Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
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- Sélène Anryena
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Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Lun 25 Jan - 2:49
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
Une souris entre les griffes d'un chat.
Izaya a toujours eu cette élégance naturelle, ce regard et ce malice qu'on pourrait vite comparer à un félin intelligent. Elle a ces yeux, cette intensité qui s'en dégage… Quelque chose de sauvage mais raffiné, quelque chose de fier, quelque chose de séduisant.
Actuellement, le chat est au dessus de sa proie, la toisant avec envie, s'en léchant presque les babines d'avance. Mais l'animal n'attend pas trop longtemps, impatient qu'il est. Il se jette donc sur ce qu'il convoite, dévorant avec douceur.
C'est ce que Izaya fait. Elle dévore ces lèvres féminines, elle les caresse… Elle peut sentir sa salive se mélanger à celle de l'Arai. Quand elle en sent les goûts, elle rougit, elle tressaillit, elle prend un profond plaisir. Elle se retient d'y sortir sa langue, préférant se maintenir sur un baiser doux, innocent, presque romantique. Quelques gémissements sortent de la bouche de la Miyamoto, parfois étouffés par les baisers. Haruna semble paralysée au début, bien reculée jusqu'au fond du jacuzzi. Elle a essayé de maintenir une certaine distance, en vain. Elle se laisse donc submerger par la passion du chat qui s'amuse avec elle.
A un moment, la psychologue sent la musicienne essayer de suivre ses gestes. Elle tente de l'imiter, de se joindre au plaisir, ce qui serre le cœur d'Izaya, qui ne s'attendait pas à ce petit acte timide, timide mais si important pour elle.
Elle gémit un peu plus fort, rallongeant le baiser en entourant ses mains autour de la nuque de sa proie- non, de sa partenaire, qui, malheureusement, gémit à son tour. Elle ne gémit pas de plaisir, mais de douleur, venant à s'appuyer sur son bras par maladresse. Un peu inquiète, Izaya se déconcentre, et vient à rompre le baiser en libérant doucement l'Arai.
Evidemment, celle-ci n'ose pas la regarder, cherchant même à retrouver de l'air, ayant visiblement retenu sa respiration tout le long. Ou peut-être n'est-elle pas habituée à savoir comment prendre de l'oxygène durant un baiser ?
Izaya l'observe et rit un peu quand Haruna répond à sa question indirecte. Ainsi, elle lui aurait volé son premier baiser… Elle n'y avait pas pensé, et elle aurait pu culpabiliser… Si elle n'avait pas remarqué ce geste discret. Ce moment où elle a essayé de suivre ses mouvements.
Elle est complètement choquée. Elle est perdue, complètement perdue après ce court moment, court mais si intense.
Le corps encore brûlant, Izaya remarque que la femme sous elle cherche à parler, et même à reposer ses yeux sur elle, mais elle n'y arrive pas dans les deux cas.
Huhu… En tout cas, je suis touchée que tu aies essayé de m'embrasser aussi.
En y repensant, Izaya se met à rougir davantage, alors qu'elle garde le sourire.
Elle rit, avant de frotter la joue contre la sienne, comme un chat affectueux.
Elle lui embrasse ensuite cette joue.
Tu es adorable. Je fonds juste à te regarder…
Avoue-t-elle sincèrement, avant de lui reprendre le visage, entre ses mains.
Elle la force à la regarder, et elle la fixe, elle la fixe droit dans les yeux.
Son regard trahit si facilement le désir incommensurable qu'elle a actuellement pour elle.
Si difficile de résister… Ahh…
Soupire-t-elle avant de l'embrasser à nouveau.
Elle l'embrasse, une deuxième fois, plus passionnément, collant son corps contre le sien durant ce moment, s'y frottant même instinctivement au niveau du buste, toujours en poussant quelques cris de plaisir.
N'oublie pas de respirer quand je… Reprends mon souffle…
Elle inspire, elle expire, les moments de "pauses" sont extrêmement courts, alors que ses gémissements deviennent plus longs, plus "plaintifs", arrivant même à une consonnance extrêmement suggestive, même si, dans une telle situation, c'est à se demander qu'est-ce qui est suggestif, et si cela en avait de l'importance.
Finalement, elle tremble beaucoup, retenant tout de même encore son excitation, son instinct. Elle relâche d'un coup, ses lèvres si proches des siennes, pour ne pas dire qu'elles sont collées. Elle entrouvre la bouche, poussant un long soupir chaud, retrouvant son souffle petit à petit.
Huhu, je ne pensais pas que… Ce serait aussi intense…
Elle recule enfin, s'éloignant un peu plus loin pour s'adosser au rebord du jacuzzi, inspirant et expirant longuement.
Elle fait ensuite un clin d'œil un peu faible à la musicienne.
Désolé pour le deuxième baiser… C'était… Vraiment trop tentant.~ Haha…
Elle se tient le cœur, par réflexe, pour reprendre son souffle.
J'en ai oublié de profiter du jacuzzi, haha…
Izaya a toujours eu cette élégance naturelle, ce regard et ce malice qu'on pourrait vite comparer à un félin intelligent. Elle a ces yeux, cette intensité qui s'en dégage… Quelque chose de sauvage mais raffiné, quelque chose de fier, quelque chose de séduisant.
Actuellement, le chat est au dessus de sa proie, la toisant avec envie, s'en léchant presque les babines d'avance. Mais l'animal n'attend pas trop longtemps, impatient qu'il est. Il se jette donc sur ce qu'il convoite, dévorant avec douceur.
C'est ce que Izaya fait. Elle dévore ces lèvres féminines, elle les caresse… Elle peut sentir sa salive se mélanger à celle de l'Arai. Quand elle en sent les goûts, elle rougit, elle tressaillit, elle prend un profond plaisir. Elle se retient d'y sortir sa langue, préférant se maintenir sur un baiser doux, innocent, presque romantique. Quelques gémissements sortent de la bouche de la Miyamoto, parfois étouffés par les baisers. Haruna semble paralysée au début, bien reculée jusqu'au fond du jacuzzi. Elle a essayé de maintenir une certaine distance, en vain. Elle se laisse donc submerger par la passion du chat qui s'amuse avec elle.
A un moment, la psychologue sent la musicienne essayer de suivre ses gestes. Elle tente de l'imiter, de se joindre au plaisir, ce qui serre le cœur d'Izaya, qui ne s'attendait pas à ce petit acte timide, timide mais si important pour elle.
Elle gémit un peu plus fort, rallongeant le baiser en entourant ses mains autour de la nuque de sa proie- non, de sa partenaire, qui, malheureusement, gémit à son tour. Elle ne gémit pas de plaisir, mais de douleur, venant à s'appuyer sur son bras par maladresse. Un peu inquiète, Izaya se déconcentre, et vient à rompre le baiser en libérant doucement l'Arai.
Evidemment, celle-ci n'ose pas la regarder, cherchant même à retrouver de l'air, ayant visiblement retenu sa respiration tout le long. Ou peut-être n'est-elle pas habituée à savoir comment prendre de l'oxygène durant un baiser ?
Izaya l'observe et rit un peu quand Haruna répond à sa question indirecte. Ainsi, elle lui aurait volé son premier baiser… Elle n'y avait pas pensé, et elle aurait pu culpabiliser… Si elle n'avait pas remarqué ce geste discret. Ce moment où elle a essayé de suivre ses mouvements.
Elle est complètement choquée. Elle est perdue, complètement perdue après ce court moment, court mais si intense.
Le corps encore brûlant, Izaya remarque que la femme sous elle cherche à parler, et même à reposer ses yeux sur elle, mais elle n'y arrive pas dans les deux cas.
Huhu… En tout cas, je suis touchée que tu aies essayé de m'embrasser aussi.
En y repensant, Izaya se met à rougir davantage, alors qu'elle garde le sourire.
Elle rit, avant de frotter la joue contre la sienne, comme un chat affectueux.
Elle lui embrasse ensuite cette joue.
Tu es adorable. Je fonds juste à te regarder…
Avoue-t-elle sincèrement, avant de lui reprendre le visage, entre ses mains.
Elle la force à la regarder, et elle la fixe, elle la fixe droit dans les yeux.
Son regard trahit si facilement le désir incommensurable qu'elle a actuellement pour elle.
Si difficile de résister… Ahh…
Soupire-t-elle avant de l'embrasser à nouveau.
