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Vsevolod Yegorovich
Vsevolod Yegorovich
Messages : 7
Date d'inscription : 06/12/2020

Vsevolod Yegorovich Empty Vsevolod Yegorovich

Dim 6 Déc - 23:16

Kulikov Vsevolod "Vova" Yegorovich

  “ Sous-texte ou citation ”

Âge : Vingt-huit ans
Nature : Joueur
Sexe : Masculin
Orientation : Hétérosexuel


 
Nationalité : Russe
Métier : Eleveur de chiens.  
Guilde : Indépendant
Avatar : Rotgar de Caldyra

  icône de présentation

 
Présentation

Statistiques


Caractéristiques
Vsevolod Yegorovich FghfhgForce : 7
Vsevolod Yegorovich FghfhgAgilité : 4
Vsevolod Yegorovich FghfhgConstitution : 5
Vsevolod Yegorovich FghfhgPerception : 5
Vsevolod Yegorovich FghfhgIntelligence : 4

Affinité élémentaire
Vsevolod Yegorovich Fghfhg Ténèbres

Physique et mental



Il est difficile, particulièrement lorsque l’on vit à Tokyo, de cacher ses origines étrangères. Non pas que Vsevolod tente de le faire, ayant depuis bien longtemps compris l’impossibilité de la tâche. Malgré le fait qu’il parle couramment japonais, il ne parvient toujours pas à cacher son accent très fort, fruit de son enfance rurale. Sa mâchoire carrée, son nez épais et ses pommettes hautes, sans parler de ses yeux d’un bleu délavé et de ses cheveux blond sale le marquent également de manière indélébile comme un étranger, correspondant de surcroit au cliché que l’on peut souvent se faire de ses congénères. Les relations entre sa patrie d’origine et sa patrie d’adoption étant souvent rendues complexes tant par une histoire difficile que par le problème toujours épineux d’un territoire disputé, il a l’habitude attitudes hostiles camouflées en traitements froids, qu’il endure avec son stoïcisme habituel. Au moins peut-il compter sur sa carrure impressionnante et sa haute stature pour refroidir quelque peu les ardeurs des personnages les plus entreprenants. Haut d’un plus de deux mètres pour quatre-vingt-dix kilos, Vsevolod est en effet taillé comme une armoire, ses larges épaules, son dos épais et son poitrail plus proche dans sa forme et sa solidité du tonneau que de la chair mollassonne suffisent généralement à imposer à ses nouveaux compatriotes une crainte et un respect de bon aloi. Ses lèvres charnues, sa coupe et sa barbe souvent perçue par le nippon moyen comme agressives et les profondes cicatrices qui zèbrent le côté droit de sa face (et d’une grande partie du reste de son corps) suffisent à renforcer le tableau.

Ce n’est pourtant que l’homme soit malveillant. D’un naturel enjoué, c’est un bon vivant et un homme amical, passionné par la nature et les bêtes. Il n’aime rien tant que de s’absorber dans la contemplation des paysages de l’île, et les longues randonnées en solitaire qu’il s’accorde parfois lorsque son emploi du temps se fait un peu moins chargé. Alliant pour survivre deux métiers, celui de chasseur de bas rang, souvent confiné aux plus basses besognes, et d’éleveur de chiens, c’est un homme pétri de principes, reconnaissant par-dessus tout la valeur du travail honnête et de l’intégrité. S’étant spécialisé dans l’élevage de bergers du Caucase, de gigantesques chiens bien peu adaptés à la vie citadine ou aux mœurs japonaises, il réserve de fait ses services à une clientèle souvent passionnée ou professionnelle. Curieusement, il semble privilégier chez ces derniers un certain esprit de corps et une taille devenant un peu plus massive à chaque génération, obtenant des spécimens toujours plus impressionnants. Malgré le cumul de ces deux activités, il vit une existence somme toute relativement modeste dans son terrain au large de la ville Sapporo, niché dans une des zones humide et sauvage que forment souvent les nombreuses rivières confluentes qui parcourent la région. Cela lui convient pourtant tout à fait, car il a ainsi la possibilité de vivre relativement isolé et proche de la nature sauvage, laissant librement gambader ses bêtes chéries sur sa propriété. Le fait qu’il puisse également profiter de l’endroit pour faire pousser et distiller ses propres patates, obtenant un alcool d’une rare force, est un bonus qu’il apprécie à sa juste valeur.

