poste fixe de videur dans une boîte de la capitale. J’étais principalement de nuit et je devais intervenir quand des bagarres se déclenchaient. Bref, un poste idéal pour quelqu’un comme moi. Un soir, je retombai sur un ancien membre de mon club qui était venu au Japon et devenu chasseur comme prévu. On passa la nuit ensemble à discuter de ces deux dernières années avant qu’il ne parte car il devait pénétrer un donjon le lendemain. Quelques jours plus tard, j’apprenais sa mort par sa compagne.

Sur les trois années qui suivirent, tous mes anciens camarades du club étaient morts pendant des donjons. Ça me paraissait normal, ils étaient simplement des rangs E, mais à chaque fois que leur mort était annoncé, je voyais le même groupe de personnes à la télé. Tout cela était bizarre, mais j’étais moi-même un rang E, donc je risquais d’y laisser ma peau si j’y allais par moi-même. Si seulement j’avais raccroché ce téléphone cette fois-là…

Je me retrouvais pour la première fois face à un donjon en chair et en os, c’était plutôt impressionnant, mais j’étais surtout concentré sur l’équipe qui m’accompagnait. Je les comptais tout en discutant avec eux. Les neuf étaient bien là et selon le contrat, il y avait un rang C et huit rangs D pour un donjon de rang D. Si je devais me battre avec eux, j’avais peu de chances de m’en sortir, mais je voulais connaître la vérité.

Une fois à l’intérieur, quelques heures furent suffisantes pour atteindre la salle du boss. Je restais le plus possible à l’écart, mais à chaque fois, un de ces types me faisait la remarque de rester proche du groupe pour éviter qu’un monstre ne m’attaque par surprise. Ils bossaient avec une excellente coordination, aucun monstre n’arrivait à passer la première ligne et nous étions sur une vraie ligne droite pour l’instant, c’était évident qu’ils préparaient un coup foireux. Le boss tomba comme les autres monstres, mais une fois achevé, un escalier descendant fit son apparition au centre de la salle.

Ça, c’était un imprévu, c’était certain et leurs visages confirmaient ma pensée. Pour autant, j’étais intrigué par cet escalier et je me proposais de passer en premier, prétextant qu’un simple rang E ne serait pas une grosse perte. Bien évidemment, ils acceptèrent tout de suite et je me retrouvai en tête pour découvrir ce que ce donjon nous cachait. Une fois dans la nouvelle salle, je leur fis signe de venir avant d’avancer un peu plus, les laissant à l’entrée tandis que j’étais presque au milieu de cette dernière. Je me retournai vers eux, arrêtant cette comédie entre eux et moi, car j’avais fini par comprendre ce qu’ils faisaient exactement.

« Combien êtes-vous payés pour cette vengeance ? J’aimerais bien savoir à combien est estimée ma vie. »

Celui qui était visiblement le leader se mit à rire, me félicitant pour avoir compris avant de m’être pris un coup de hache dans le dos. Il ajouta le fait que tous mes anciens camarades n’étaient que du bonus, un moyen de m’attirer. C’était malin de leur part et j’étais dans une situation où mes chances de survie frôlaient plus zéro qu’un pourcent.

C’est alors que l’escalier se referma, nous coinçant dans la salle inconnue où un petit feu fit son apparition en son centre. Ce dernier se mit à grandir et en parallèle, tous mes assaillants semblaient perdre leurs pouvoirs, mais leurs regards étaient clairs : ils allaient me faire la peau. Tout du moins, c’était leur plan de base, mais pour une raison que je ne comprenais pas, ils semblaient tous moins imposants, moins forts. C’est alors que mon cerveau comprit : ils misaient tellement sur leurs pouvoirs que sans eux, ils étaient presque inoffensifs.

J’allais encore tuer, mais cette fois-ci, je n’étais pas un enfant dévoré par la peur ou la colère, j’étais un adulte qui faisait ce qu’il devait faire pour survivre. Pourtant, je ne pouvais m’empêcher de penser à leurs familles, je ne voulais pas leur faire ce que j’aurais détesté qu’on me fasse. Je me contentai d’esquiver, mais ils étaient neuf et je n’allais pas pouvoir esquiver éternellement. C’est alors que l’un d’eux se mit à attaquer les autres, entrant dans une rage énorme. Je ne comprenais pas ce qui lui arrivait, mais le laisser faire un carnage était hors de question. Je fonçai vers lui avant d’attraper sa tête avec ma main gauche et de l’exploser contre un mur, son corps prenant ainsi feu et rejoignant la flamme au centre.

Les minutes qui suivirent furent une répétition de la scène précédente : l’un d’eux devenait fou, je le tuai et il rejoignait le feu central qui finit par devenir un brasier. Il ne restait plus que le chef et moi, ce dernier me hurlant dessus que j’étais un véritable monstre. Il avait peut-être raison, je les avais tués sans hésitation, mais ce n’était pas par plaisir, chaque mort me serrant un peu plus l’estomac. Alors qu’il s’apprêtait à abattre sa hache sur moi, une main attrapa sa tête et la serra jusqu’à ce qu’elle explose. Cette main venait de sortir du brasier et un regard venait du même endroit m’était destiné. Je n’eus pas le temps de me mettre en garde que mon bras gauche fut arraché et la suite, vous la connaissez.

Mon corps tombait vers l’avant, au ralenti, prêt à être détruit par la créature face à moi. C’est alors qu’une bulle fit son apparition devant moi. Système ? Devenir un joueur ? Quelle hallucination je pouvais bien me taper…

« Grand frère, tu viens déjeuner ? »

« J’arrive Eileen, laisse-moi deux minutes. »

Ça fait trois jours depuis ma sortie du donjon. Je fus le seul à être retrouvé, mais mon état ne s’est pas arrangé pour autant. Depuis ma sortie, j’ai des hallucinations et je vois des bulles comme dans un RPG. Est-ce qu’appuyer sur le bouton accepter était vraiment une bonne idée ? Je commence à en douter…


 

Et derrière l'écran...

Pseudo - Ellebast

Qui es-tu ? - Un étudiant belge

Comment as-tu connu le forum ? - J’ai tapé « forum rp manga » sur google, j’ai cliqué sur le premier lien et c’était le numéro 18.

Une petite citation ? - Tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe !

Autres - Peut-on évaluer l’art objectivement ? Vous avez quatre heures.
Système
Système
Admin
Messages : 15
Date d'inscription : 18/08/2020
https://hunters-path.forumactif.com

Akashi Ellyot - Joueur [Finie] Empty Re: Akashi Ellyot - Joueur [Finie]

Sam 7 Nov - 13:28
Ta fiche est validée !


Bienvenue @Akashi Ellyot

La gauche meurtrière est dans la place ! Intéressante comme histoire, d'un personnage qui part de rien et qui va au fond des choses, quitte à se montrer "trop" violent. Le plan qu'avait les autres chasseurs pour t'attirer dans un piège est un peu capillotracté je trouve (sur trois ans tout de même), mais après tout, pourquoi pas !

Une fois ta couleur attribuée, il faudra te rendre dans la partie « feuille de personnage et inventaire » : clique ici afin de créer ta fiche dans le groupe qui te concerne.

Bienvenue sur Hunter's Path et puisse le destin t'être favorable !

ASHLING POUR EPICODE

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