Elle l'embrasse, une deuxième fois, plus passionnément, collant son corps contre le sien durant ce moment, s'y frottant même instinctivement au niveau du buste, toujours en poussant quelques cris de plaisir.
N'oublie pas de respirer quand je… Reprends mon souffle…
Elle inspire, elle expire, les moments de "pauses" sont extrêmement courts, alors que ses gémissements deviennent plus longs, plus "plaintifs", arrivant même à une consonnance extrêmement suggestive, même si, dans une telle situation, c'est à se demander qu'est-ce qui est suggestif, et si cela en avait de l'importance.
Finalement, elle tremble beaucoup, retenant tout de même encore son excitation, son instinct. Elle relâche d'un coup, ses lèvres si proches des siennes, pour ne pas dire qu'elles sont collées. Elle entrouvre la bouche, poussant un long soupir chaud, retrouvant son souffle petit à petit.
Huhu, je ne pensais pas que… Ce serait aussi intense…
Elle recule enfin, s'éloignant un peu plus loin pour s'adosser au rebord du jacuzzi, inspirant et expirant longuement.
Elle fait ensuite un clin d'œil un peu faible à la musicienne.
Désolé pour le deuxième baiser… C'était… Vraiment trop tentant.~ Haha…
Elle se tient le cœur, par réflexe, pour reprendre son souffle.
J'en ai oublié de profiter du jacuzzi, haha…
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Lun 25 Jan - 3:37
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Quand enfin Izaya se détache d'elle, Haruna essaie de rétablir un certain équilibre émotionnel, un certain niveau de calme qui lui permettrait de réfléchir, de mettre en ordre ses pensées et ses sentiments. Elle ne comprend rien dans ce tourbillon qui l'emporte sans se soucier de son état. Le chat enjoué par son jeu avait du mal à s'arrêter alors que la souris peinait à s'en sortir.
Et le contact entre leurs corps n'arrange rien, ajoutant aux sensations à comprendre, à intégrer pour ensuite les analyser. Savoir si c'est plaisant peut paraître évident pour certains, mais pour Haruna c'est ici tout un combat, tant l'ouragan qui est en train de l'emporter balaye ses certitudes quant à ses propres émotions. Elle ne sait plus si elle apprécie ou non ce qu'il se passe, si elle en veut d'autre ou si elle veut fuir l'appartement luxueux de son hôtesse. Tout va si vite que lorsque cette dernière lui parle une fois le baiser terminé, l'Arai la comprend à peine. Il lui faut quelques secondes de plus pour réaliser et rougir de plus belle. Sans y penser, elle avait voulu suivre, participer. Ne pas rester spectatrice. Est-ce que cela voulait dire qu'elle avait aimé ou simplement qu'elle avait eu peur de décevoir Izaya ?.. Elle ne savait pas. C'était trop brusque, trop direct, trop récent. Tout se mélangeait.
Les contacts répétés qu'aimait partager la Miyamoto n'aidaient en rien la demoiselle à faire le tri dans ses envies et ses sentiments. Elle était comme subjuguée par l'expérience de la trentenaire qui avait l'air de savoir ce qu'elle faisait à tout instant. Peau contre peau, elle ne savait plus comment réagir, sans la moindre défense entre les pattes d'Izaya.
Sa respiration s'accélère de nouveau alors que la psy lui attrape le visage pour la forcer à se voir yeux dans les yeux. Pour un peu, elle en aurait presque pleuré. Non pas de peur ou de douleur, de rage ou de chagrin, mais bien d'émotion, un trop plein brusque qui la désarmait au plus haut point. Sans doute plus qu'Izaya ne pouvait l'imaginer en cet instant. Vivant l'évènement comme une tornade dévastant toute certitude dans son coeur, elle ne put que fermer les yeux, la respiration rapide. Les odeurs de sa partenaire et du savon du bain se mélangeaient et avec elles, Haruna s'ennivrait.
Lorsque vint le deuxième baiser, l'Arai était prête. Non pas émotionnellement, mais physiquement. Là où elle n'avait pas su quoi faire la première fois, Izaya semblait beaucoup plus pédagogique cette fois-ci même si elle se collait plus encore à elle, ce qui avait tendance à étourdir l'innocente ingénue. Elle ne parvenait pas encore à comprendre ce qu'il se passait dans leur baiser, le reste n'était même pas réellement enregistré. Tout juste sentait-elle un ajout dans la complexité qu'elle devait déméler.
Elle tâcha alors de se concentrer non plus sur son corps mais uniquement sur sa bouche et celle de la Miyamoto, mais aussi sur les paroles de cette dernière quand elle la laissait respirer par instant. Alors qu'Izaya est plutôt bruyante, manifestant son plaisir par divers cris, gémissements et autres expressions en tous genres, l'Arai demeurait très timide, silencieuse. Elle ne comprenait pas pourquoi exprimer si bruyamment son envie semblait embarquer la trentenaire plus encore. Des frissons la parcourent, toutes ces manifestations sonores commençant à travailler les émotions de la jeune fille qui n'ose cependant toujours pas faire le moindre bruit. Elle sent cependant une boule de chaleur se développer dans sa poitrine, l'embarquer là où elle n'imaginait pas pouvoir mettre les pieds.
Cessant de réfléchir comme elle essayait de le faire jusque là, se débattant entre raison et sentiments, Haruna finit par simplement se laisser porter, devenant plus naturelle dans ses mouvements tandis que sa partenaire continuait de la guider. Et maintenant qu'elle y goûtait réellement, elle se demandait si c'était le vin ou cet instant qui lui avait fait le plus tourner la tête.
Reprenant un peu son souffle, regard divergeant de nouveau sur le côté, joues carmin, la demoiselle qui faisait ses premiers pas dans le monde des relations adultes se releva pour s'approcher du savon qu'elle attrapa. Restant debout dans le bain, elle se mit dos tourné à Izaya, les joues toutes rouges, commençant à se laver les jambes de son mieux. Mais rapidement, elle vascilla et manqua de tomber. Avec son bras blessé, elle préféra rapidemment se rassoir, toujours dos tourné à son hôtesse. Elle n'osait plus la regarder. Elle allait la réembrasser si c'était le cas, elle en était certaine. Et elle ne savait pas si elle était capable d'en gérer émotionnellement un troisième. Elle avait besoin de temps. De réflexion. De compréhension.
Décidant finalement de se remettre sur le côté, en biais par rapport à la psy, elle sortit un pied de l'eau pour l'appuyer sur le rebord et ainsi se laver sans plus risquer de tomber. Doucement, utilisant uniquement sa main droite valide, elle se nettoya de son mieux, restant silencieuse. À quelques reprises, elle jeta un coup d'oeil à Izaya, mais à chaque fois elle redevenait carmin en un instant et détournait les yeux, incapable de formuler quoi que ce soit. Sa bouche s'entrouvrait et fermait. Elle ne savait plus où donner de la tête.
Passant à l'autre jambe, elle reprit avec son bras blessé, y allant tout doucement pour ne pas se refaire mal. Par instants, elle laissait malgré tout échapper des gémissements de douleur. Les os allaient mettre plusieurs jours pour se réparer, ce qui était déjà exceptionnellement court pour un être humain mais qui était tout de même diablement long en tant que douleur à supporter. Enfin, lorsqu'elle eut terminé, elle rougit et, sans regarder Izaya puisqu'elle en était de toute façon incapable, elle parvint enfin à articuler.
« C'est... C'est pas... Pas grave... Je... Je t'en veux pas... »
Et le contact entre leurs corps n'arrange rien, ajoutant aux sensations à comprendre, à intégrer pour ensuite les analyser. Savoir si c'est plaisant peut paraître évident pour certains, mais pour Haruna c'est ici tout un combat, tant l'ouragan qui est en train de l'emporter balaye ses certitudes quant à ses propres émotions. Elle ne sait plus si elle apprécie ou non ce qu'il se passe, si elle en veut d'autre ou si elle veut fuir l'appartement luxueux de son hôtesse. Tout va si vite que lorsque cette dernière lui parle une fois le baiser terminé, l'Arai la comprend à peine. Il lui faut quelques secondes de plus pour réaliser et rougir de plus belle. Sans y penser, elle avait voulu suivre, participer. Ne pas rester spectatrice. Est-ce que cela voulait dire qu'elle avait aimé ou simplement qu'elle avait eu peur de décevoir Izaya ?.. Elle ne savait pas. C'était trop brusque, trop direct, trop récent. Tout se mélangeait.