Vsevolod surprend cependant régulièrement par certains points. Si en visitant sa maison, on trouve de manière peu surprenante tout l’attirail que l’on pourrait s’attendre à découvrir chez un tel homme, cette dernière comporte également une bibliothèque très fournie, comprenant entre autres des ouvrages aussi divers que des grands classiques de la littérature (souvent russe) que des ouvrages très techniques traitant de sujets aussi variés que la chimie, la médecine ou les sciences mécaniques. De fait, il semble que Vesvolod soit bien modeste, et cache notamment sa capacité à emmagasiner et comprendre facilement les nouvelles informations, son esprit les traitant avec une grave mécanique et froide de grande machine à trier. Lui-même ne précise pas, sans par pudeur, si ces capacités s’étendent jusqu’à la dissection de la psyché des autres humains.

Malgré ce caractère bonhomme et amical, il est rare que l’ami Vova accepte de réellement se livrer à ses éventuels interlocuteurs. Appréciant qu’on respecte sa vie privée, il ne parlera que rarement de son passé ou des raisons qui l’ont poussé à venir faire au Japon ce qu’il aurait finalement pu faire bien plus facilement dans son pays d’origine. L’on dit ainsi souvent de lui que s’il lui sera facile de prendre quelqu’un dans ses bras, il ne les refermera jamais vraiment. Ce caractère secret, en plus de correspondre à ses penchants naturels, est justifié par ses tendances les plus inavouables. Car Vsevolod Yegorovich, sous ses dehors sympathiques et son éternel sourire, cache certaines pulsions difficilement avouables au tout-venant mondain. Obsédé depuis son plus jeune âge par la chasse, il a facilement absorbé les enseignements de son père, avant de les adapter. C’est ainsi qu’il a souvent à se défendre des questions qu’on peut lui poser sur les disparitions régulières de randonneurs et d’autres promeneurs égarés, que l’on a jusqu’à présent jamais pu lier à sa personne malgré des enquêtes régulières. Lui se contente toujours d’observer le manège bourdonnant des enquêteurs, passant dans la fourrure épaisse de ses bêtes une main lourde et chargée de promesses. Sa récente révélation, et le fait qu’il soit lui-même devenu un joueur n’a fait que grandir ses ambitions, et il se rend maintenant graduellement compte que les donjons, qui jusqu’à présent étaient pour lui des terrains inaccessibles, risquent rapidement de lui révéler toute leur saveur.



Histoire



Kulikov Vsevolod Yegorovich est né dans un humble famille de la Russie occidentale. Coupée du monde et de ses tumultes, cette dernière avait depuis plusieurs générations vu passer les changements sans que ces dernières ne la transforme jamais réellement. Certes, un vieux tracteur grinçant avait bien fini par remplacer les antiques charrues et les vieux bœufs fatigués, et certes, la majeure partie des rejetons du clan atteignaient maintenant l’âge adulte, mais somme toute, les choses étaient restées sensiblement les mêmes. On se levait toujours tôt, et la vie était rythmée par la danse des saisons et ce que la terre ingrate et dure voulait bien donner. Souvent, c’était le gibier des environs qui venaient compléter la maigre pitance de la famille, arrosé généreusement d’un alcool malfaisant vaguement inspiré de la vodka, curieux mélange d’herbe, de chair en décomposition et de pommes de terre mal distillées. L’idée même que, malgré les avancés considérable de la médecine, ce dernier puisse être responsable de l’espérance de vie toujours à la traine de ses consommateurs était considérée avec une rare hostilité. Cela fortifiait et rendait viril, répétait souvent le patriarche, ses doigts épais et pleins de cals serrant avec ferveur les bouteilles épaisses et difformes qui piégeaient en leurs seins maternel le précieux liquide.