Les contacts répétés qu'aimait partager la Miyamoto n'aidaient en rien la demoiselle à faire le tri dans ses envies et ses sentiments. Elle était comme subjuguée par l'expérience de la trentenaire qui avait l'air de savoir ce qu'elle faisait à tout instant. Peau contre peau, elle ne savait plus comment réagir, sans la moindre défense entre les pattes d'Izaya.
Sa respiration s'accélère de nouveau alors que la psy lui attrape le visage pour la forcer à se voir yeux dans les yeux. Pour un peu, elle en aurait presque pleuré. Non pas de peur ou de douleur, de rage ou de chagrin, mais bien d'émotion, un trop plein brusque qui la désarmait au plus haut point. Sans doute plus qu'Izaya ne pouvait l'imaginer en cet instant. Vivant l'évènement comme une tornade dévastant toute certitude dans son coeur, elle ne put que fermer les yeux, la respiration rapide. Les odeurs de sa partenaire et du savon du bain se mélangeaient et avec elles, Haruna s'ennivrait.
Lorsque vint le deuxième baiser, l'Arai était prête. Non pas émotionnellement, mais physiquement. Là où elle n'avait pas su quoi faire la première fois, Izaya semblait beaucoup plus pédagogique cette fois-ci même si elle se collait plus encore à elle, ce qui avait tendance à étourdir l'innocente ingénue. Elle ne parvenait pas encore à comprendre ce qu'il se passait dans leur baiser, le reste n'était même pas réellement enregistré. Tout juste sentait-elle un ajout dans la complexité qu'elle devait déméler.
Elle tâcha alors de se concentrer non plus sur son corps mais uniquement sur sa bouche et celle de la Miyamoto, mais aussi sur les paroles de cette dernière quand elle la laissait respirer par instant. Alors qu'Izaya est plutôt bruyante, manifestant son plaisir par divers cris, gémissements et autres expressions en tous genres, l'Arai demeurait très timide, silencieuse. Elle ne comprenait pas pourquoi exprimer si bruyamment son envie semblait embarquer la trentenaire plus encore. Des frissons la parcourent, toutes ces manifestations sonores commençant à travailler les émotions de la jeune fille qui n'ose cependant toujours pas faire le moindre bruit. Elle sent cependant une boule de chaleur se développer dans sa poitrine, l'embarquer là où elle n'imaginait pas pouvoir mettre les pieds.
Cessant de réfléchir comme elle essayait de le faire jusque là, se débattant entre raison et sentiments, Haruna finit par simplement se laisser porter, devenant plus naturelle dans ses mouvements tandis que sa partenaire continuait de la guider. Et maintenant qu'elle y goûtait réellement, elle se demandait si c'était le vin ou cet instant qui lui avait fait le plus tourner la tête.
Reprenant un peu son souffle, regard divergeant de nouveau sur le côté, joues carmin, la demoiselle qui faisait ses premiers pas dans le monde des relations adultes se releva pour s'approcher du savon qu'elle attrapa. Restant debout dans le bain, elle se mit dos tourné à Izaya, les joues toutes rouges, commençant à se laver les jambes de son mieux. Mais rapidement, elle vascilla et manqua de tomber. Avec son bras blessé, elle préféra rapidemment se rassoir, toujours dos tourné à son hôtesse. Elle n'osait plus la regarder. Elle allait la réembrasser si c'était le cas, elle en était certaine. Et elle ne savait pas si elle était capable d'en gérer émotionnellement un troisième. Elle avait besoin de temps. De réflexion. De compréhension.
Décidant finalement de se remettre sur le côté, en biais par rapport à la psy, elle sortit un pied de l'eau pour l'appuyer sur le rebord et ainsi se laver sans plus risquer de tomber. Doucement, utilisant uniquement sa main droite valide, elle se nettoya de son mieux, restant silencieuse. À quelques reprises, elle jeta un coup d'oeil à Izaya, mais à chaque fois elle redevenait carmin en un instant et détournait les yeux, incapable de formuler quoi que ce soit. Sa bouche s'entrouvrait et fermait. Elle ne savait plus où donner de la tête.
Passant à l'autre jambe, elle reprit avec son bras blessé, y allant tout doucement pour ne pas se refaire mal. Par instants, elle laissait malgré tout échapper des gémissements de douleur. Les os allaient mettre plusieurs jours pour se réparer, ce qui était déjà exceptionnellement court pour un être humain mais qui était tout de même diablement long en tant que douleur à supporter. Enfin, lorsqu'elle eut terminé, elle rougit et, sans regarder Izaya puisqu'elle en était de toute façon incapable, elle parvint enfin à articuler.
« C'est... C'est pas... Pas grave... Je... Je t'en veux pas... »
- Sélène Anryena
- Messages : 1
Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Lun 25 Jan - 4:23
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
Elle n'a pas su retenir et cacher son plaisir. Et puis, pourquoi l'aurait-elle fait ? Après tout, montrer à quel point elle l'excite, à quel point elle lui offre un puissant bien-être… N'est-ce pas quelque chose de normal ? Et puis, peut-être que l'entendre ainsi l'exciterait elle aussi… Elle l'espère, elle prie pour que ce soit le cas. Mais en soi, ce qui est sûr, c'est que Haruna semble apprécier tout ça, même si elle semble très perdue, très embarrassée. Elle se retient d'exprimer ce qu'elle ressent, ou plutôt, elle ne sait pas encore vraiment le faire. La doctoresse aurait cependant aimé entendre ses gémissements…
Néanmoins, lors de ce deuxième baiser, Izaya a remarqué que l'Arai a mieux pris ses aises, ses mouvements devenant plus naturels, plus instinctifs. Ce jeu de lèvres qui glissent entre elles, les deux jeunes femmes s'y prêtent avec passion, l'une le montrant avec plus d'évidence.
L'odeur d'Haruna, cette chaleur, ces pulsions… Cette femmes aux yeux violets rend celle aux yeux bleus complètement folle. Elle la pense irrésistible, complètement corrompue par l'excitation. Elle a envie de l'embrasser, encore une fois, mais elle préfère s'écarter, laissant Haruna retrouver la raison, pour bien qu'elle assimile ce qui s'est produit. Ce qu'elle a fait. Ce qu'elle ressent. Et ce qu'elle pense de tout ça.
Tandis que la Miyamoto tente désespérément de retrouver son calme, elle voit l'Arai se nettoyer par elle-même, utilisant le savon en tournant le dos au chat, qui l'observe curieusement. Debout, elle offre une belle vue générale sur ses courbes de derrière, faisant rougir davantage la chasseuse de rang C. Izaya le sait, elle le sait maintenant… Les filles timides la font craquer.
Ou est-ce surtout Haruna elle-même qui lui fait autant d'effet ?
Elle ne sait pas, alors elle se dit ça de manière générale. Ce n'est pas étonnant qu'elle soit aussi sauvage envers Haruna, si on prend cet argument en compte. C'est comme la découverte d'un nouveau fantasme.
Quand Haruna s'assoit et se lave les jambes, Izaya grimace un peu, agacée par le fait que la plus jeune ne lui demande pas d'aide, au point d'aller utiliser son bras cassé alors que la Miyamoto a proposé son aide tantôt.
La musicienne fait savoir à la doctoresse qu'elle ne lui en veut pas, et Izaya le sait, mais ça fait du bien de l'entendre.
Cependant, elle s'approche à nouveau de la trompettiste, cette fois pour prendre le savon, et la décaler pour lui nettoyer le dos.
Fais attention avec ton bras ! Tu aurais pu me demander de t'aider petit chat., dit-elle en lui offrant presque un massage, appuyant parfois à certains endroits comme les épaules. Je vais te nettoyer si ça ne te dérange pas. Tu pourras le faire pour moi juste après !~
Se mettant sérieusement au travail, le nettoyage ressemble à un massage oui, mais aussi à des caresses tendres, sensuelles, provocatrices. Pour rajouter de la tension, elle termine en collant sa poitrine, certes modeste, contre son dos. Cela fait, elle reste ainsi quelques secondes avant de pousser un petit rire espiègle, avant de se mettre sur le côté, et nettoyer ses bras, en commençant par celui qui était cassé. Elle le fait très sérieusement, y mettant toute sa concentration, pour ne pas lui faire de mal.
Ça va aller ? Je ne te fais pas mal ?
Demande-t-elle en le faisant, y allant avec une délicatesse imperturbable, tranchant bien avec la précédente sauvagerie passionnelle.
Une fois cela fait, elle tape dans ses mains.
Et voilà ! C'est fini ! Oh, attends…
Elle se met devant elle, regardant son corps depuis les seins, jusqu'entre les jambes, avec une certaine curiosité presque innocente.
Voudrais-tu que je te lave le buste et entre les cuisses ? Je peux comprendre que ça puisse te déranger, donc si tu refuses, je comprendrai. Je me laisserai faire personnellement, quand tu t'occuperas de moi.
Elle le dit calmement, posément, comme si c'était quelque chose de parfaitement normal. Elle est rassurante, même après tout ça. Son visage est encore rouge, et son corps légèrement tremblant à cause de ce qui s'est passé.
Quel moment. Non, vraiment, elle n'aurait jamais pensé que ça serait aussi intense. C'est comme si elle perdait à nouveau son premier baiser.
Néanmoins, lors de ce deuxième baiser, Izaya a remarqué que l'Arai a mieux pris ses aises, ses mouvements devenant plus naturels, plus instinctifs. Ce jeu de lèvres qui glissent entre elles, les deux jeunes femmes s'y prêtent avec passion, l'une le montrant avec plus d'évidence.
L'odeur d'Haruna, cette chaleur, ces pulsions… Cette femmes aux yeux violets rend celle aux yeux bleus complètement folle. Elle la pense irrésistible, complètement corrompue par l'excitation. Elle a envie de l'embrasser, encore une fois, mais elle préfère s'écarter, laissant Haruna retrouver la raison, pour bien qu'elle assimile ce qui s'est produit. Ce qu'elle a fait. Ce qu'elle ressent. Et ce qu'elle pense de tout ça.
Tandis que la Miyamoto tente désespérément de retrouver son calme, elle voit l'Arai se nettoyer par elle-même, utilisant le savon en tournant le dos au chat, qui l'observe curieusement. Debout, elle offre une belle vue générale sur ses courbes de derrière, faisant rougir davantage la chasseuse de rang C. Izaya le sait, elle le sait maintenant… Les filles timides la font craquer.
Ou est-ce surtout Haruna elle-même qui lui fait autant d'effet ?
Elle ne sait pas, alors elle se dit ça de manière générale. Ce n'est pas étonnant qu'elle soit aussi sauvage envers Haruna, si on prend cet argument en compte. C'est comme la découverte d'un nouveau fantasme.
Quand Haruna s'assoit et se lave les jambes, Izaya grimace un peu, agacée par le fait que la plus jeune ne lui demande pas d'aide, au point d'aller utiliser son bras cassé alors que la Miyamoto a proposé son aide tantôt.
La musicienne fait savoir à la doctoresse qu'elle ne lui en veut pas, et Izaya le sait, mais ça fait du bien de l'entendre.
Cependant, elle s'approche à nouveau de la trompettiste, cette fois pour prendre le savon, et la décaler pour lui nettoyer le dos.
Fais attention avec ton bras ! Tu aurais pu me demander de t'aider petit chat., dit-elle en lui offrant presque un massage, appuyant parfois à certains endroits comme les épaules. Je vais te nettoyer si ça ne te dérange pas. Tu pourras le faire pour moi juste après !~
Se mettant sérieusement au travail, le nettoyage ressemble à un massage oui, mais aussi à des caresses tendres, sensuelles, provocatrices. Pour rajouter de la tension, elle termine en collant sa poitrine, certes modeste, contre son dos. Cela fait, elle reste ainsi quelques secondes avant de pousser un petit rire espiègle, avant de se mettre sur le côté, et nettoyer ses bras, en commençant par celui qui était cassé. Elle le fait très sérieusement, y mettant toute sa concentration, pour ne pas lui faire de mal.
Ça va aller ? Je ne te fais pas mal ?
Demande-t-elle en le faisant, y allant avec une délicatesse imperturbable, tranchant bien avec la précédente sauvagerie passionnelle.
Une fois cela fait, elle tape dans ses mains.
Et voilà ! C'est fini ! Oh, attends…
Elle se met devant elle, regardant son corps depuis les seins, jusqu'entre les jambes, avec une certaine curiosité presque innocente.
Voudrais-tu que je te lave le buste et entre les cuisses ? Je peux comprendre que ça puisse te déranger, donc si tu refuses, je comprendrai. Je me laisserai faire personnellement, quand tu t'occuperas de moi.
Elle le dit calmement, posément, comme si c'était quelque chose de parfaitement normal. Elle est rassurante, même après tout ça. Son visage est encore rouge, et son corps légèrement tremblant à cause de ce qui s'est passé.
Quel moment. Non, vraiment, elle n'aurait jamais pensé que ça serait aussi intense. C'est comme si elle perdait à nouveau son premier baiser.
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Mar 26 Jan - 14:12
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Alors qu'elle essayait de se laver en faisant bien attention à son bras, Izaya se rapprocha d'elle dans le bain. Le rouge lui revint alors instantannément aux joues alors que la psy la grondait gentiment. Le contact sur sa peau reprit, la gêne revint. Mais encore une fois, ce n'était pas désagréable. Elle appréciait ce moment, cette tension même si elle la perturbait, lui faisait perdre ses repères. C'était simple et complexe à la fois. Il suffisait d'un rien pour qu'elle reparte en live dans ses émotions désormais. Elle ne comprenait plus grand chose de ce qu'il se passait si ce n'était qu'elle se retrouvait de nouveau collée à Izaya, avec les mains de cette dernière sur sa peau. Incapable de répondre à sa taquinerie, elle se contenta d'esquiver son regard, les joues carmin.
Mais alors qu'elle s'attendait à un simple frottement contre son dos, ce fut des caresses qui vinrent jouer sur sa peau, la faire frissonner encore et encore. Toute rouge, elle n'osait cependant pas dire non à la Miyamoto, tant par peur de la blesser que parce qu'elle trouvait le contact agréable malgré tout. Elle appréciait ses caresses, ses attentions.
Lorsqu'Haruna la sentit se coller directement à elle, poitrine bien en contact avec son dos, elle eut un petit tremblement qui la traversa, mais elle n'osa à nouveau pas s'écarter. C'était dur de trouver sur quel pied danser en cet instant, bien trop compliqué pour la jeune fille en perte de repères qu'elle était.
Heureusement sa manière change lorsqu'elle arrive à son bras brisé, mais sa tendresse ne dure que peu de temps puisqu'elle revient face à elle et qu'elle en profite pour la regarder avec une certaine avidité, une perversion revenue. Son sourire change, redevient ce qu'il était avant qu'elle ne se savonne. L'Arai retourne au carmin et se cache comme elle peut derrière sa main, se sentant très clairement proie à nouveau. Les yeux sur le côté, elle ouvre finalement la bouche.
« Ne... Ne t'en fais pas... Je vais m'en sortir... Pour ça... »
Elle cligna alors des yeux, et Izaya semblait totalement calme et neutre. Un flash ? Ou elle avait changé de visage le temps d'un instant ? Elle confondait le moment où la psy avait décidé de prendre possession de sa bouche ? Ou alors elle l'avait véritablement vu ? Ce doute la fit rougir à nouveau. Elle devenait folle, ne savait plus si elle pouvait faire confiance à ses sens. Son coeur battait vite. Fort. Elle était perdue dans cet océan étrange, sans le moindre repère. De l'eau à perte de vue. Pas le moindre point d'accroche pour pouvoir regarder au loin, réfléchir, se reposer.
Elle lui avait aussi dit qu'elle en revanche se laisserait faire. Mais jamais elle n'oserait la toucher là ! Elle la connaissait trop peu. Leur relation était si nouvelle, elle ne savait même pas ce qu'elle était véritablement. Des connaissances ? Des amies ?.. Plus ?.. Elle lui faisait déjà confiance, ce qui était très rare chez elle. Mais Izaya semblait vouloir plus. Elle voulait la dévorer, et ça l'effrayait en quelques sortes.
« Je... Je t'aiderais pour ton dos si tu veux oui... »
Se mordant la lèvre, les joues rouges, elle faisait déjà un grand effort pour avancer un peu vers Izaya, vers ses envies, mais elle en avait un peu peur aussi. C'était si perturbant... Mais elle se sentait déjà mieux avec le bain, l'attention qu'exigeait la Miyamoto. Elle ne pensait plus trop au donjon qui lui avait provoqué une crise de panique quelques minutes plus tôt. Elle se sentait mieux, mais elle n'était pas totalement sereine par rapport à Izaya. Et si elle lui sautait à nouveau dessus ?.. Elle ne saurait pas comment réagir. Elle avait besoin de temps.