De fait, le jeune Vsevolod eut une enfance heureuse, se perdant pour ses parents dans la masse protéiforme de ses frères et de ses sœurs, voire de ceux de la famille qui vivait sur le lopin voisin, lorsque les familles de la région se retrouvaient pour célébrer telle ou telle occasion, et que leurs têtes penchées s’organisaient en rangs serrés pour écouter dévotement les paroles du patriarche local, avant que, libérés, la marmaille n’aille se disperser en un flot braillard et vite sale. Ce dernier se démarqua cependant relativement rapidement de la masse congénitale, manifestant d’abord un esprit relativement vivace, ce qui comme premier effet de le rendre suspect. Des générations d’accouplement à la génétique hasardeuse n’avaient rien fait pour renforcer la qualité de sa lignée, et un esprit trop éveillé n’était de toute façon pas chose particulièrement utile à la vie de ces gens. Vova sut cependant dissiper les craintes de ses pairs et parer leurs moqueries en se rendant d’abord utile à la chasse, puis en offrant à ses parents de s’occuper des quelques contraintes administratives qui parvenaient parfois jusqu’à eux sous forme de lettre aux cachets impressionnants et aux inscriptions arcanes. Il se révéla également rapidement un chasseur adroit, capable de lire les signes du passage des bêtes et disposant d’une main qui ne trembla jamais, même la première fois, lorsque vint le moment fatidique de conclure leurs escapades sauvages. Ce fut donc pour lui une surprise au gout doux-amer lorsqu’on lui expliqua que la famille avait cotisé, et qu’il quitterait la maison familiale pour aller étudier chez un lointain cousin de Vladivostok, lui aussi décrit avec un rire suffisant comme un homme des livres. Le jeune garçon reconnut à travers les railleries et les rigoles somme toute très nerveuses le geste pour ce qu’il était, et accepta avec un sourire touché.

Le choc culturel fut aussi immédiat qu’important. Pour un jeune garçon comme lui, qui n’avait jamais connu de la grande ville que ce qu’on lui avait raconté, et pour qui un grand rassemblement humain se limitait au village dans lequel ils allaient parfois vendre les humbles produits de leur terre, les hautes tours et les manières nouvelles des gens de la ville furent longtemps difficiles à appréhender. A cette difficulté à communiquer avec les autres, il dut allier un certain retard dans son apprentissage. Car si Vova passait pour ses congénères pour un professeur en devenir, appelé à inscrire son nom au panthéon des plus glorieux héros nationaux (surtout Kalashnikov, particulièrement apprécié de la famille), son intellect était en revanche pour ses nouveaux camarades bien moins brillant, tout enfoui sous une épaisse couche d’ignorance et de crasse agricole qu’il était. Alors il redoubla d’efforts, se rappelant les leçons et la main lourde de son père lorsqu’il ne parvenait pas à les appliquer. Le travail et l’opiniâtreté, se rappelait-il en se retournant dans son lit aux épaisses couvertures, le soir. Il appliqua également la même énergie à comprendre ses pairs et à gommer autant sa façon d’être que de parler, bien qu’il lui fût bien plus difficile de trouver des manuels adaptés pour cela. En quelques années, la transformation était complète, et bien qu’il rentrât chaque été lors des grandes vacances pour retrouver ses frères, ses sœurs et ses parents, il apparaissait chaque fois à tout le monde qu’il devenait de plus en plus différent d’eux, et que malgré son talent toujours confirmé pour la traque forestière et son affinité particulière avec les bêtes que son éloignement semblait aussi confirmé qu’inévitable. Somme toute, il était devenu, ou en tout cas devenait « un gars de la ville », entre autres expressions souvent moins affables.