Terminant tranquillement de se laver en se cachant timidement du regard inquisiteur de la trentenaire, elle rougit alors qu'elle allait devoir passer à Izaya. Savon en main, elle les frotta l'une contre l'autre pour faire mousser un peu avant de les apposer avec douceur sur les épaules de son hôtesse. Frissonnante à ce contact, elle mit quelques instants avant de s'activer, y mettant une certaine force pour véritablement la nettoyer, mais ça finissait par plus ressembler à un massage qu'à autre chose. S'occupant d'abord de ses épaules, elle descendit progressivement sur la colone vertébrale d'Izaya, appuyant çà et là pour bien la laver. Partant du centre, elle la massait ensuite sur les côtés du dos, descendant jusqu'à ses reins où elle s'arrêta finalement, les joues rouges, le regard perdu sur le côté si jamais elle se retournait.
« Voi... Voilà... »
Mais alors qu'elle s'attendait à un simple frottement contre son dos, ce fut des caresses qui vinrent jouer sur sa peau, la faire frissonner encore et encore. Toute rouge, elle n'osait cependant pas dire non à la Miyamoto, tant par peur de la blesser que parce qu'elle trouvait le contact agréable malgré tout. Elle appréciait ses caresses, ses attentions.
Lorsqu'Haruna la sentit se coller directement à elle, poitrine bien en contact avec son dos, elle eut un petit tremblement qui la traversa, mais elle n'osa à nouveau pas s'écarter. C'était dur de trouver sur quel pied danser en cet instant, bien trop compliqué pour la jeune fille en perte de repères qu'elle était.
Heureusement sa manière change lorsqu'elle arrive à son bras brisé, mais sa tendresse ne dure que peu de temps puisqu'elle revient face à elle et qu'elle en profite pour la regarder avec une certaine avidité, une perversion revenue. Son sourire change, redevient ce qu'il était avant qu'elle ne se savonne. L'Arai retourne au carmin et se cache comme elle peut derrière sa main, se sentant très clairement proie à nouveau. Les yeux sur le côté, elle ouvre finalement la bouche.
« Ne... Ne t'en fais pas... Je vais m'en sortir... Pour ça... »
Elle cligna alors des yeux, et Izaya semblait totalement calme et neutre. Un flash ? Ou elle avait changé de visage le temps d'un instant ? Elle confondait le moment où la psy avait décidé de prendre possession de sa bouche ? Ou alors elle l'avait véritablement vu ? Ce doute la fit rougir à nouveau. Elle devenait folle, ne savait plus si elle pouvait faire confiance à ses sens. Son coeur battait vite. Fort. Elle était perdue dans cet océan étrange, sans le moindre repère. De l'eau à perte de vue. Pas le moindre point d'accroche pour pouvoir regarder au loin, réfléchir, se reposer.
Elle lui avait aussi dit qu'elle en revanche se laisserait faire. Mais jamais elle n'oserait la toucher là ! Elle la connaissait trop peu. Leur relation était si nouvelle, elle ne savait même pas ce qu'elle était véritablement. Des connaissances ? Des amies ?.. Plus ?.. Elle lui faisait déjà confiance, ce qui était très rare chez elle. Mais Izaya semblait vouloir plus. Elle voulait la dévorer, et ça l'effrayait en quelques sortes.
« Je... Je t'aiderais pour ton dos si tu veux oui... »
Se mordant la lèvre, les joues rouges, elle faisait déjà un grand effort pour avancer un peu vers Izaya, vers ses envies, mais elle en avait un peu peur aussi. C'était si perturbant... Mais elle se sentait déjà mieux avec le bain, l'attention qu'exigeait la Miyamoto. Elle ne pensait plus trop au donjon qui lui avait provoqué une crise de panique quelques minutes plus tôt. Elle se sentait mieux, mais elle n'était pas totalement sereine par rapport à Izaya. Et si elle lui sautait à nouveau dessus ?.. Elle ne saurait pas comment réagir. Elle avait besoin de temps.
Terminant tranquillement de se laver en se cachant timidement du regard inquisiteur de la trentenaire, elle rougit alors qu'elle allait devoir passer à Izaya. Savon en main, elle les frotta l'une contre l'autre pour faire mousser un peu avant de les apposer avec douceur sur les épaules de son hôtesse. Frissonnante à ce contact, elle mit quelques instants avant de s'activer, y mettant une certaine force pour véritablement la nettoyer, mais ça finissait par plus ressembler à un massage qu'à autre chose. S'occupant d'abord de ses épaules, elle descendit progressivement sur la colone vertébrale d'Izaya, appuyant çà et là pour bien la laver. Partant du centre, elle la massait ensuite sur les côtés du dos, descendant jusqu'à ses reins où elle s'arrêta finalement, les joues rouges, le regard perdu sur le côté si jamais elle se retournait.
« Voi... Voilà... »
- Sélène Anryena
- Messages : 1
Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Mar 26 Jan - 15:29
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
Aw.
Elle refuse donc (indirectement) de se laisser laver au niveau de ces parties-là... Quelle tristesse. Quelle déception. Il serait mentir que ça n'aurait pas été tentant de la "taquiner" en caressant par-là, mais elle ne l'aurait pas fait. Elle l'aurait simplement lavée, aussi surprenant que cela puisse être. Sans le consentement clair et net de l'Arai, la Miyamoto n'ira pas plus loin qu'un baiser. Baiser qu'elle a visiblement apprécié, pour arriver au point où elle essaie d'en suivre le mouvement. Quand elle y repense, quand elle se rappelle de ce moment où elle a sentit les lèvres d'Haruna essayer de caresser timidement les siennes, Izaya rougit, attendrie par ce geste.
D'ailleurs, durant le "massage" au dos, la blessée s'est laissée faire, mais surtout, ses réactions corporelles ont fortement indiqué qu'elle a plutôt bien aimé la façon dont la trentenaire l'a lavée, ce qui a fait grandement plaisir à cette dernière.
En tout cas, Haruna intrigue beaucoup la doctoresse. Elle semble plutôt intimidée par elle, mais elle n'a pas non plus l'air fuyante, si ce n'est par le regard, et encore ! Elle essaie tout de même de la regarder de temps en temps. Elle est embarrassée, mais elle apprécie tout de même sa présence. C'est étrange, mais adorable. Elle doit se sentir perdue, perdue dans ce qu'elle découvre avec elle, et Izaya en a conscience en y réfléchissant bien. Observatrice et analytique, la plus âgée des deux femmes s'amuse tout de même auprès de cette pauvre fille. Elle est si fragile, adorable.
Comme une souris entre les pattes d'un chat.
Néanmoins, malgré tout son talent pour comprendre les gens, Izaya ne remarque pas cette naissance de sentiments plus sérieux et romantiques chez Haruna. Pas pour l'instant du moins. Alors, elle ne s'en inquiète pas, ou plutôt, elle s'est déjà demandée tantôt si Haruna n'était pas le genre de fille plutôt romantique, le genre de fille à imaginer toute sa vie avec la personne avec qui elle aurait offert sa première fois. Mais pour l'instant, elle ne s'y penche pas, préférant profiter du moment présent avec elle.
Après que l'Arai se soit nettoyée en se cachant un peu de la Miyamoto, celle-ci se met finalement à s'occuper du dos de la psychologue. Ses cheveux déjà attachés en couettes vers l'avant, elle lui a déjà laissé de la place pour le faire. Après avoir bien savonné, la musicienne s'y met donc, et, à la grande surprise de la trentenaire, c'est une sorte de massage qu'elle reçoit. Ce n'est sûrement pas volontaire, mais Izaya ne peut pas s'empêcher d'en avoir un rire étouffé. Elle se laisse faire, poussant quelques soupirs de plaisir quand elle se met à appuyer. Elle sent ses mains glisser, faire pression sur sa peau, et elle ne peut pas s'empêcher d'en avoir des réactions plutôt suggestives, étant déjà bien assez excitée par les événements précédents.
Ahhh… Ça fait du bien…
Gémit-elle lentement, de sa voix grave et mature.
Elle en ferme les yeux, se concentrant sur les sensations que les mains de son invitée lui provoquent. Des mains douces, qui pourtant savent être fortes.
A partir d'un moment, Izaya en ouvre un œil, sa respiration devenant bruyante, et sa voix un peu plus aigue. La sensibilité de la doctoresse est montée en flèche suite à tout ce qui s'est passé juste avant.
Quand Haruna arrive jusqu'aux reins, la Miyamoto souffle d'un coup.
Ohhh… C-C'est vraiment bon…
Mais lorsqu'elle s'apprête à dire "continue", l'Arai s'arrête, décevant quelque peu Izaya, qui se retourne pour regarder la jeune femme, qui, encore une fois, n'ose pas poser ses yeux sur elle.
Un sourire sur ses lèvres, la Miyamoto rit un peu en se lavant le reste à son tour.
C'était très agréable dis donc. Intelligent ce petit duo entre massage et nettoyage, huhu.
Elle se rapproche d'elle, et lui prend la main de son bras valide.
Elle se colle à elle, mettant sa tête sous le menton de la trompettiste, sur le côté.
Je me sens vraiment bien avec toi, tu sais. Je ne saurais dire pourquoi exactement, mais… Je me sens bien.
Elle est comme un chat qui ronronne.
C'est vrai qu'elle est différente des gens qu'elle a pu voir jusqu'ici…
Elle refuse donc (indirectement) de se laisser laver au niveau de ces parties-là... Quelle tristesse. Quelle déception. Il serait mentir que ça n'aurait pas été tentant de la "taquiner" en caressant par-là, mais elle ne l'aurait pas fait. Elle l'aurait simplement lavée, aussi surprenant que cela puisse être. Sans le consentement clair et net de l'Arai, la Miyamoto n'ira pas plus loin qu'un baiser. Baiser qu'elle a visiblement apprécié, pour arriver au point où elle essaie d'en suivre le mouvement. Quand elle y repense, quand elle se rappelle de ce moment où elle a sentit les lèvres d'Haruna essayer de caresser timidement les siennes, Izaya rougit, attendrie par ce geste.
D'ailleurs, durant le "massage" au dos, la blessée s'est laissée faire, mais surtout, ses réactions corporelles ont fortement indiqué qu'elle a plutôt bien aimé la façon dont la trentenaire l'a lavée, ce qui a fait grandement plaisir à cette dernière.
En tout cas, Haruna intrigue beaucoup la doctoresse. Elle semble plutôt intimidée par elle, mais elle n'a pas non plus l'air fuyante, si ce n'est par le regard, et encore ! Elle essaie tout de même de la regarder de temps en temps. Elle est embarrassée, mais elle apprécie tout de même sa présence. C'est étrange, mais adorable. Elle doit se sentir perdue, perdue dans ce qu'elle découvre avec elle, et Izaya en a conscience en y réfléchissant bien. Observatrice et analytique, la plus âgée des deux femmes s'amuse tout de même auprès de cette pauvre fille. Elle est si fragile, adorable.
Comme une souris entre les pattes d'un chat.
Néanmoins, malgré tout son talent pour comprendre les gens, Izaya ne remarque pas cette naissance de sentiments plus sérieux et romantiques chez Haruna. Pas pour l'instant du moins. Alors, elle ne s'en inquiète pas, ou plutôt, elle s'est déjà demandée tantôt si Haruna n'était pas le genre de fille plutôt romantique, le genre de fille à imaginer toute sa vie avec la personne avec qui elle aurait offert sa première fois. Mais pour l'instant, elle ne s'y penche pas, préférant profiter du moment présent avec elle.
Après que l'Arai se soit nettoyée en se cachant un peu de la Miyamoto, celle-ci se met finalement à s'occuper du dos de la psychologue. Ses cheveux déjà attachés en couettes vers l'avant, elle lui a déjà laissé de la place pour le faire. Après avoir bien savonné, la musicienne s'y met donc, et, à la grande surprise de la trentenaire, c'est une sorte de massage qu'elle reçoit. Ce n'est sûrement pas volontaire, mais Izaya ne peut pas s'empêcher d'en avoir un rire étouffé. Elle se laisse faire, poussant quelques soupirs de plaisir quand elle se met à appuyer. Elle sent ses mains glisser, faire pression sur sa peau, et elle ne peut pas s'empêcher d'en avoir des réactions plutôt suggestives, étant déjà bien assez excitée par les événements précédents.
Ahhh… Ça fait du bien…
Gémit-elle lentement, de sa voix grave et mature.
Elle en ferme les yeux, se concentrant sur les sensations que les mains de son invitée lui provoquent. Des mains douces, qui pourtant savent être fortes.
A partir d'un moment, Izaya en ouvre un œil, sa respiration devenant bruyante, et sa voix un peu plus aigue. La sensibilité de la doctoresse est montée en flèche suite à tout ce qui s'est passé juste avant.
Quand Haruna arrive jusqu'aux reins, la Miyamoto souffle d'un coup.
Ohhh… C-C'est vraiment bon…
Mais lorsqu'elle s'apprête à dire "continue", l'Arai s'arrête, décevant quelque peu Izaya, qui se retourne pour regarder la jeune femme, qui, encore une fois, n'ose pas poser ses yeux sur elle.
Un sourire sur ses lèvres, la Miyamoto rit un peu en se lavant le reste à son tour.
C'était très agréable dis donc. Intelligent ce petit duo entre massage et nettoyage, huhu.
Elle se rapproche d'elle, et lui prend la main de son bras valide.
Elle se colle à elle, mettant sa tête sous le menton de la trompettiste, sur le côté.
Je me sens vraiment bien avec toi, tu sais. Je ne saurais dire pourquoi exactement, mais… Je me sens bien.
Elle est comme un chat qui ronronne.
C'est vrai qu'elle est différente des gens qu'elle a pu voir jusqu'ici…
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Mer 27 Jan - 21:01
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Concentrée sur Izaya et sur le frottement de son dos pour la laver correctement, l'Arai rougit un peu lorsqu'elle l'entendit soupirer de confort. Visiblement, elle s'y prenait plutôt correctement, elle qui n'avait jamais eu l'occasion de faire ça à qui que ce soit. La femme d'expérience avait sans doute déjà pu le faire avec d'autres de ses partenaires au vu de la sereineté avec laquelle elle avait abordé la chose. Elle n'avait pas de doutes, pas d'hésitations là où Haruna était un peu tremblotante.
Alors qu'elle s'occupe du bas de son dos, les réactions de la Miyamoto varient, devenant plus érotiques. La demoiselle aux yeux pourpres en rougit d'autant plus mais ne fait aucun commentaire, la situation étant déjà bien assez complexe à gérer pour elle. Son commentaire sur sa performance retourna par ailleurs en un instant ses joues au stade carmin qu'elles avaient à peine eu le temps de quitter quelques instants plus tôt.
« Oh euh... Tant mieux... Que ça t'ait plu... Je savais pas trop comment faire... Autrement... »
Mais alors qu'elle pensait la laisser finir de se laver et simplement sortir de l'eau, Izaya se colla à nouveau à elle. Elle aimait tout particulièrement la taquiner, la faire réagir encore et encore. L'Arai ne parvenait pas à s'y habituer, à se fortifier. Ses sentiments étaient papillonants, incapables de se fixer. Elle ne savait pas quoi faire ni quoi dire, comment prendre ces avances qui étaient désormais on ne peut plus claires et qu'elle ne pouvait plus occulter. Elle aimait cette attention que lui offrait la trentenaire mais elle avait du mal à en gérer autant, elle qui s'était globalement toujours occupé d'elle-même toute seule, sans vraie aide depuis qu'elle était avec son père. Si ce dernier se tuait à la tâche et tentait tout ce qu'il pouvait pour apporter l'argent nécessaire -bien qu'en faible quantité- il n'était que très peu présent, surtout depuis qu'elle avait 12 ans.
Dos contre le rebord du jacuzzi, Izaya dans les bras, Haruna tournait au carmin de plus en plus prononcé, sa tête commençant à tourner. Elle sentait son esprit vasciller tandis que sa respiration s'accélérait pour essayer de palier à la situation.
« Je... Je... »
La voix de la demoiselle était lourde, fatiguée. Sa vision se troublait rapidement, il fallait qu'elle fasse quelque chose avant de tomber dans les vappes.
« Moi aussi mais... Laisse... Besoin de... sortir... Maintenant... »
Commençant à transpirer alors qu'elle était encore dans l'eau, elle essaya de se lever faiblement malgré la présence d'Izaya contre elle, sans trop de succès. Elle allait avoir besoin d'aide pour sortir de l'eau, et vite.