Ce détachement autant de son milieu d’origine que des citadins, qui malgré sa capacité à adopter leurs mœurs restaient pour lui des étrangers maniérés et coupés autant de ses réalités que de la nature qui continuait de bercer son imaginaire et ses rêves les plus profonds, provoqua chez le jeune Vsevolod une détresse certaine. Il appliqua pour l’exorciser tous les conseils qu’il pouvait trouver dans les livres qu’il fréquentait assidument, et se mit au sport, au tir, aux randonnés, et tenta de se faire plus social, voulant trouver dans les regards approbateurs de ses nouveaux compatriotes une validation suffisante pour dissiper le mal-être qui le gagnait. Ce ne fut qu’un succès très partiel, et l’orientation particulière de ses activités ne fit au final que renforcer les traits qui définissaient déjà son profil. Ce fut au moment de sa véritable consécration, lorsque fut enfin venu le moment d’intégrer l’un des programmes les plus prestigieux de l’université fédérale d’Extrême-Orient qu’il comprit quelle était la cause de ses soucis, et comment y remédier de manière efficace. Il ne prêta d’abord pas attention aux réactions faussement effrayés des journaux sensationnalistes, qui décrivirent une scène macabre et un rituel sanglant. Ses traces étaient couvertes, car il était plus chez lui dans la nature que n’importe lequel de ses congénères. Alors il continua, pendant plusieurs années, se faisant toujours plus audacieux, complétant son tableau de chasse.

Ses méthodes se firent plus raffinées, aussi, et ce fut à ce moment qu’il trouva sa passion pour les chiens, ces bêtes sympathiques et dévouées. Ce fut sans surprise que son choix se porta sur une espèce si représentative des traditions de son pays, ayant fait ses preuves sous de nombreuses générations de tsars, aussi bien blancs que rouges. Et il continua. Encore, et encore, et encore un peu plus. Il était doué pour cela, se rendit-il rapidement compte. Malgré toute l’excitation que les esprits dégénérés des producteurs occidentaux pouvaient mettre en œuvre, chasser la proie humaine n’avait somme toute rien de particulièrement difficile. Les gens, quand ils se rendaient compte de leur détresse, ne réagissait que rarement en se sublimant dans l’adversité. C’était le plus souvent un étalage d’entrejambes souillées et de glapissement apeurés. Le véritable plaisir de venait pas de là, ni même de la connexion enfin authentique, bien que très temporaire, qu’il lui semblait régulièrement parvenir à établir. Le véritable plaisir était autre, très primal, il venait de cette vibration atavique qui parcourait son corps, jusqu’à son âme même, lorsqu’il s’occupait de ses partenaires de jeu.

Hélas, et comme toute bonne chose, cela devait prendre fin. On finit, après plusieurs années, par remonter suffisamment sa trace pour qu’il doive espacer ses actions, et élargir son terrain de chasse. Alors, quand il sentit sa fin arriver, et son rôle jusque là bien assuré de prédateur se confondre rapidement avec celui de la proie, il n’attendit pas la confrontation finale. Il disparut dans la nature, coupant avec tous ses proches toute forme de communication, vivant pendant deux ans en ermite, avant de réémerger quelques années plus tard et de rétablir une existence administrative. Comprenant qu’il lui serait difficile de recommencer à sévir dans la région, ou même tout simplement en Russie, il hésita comme lieu de vie suivant entre le Japon et la Chine pour leur proximité géographique, choisissant finalement le premier pays.

Il lui fut aisé de faire valoir ses multiples expériences et son diplôme de professeur en langues pour émigrer au Japon, bien qu’il choisisse une fois sur place de vivre une existence de reclus dans le nord du pays, important de son pays les chiens qui l’avaient si longtemps épaulé. Alliant à cela ses capacités de chasseur débutant, il comprit rapidement comment stabiliser sa nouvelle existence et s’assurer de la pérennité de son titre de séjour. Ayant appris de ses erreurs précédentes, il adopta de nouvelles méthodes, espaçant autant dans le temps que l’espace ses crimes, dessinant pour les enquêteurs le profil d’un tueur en série habitant bien loin de son propre domicile. La méthode fonctionna, et le brave Vova était tout proche de se résigner à la morosité régulière de sa nouvelle existence, quand il eut enfin la deuxième révélation de sa vie.