Alors qu'elle s'occupe du bas de son dos, les réactions de la Miyamoto varient, devenant plus érotiques. La demoiselle aux yeux pourpres en rougit d'autant plus mais ne fait aucun commentaire, la situation étant déjà bien assez complexe à gérer pour elle. Son commentaire sur sa performance retourna par ailleurs en un instant ses joues au stade carmin qu'elles avaient à peine eu le temps de quitter quelques instants plus tôt.
« Oh euh... Tant mieux... Que ça t'ait plu... Je savais pas trop comment faire... Autrement... »
Mais alors qu'elle pensait la laisser finir de se laver et simplement sortir de l'eau, Izaya se colla à nouveau à elle. Elle aimait tout particulièrement la taquiner, la faire réagir encore et encore. L'Arai ne parvenait pas à s'y habituer, à se fortifier. Ses sentiments étaient papillonants, incapables de se fixer. Elle ne savait pas quoi faire ni quoi dire, comment prendre ces avances qui étaient désormais on ne peut plus claires et qu'elle ne pouvait plus occulter. Elle aimait cette attention que lui offrait la trentenaire mais elle avait du mal à en gérer autant, elle qui s'était globalement toujours occupé d'elle-même toute seule, sans vraie aide depuis qu'elle était avec son père. Si ce dernier se tuait à la tâche et tentait tout ce qu'il pouvait pour apporter l'argent nécessaire -bien qu'en faible quantité- il n'était que très peu présent, surtout depuis qu'elle avait 12 ans.
Dos contre le rebord du jacuzzi, Izaya dans les bras, Haruna tournait au carmin de plus en plus prononcé, sa tête commençant à tourner. Elle sentait son esprit vasciller tandis que sa respiration s'accélérait pour essayer de palier à la situation.
« Je... Je... »
La voix de la demoiselle était lourde, fatiguée. Sa vision se troublait rapidement, il fallait qu'elle fasse quelque chose avant de tomber dans les vappes.
« Moi aussi mais... Laisse... Besoin de... sortir... Maintenant... »
Commençant à transpirer alors qu'elle était encore dans l'eau, elle essaya de se lever faiblement malgré la présence d'Izaya contre elle, sans trop de succès. Elle allait avoir besoin d'aide pour sortir de l'eau, et vite.
- Sélène Anryena
- Messages : 1
Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Mer 27 Jan - 21:56
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
Tout allait bien, jusqu'à-ce que malheureusement, Haruna commence à se sentir mal. Pas de gêne non, pas de peur, non. Elle est visiblement en train d'avoir le tournis, elle semble être proche de tomber dans les pommes. Intriguée par le fait qu'Haruna parle avec beaucoup plus de fatigue, Izaya lève les yeux et remarque son état. Inquiète, elle se lève aussitôt, l'eau chaude s'agitant un peu sous ses mouvements. Habituée, elle ne glisse pas, sortant du jacuzzi en aidant son invitée à le faire également. Anxieuse, elle sourit tout de même pour rassurer la plus jeune.
Je crois que tu n'es vraiment pas habituée à la chaleur du jacuzzi toi ! Huhu.
Elle sort deux peignoirs, un qu'elle donne à Haruna, et un qu'elle arbore vivement. Elle laisse l'eau du jacuzzi partir, et alors qu'elle s'apprête à aller chercher le sèche-cheveux, elle s'arrête dans sa lancée, se disant qu'ajouter une hausse de température en plus ne ferait qu'empirer.
Je vais t'amener dans ma chambre, tu vas t'y reposer.
Dit-elle avec un visage chaleureux, avant de finalement la porter telle une princesse, sans aucun problème, et ce malgré sa taille et son manque de muscle. Etre une éveillée est vraiment pratique !
L'amenant ainsi dans sa chambre, elle l'allonge sur son lit.
Je vais en profiter pour t'acheter d'autres vêtements, repose-toi bien. En attendant, je vais te laisser quelques uns des miens près de toi, tu les porteras quand tu pourras.
Cherchant dans une armoire, elle lui sortit quelques vêtements plus larges, histoire de lui tenir chaud, mais aussi pour profiter du côté "oversize" pour que ce ne soit pas petit pour l'Arai.
Elle lui donne donc un pull, une jupe, des collants, tout ça sur le lit, pas très loin d'elle. Les chaussons, quant à eux, sont près du lit.
Eeeet voilà ! Je reviens vite, ne t'en fais pas.
Elle lui fait une bise au front, avant de partir se sécher. Elle regarde rapidement les vêtements sales d'Haruna, cherchant les étiquettes pour savoir la taille. Elle en profite pour les sous-vêtements, bien que le bonnet de son soutien-gorge ait été déjà deviné à vue d'œil. L'expérience d'un Dom Juan.
Elle s'habille ensuite pour sortir.
Quand tout cela est fait après un certain temps, elle quitte le domicile pour prendre sa voiture, et partir rapidement dans une boutique de vêtement dont elle a l'habitude d'aller, ce n'est pas très loin.
Il y a peu de monde dans cet endroit à cette heure-ci, mais surtout, il y en a toujours beaucoup moins que dans un centre commercial, et ne parlons même pas en comparaison des centres commerciaux de villes plus "populaires" (populaires étant une façon de dire "pour la plèbe").
Qu'est-ce que Haruna pourrait porter ? Quel est son style de vêtement ? Izaya n'a pas eu le temps de lui demander, et avec l'état dont elle a laissé Haruna, celle-ci n'aurait de toute façon pas eu la force de lui répondre correctement.
On est en hiver, prendre des vêtements chauds serait peut-être intéressant. Quelque chose de mignon, mais pas trop, quelque chose de tranquille, de féminin.
Elle prend plusieurs, dont un top qu'elle n'a pas pu ignorer en imaginant l'Arai avec les épaules et le ventre dévoilés…
Rougissant à l'idée, elle le prend fièrement, ajoutant quelques sous-vêtements, se retrouvant vite avec des piles d'achats.
Avec de la lingerie, bien entendu.
Jubilant un peu, elle n'a aucun regret d'y mettre beaucoup d'argent, avant d'en sortir avec plusieurs sacs, qu'elle porte sans souci, surtout grâce à sa grande force.
Bien sûr, Izaya n'a pas amené sa moto cette fois, ayant privilégié une bonne voiture avec un bon coffre pour ses courses qu'elle met aussitôt à l'intérieur.
Et ainsi, elle rentre chez elle, tout tranquillement, toute heureuse. Elle se demande si Haruna s'est déjà bien reposée depuis, même si elle a tout de même fait assez vite (enfin, quelques heures quand même)…
Arrivée chez elle alors que soleil se couche déjà doucement, elle entre en déposant les sacs et en retirant ses chaussures.
Haru-chaaaan ! Je suis rentrééééée !~
Neptune arrive, se frottant à la jambe de sa maîtresse qui le papouille volontiers.
Hey, tu t'appelles Haru, toi ? Idiooot !~ Tu n'en manques pas une pour recevoir des câlins !
Je crois que tu n'es vraiment pas habituée à la chaleur du jacuzzi toi ! Huhu.
Elle sort deux peignoirs, un qu'elle donne à Haruna, et un qu'elle arbore vivement. Elle laisse l'eau du jacuzzi partir, et alors qu'elle s'apprête à aller chercher le sèche-cheveux, elle s'arrête dans sa lancée, se disant qu'ajouter une hausse de température en plus ne ferait qu'empirer.
Je vais t'amener dans ma chambre, tu vas t'y reposer.
Dit-elle avec un visage chaleureux, avant de finalement la porter telle une princesse, sans aucun problème, et ce malgré sa taille et son manque de muscle. Etre une éveillée est vraiment pratique !
L'amenant ainsi dans sa chambre, elle l'allonge sur son lit.
Je vais en profiter pour t'acheter d'autres vêtements, repose-toi bien. En attendant, je vais te laisser quelques uns des miens près de toi, tu les porteras quand tu pourras.
Cherchant dans une armoire, elle lui sortit quelques vêtements plus larges, histoire de lui tenir chaud, mais aussi pour profiter du côté "oversize" pour que ce ne soit pas petit pour l'Arai.
Elle lui donne donc un pull, une jupe, des collants, tout ça sur le lit, pas très loin d'elle. Les chaussons, quant à eux, sont près du lit.
Eeeet voilà ! Je reviens vite, ne t'en fais pas.