Cela aurait dû être une sortie comme les autres. Il devait servir de portefaix et de dépeceur glorifié, son expérience en tant qu’homme des bois lui assurant au moins une expérience utile en tant que petite main de son groupe. Le donjon n’avait pas posé de réel problème, et à part quelques blessures légères, tout le monde s’en était sorti indemne, preuve indiscutable de l’efficacité bien rodé des chasseurs. Ce ne fut que lorsque la présence se manifesta devant eux qu’il comprit enfin. Une ombre, un être de bois noir et de chair tordue et de sève aux couleurs impossibles, un mélange immonde semblant tout droit sorti des parties les plus cauchemardesques du folklore de son enfance. Il bougeait avec une vitesse alarmante, et ses griffes déchiraient les chairs comme autant de confettis, absorbant le sang avant que celui n’ait même le temps de gicler. Les corps tombaient en face d’elles comme autant de ballons crevés, et Vsevolod comprit enfin ce que pouvaient ressentir ses victimes. Malgré tout son savoir, malgré toute son expérience, il n’était pas armé pour lutter face à une entité qui se faisait en face de lui un reflet si pur et pourtant si déformé de sa propre existence. Il courut, la bouche ouverte, les poumons embrasés et comme remplis de milliers de petites lames, priant de manière confuse son père, Dieu et toutes les figures saintes qui surnageaient hors du bouillon tourbillonnant de ses pensées paniquées. Et il se rendit rapidement que les quelques chasseurs qui comme lui avaient choisi de prendre la fuite, malgré leurs capacités physiques incontestablement supérieures, étaient les premiers à mourir.

La bête jouait avec lui, se dit-il. Il ne savait pas comment, et encore moins pouquoi, mais elle le connaissait. Sans qu’il ne sache réellement comment cela se faisait, il en était en ce moment intimement convaincu, et se rattachait à ce fil avec tout le désespoir et la rage indignée dont il était capable. Il la voyait, du coin de l’œil, ombre parmi les ombres, mouvement parmi les mouvements, et malgré le silence écrasant qui régnait maintenant que son équipe avait fini de souffrir, elle ne passait pas à l’assaut.

Il se rappela des leçons de son père, lorsqu’il tirait les gros élans, les petits lapins et les autres bêtes.


Il se rappela des visages des gens, et de ses difficultés à s’adapter à un environnement nouveau.

Il se rappela de leurs corps mutilés, et du linceul de la neige.

Fuir ne servait à rien. Il se retourna, et se saisissant de l’humble couteau qui lui servait à charcuter les carcasses pour en extraire les précieux cristaux, fit face. Ce fut sans doute le moment le plus important, plus encore sans doute que la myriade d’autres épisodes souvent cataclysmiques qui jonchaient son chemin. Les griffes de la créature se plongèrent en lui, et il s’éveilla, prenant conscience du système qui devait maintenant l’accompagner. Son corps glissa au sol, et il se retrouva hors du donjon. Il lui fallut peu de temps pour comprendre la chance qui lui avait été offerte, et les possibilités qui s’offraient à lui.

Toute sa vie avait mené, sans qu’il ne s’en rende jamais compte, à le faire devenir ce qu’il s’apprêtait à devenir. Il était prêt.


 

Et derrière l'écran...

Pseudo - HamsterGod

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Comment as-tu connu le forum ? - Par un topsite

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Date d'inscription : 18/08/2020
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Vsevolod Yegorovich Empty Re: Vsevolod Yegorovich

Lun 7 Déc - 12:48
Ta fiche est validée !


Bienvenue @ - Attend, comment j'écris ça moi ? Damnit.
Bienvenue @Vsevolod Yegorovich !

Un style très soutenu et bien agréable à lire ! L'éleveur de chien aux quelques pulsions est donc arrivé sur les côtes du Japon. De gros chiens par ailleurs, j'viens d'apprendre une nouvelle race ! Autrement, j'ai bien aimé le développement son enfance, de son plus jeune âge et co, c'était cool !

Une fois ta couleur attribuée, il faudra te rendre dans la partie « feuille de personnage et inventaire » : clique ici afin de créer ta fiche dans le groupe qui te concerne.

Bienvenue sur Hunter's Path et puisse le destin t'être favorable !

ASHLING POUR EPICODE

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