Elle lui fait une bise au front, avant de partir se sécher. Elle regarde rapidement les vêtements sales d'Haruna, cherchant les étiquettes pour savoir la taille. Elle en profite pour les sous-vêtements, bien que le bonnet de son soutien-gorge ait été déjà deviné à vue d'œil. L'expérience d'un Dom Juan.
Elle s'habille ensuite pour sortir.
Quand tout cela est fait après un certain temps, elle quitte le domicile pour prendre sa voiture, et partir rapidement dans une boutique de vêtement dont elle a l'habitude d'aller, ce n'est pas très loin.
Il y a peu de monde dans cet endroit à cette heure-ci, mais surtout, il y en a toujours beaucoup moins que dans un centre commercial, et ne parlons même pas en comparaison des centres commerciaux de villes plus "populaires" (populaires étant une façon de dire "pour la plèbe").
Qu'est-ce que Haruna pourrait porter ? Quel est son style de vêtement ? Izaya n'a pas eu le temps de lui demander, et avec l'état dont elle a laissé Haruna, celle-ci n'aurait de toute façon pas eu la force de lui répondre correctement.
On est en hiver, prendre des vêtements chauds serait peut-être intéressant. Quelque chose de mignon, mais pas trop, quelque chose de tranquille, de féminin.
Elle prend plusieurs, dont un top qu'elle n'a pas pu ignorer en imaginant l'Arai avec les épaules et le ventre dévoilés…
Rougissant à l'idée, elle le prend fièrement, ajoutant quelques sous-vêtements, se retrouvant vite avec des piles d'achats.
Avec de la lingerie, bien entendu.
Jubilant un peu, elle n'a aucun regret d'y mettre beaucoup d'argent, avant d'en sortir avec plusieurs sacs, qu'elle porte sans souci, surtout grâce à sa grande force.
Bien sûr, Izaya n'a pas amené sa moto cette fois, ayant privilégié une bonne voiture avec un bon coffre pour ses courses qu'elle met aussitôt à l'intérieur.
Et ainsi, elle rentre chez elle, tout tranquillement, toute heureuse. Elle se demande si Haruna s'est déjà bien reposée depuis, même si elle a tout de même fait assez vite (enfin, quelques heures quand même)…
Arrivée chez elle alors que soleil se couche déjà doucement, elle entre en déposant les sacs et en retirant ses chaussures.
Haru-chaaaan ! Je suis rentrééééée !~
Neptune arrive, se frottant à la jambe de sa maîtresse qui le papouille volontiers.
Hey, tu t'appelles Haru, toi ? Idiooot !~ Tu n'en manques pas une pour recevoir des câlins !
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Mer 27 Jan - 23:02
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Dans une semi-conscience, Haruna sent la Miyamoto la supporter puis l'aider à sortir du bain. Elle sentit une serviette l'essuyer, faire attention à son bras blessé, puis un peignoir l'envelopper. La voix d'Izaya était distante mais rassurante. Sa présence l'était tout autant, proche de la jeune femme en plein malaise léger. La chaleur et l'accumulation de chaleur au niveau de la tête avaient eu raison de sa vigueur déjà très réduite suite au donjon dont l'empreinte se faisait encore bien ressentir sur la jeune fille aux yeux violacés.
Elle sentit alors la trentenaire la porter dans ses bras, l'Arai alors blottie contre celle qui la transportait jusqu'à son lit. L'esprit encore embué, elle ne comprit pas exactement ce qu'elle avait dit, mais elle se contenta d'un petit hochement de tête avant de fermer les yeux, se laissant aller pour s'offrir le repos qu'elle n'avait pas totalement eu pendant la nuit, entre cauchemars et douleurs dans son bras.
À moitié endormie, elle entendit vaguement Izaya lui expliquer ce qu'elle comptait faire avant que cette dernière ne s'éclipse pendant qu'Haruna en profitait pour se faire une sieste histoire de finir de se remettre de ce coup de chaud. Une fois réveillée un bon moment plus tard, elle s'étira en baillant, rougissant en remarquant que son peignoir était entrouvert avant de le refermer en vitesse. Elle se leva alors et commença à appeler Izaya dans l'appartement, la cherchant dans les différentes pièces. Mais elle ne trouva que Neptune qui vint se frotter à ses jambes, la faisant frissonner.
« Oh ta maîtresse n'est pas encore revenue. Tu sais si j'ai dormi longtemps toi ? »
S'accroupissant avant de poser les genoux à terre, la brune prit le temps de caresser le chat gris avant de se relever. Il fallait qu'elle s'habille. Si dans un premier temps elle eut le réflexe d'aller fouiller dans son inventaire, un flash dans son esprit lui rappela qu'elle avait vu des habits propres dans la chambre de son hôtesse, sans doute préparés à son égar. Enfilant donc cette tenue en attendant le retour de la psy, elle se mit à vagabonder un peu dans l'appartement, le découvrant un peu plus en profondeur. Après la cuisine, elle observa le salon, puis porta finalement son dévolu dans la bibliothèque et notamment sur les mangas. Elle n'en connaissait pas les trois quart, très peu cultivée sur le sujet même si elle appréciait cette culture. Elle n'avait jamais trop eu de temps pour le faire ni l'argent pour payer des mangas. En feuilletant quelques uns, elle finit par s'assoir avec Neptune, caressant le chat qui s'installa sur ses genoux alors qu'elle lisait.
Si les premiers qu'elle choisit étaient tranquilles, à la rigueur romantiques, elle tomba rapidement sur un plus osé avec une relation yuri plus poussée. Décidément, Izaya semblait avoir plusieurs de ces mangas. Elle appréciait le sujet à n'en pas douter, et cette remarque inévitable la fit rougir. Finissant par repérer là où étaient les plus softs, elle choisit de rester dans cette partie des étagères et lu tranquillement pour le reste de l'après-midi, en attendant le retour de la doctoresse, bras de nouveau en écharpe.
Prise dans sa lecture, la demoiselle ne remarqua pas le départ du scottish field ni l'arrivée d'Izaya dans l'appartement. Plongée dans l'histoire d'un manga plutôt mignon du nom de Made in Abyss qu'elle venait de commencer, l'Arai restait bien sagement assise là, incapable d'en décrocher pour l'instant.
Elle sentit alors la trentenaire la porter dans ses bras, l'Arai alors blottie contre celle qui la transportait jusqu'à son lit. L'esprit encore embué, elle ne comprit pas exactement ce qu'elle avait dit, mais elle se contenta d'un petit hochement de tête avant de fermer les yeux, se laissant aller pour s'offrir le repos qu'elle n'avait pas totalement eu pendant la nuit, entre cauchemars et douleurs dans son bras.
À moitié endormie, elle entendit vaguement Izaya lui expliquer ce qu'elle comptait faire avant que cette dernière ne s'éclipse pendant qu'Haruna en profitait pour se faire une sieste histoire de finir de se remettre de ce coup de chaud. Une fois réveillée un bon moment plus tard, elle s'étira en baillant, rougissant en remarquant que son peignoir était entrouvert avant de le refermer en vitesse. Elle se leva alors et commença à appeler Izaya dans l'appartement, la cherchant dans les différentes pièces. Mais elle ne trouva que Neptune qui vint se frotter à ses jambes, la faisant frissonner.
« Oh ta maîtresse n'est pas encore revenue. Tu sais si j'ai dormi longtemps toi ? »
S'accroupissant avant de poser les genoux à terre, la brune prit le temps de caresser le chat gris avant de se relever. Il fallait qu'elle s'habille. Si dans un premier temps elle eut le réflexe d'aller fouiller dans son inventaire, un flash dans son esprit lui rappela qu'elle avait vu des habits propres dans la chambre de son hôtesse, sans doute préparés à son égar. Enfilant donc cette tenue en attendant le retour de la psy, elle se mit à vagabonder un peu dans l'appartement, le découvrant un peu plus en profondeur. Après la cuisine, elle observa le salon, puis porta finalement son dévolu dans la bibliothèque et notamment sur les mangas. Elle n'en connaissait pas les trois quart, très peu cultivée sur le sujet même si elle appréciait cette culture. Elle n'avait jamais trop eu de temps pour le faire ni l'argent pour payer des mangas. En feuilletant quelques uns, elle finit par s'assoir avec Neptune, caressant le chat qui s'installa sur ses genoux alors qu'elle lisait.
Si les premiers qu'elle choisit étaient tranquilles, à la rigueur romantiques, elle tomba rapidement sur un plus osé avec une relation yuri plus poussée. Décidément, Izaya semblait avoir plusieurs de ces mangas. Elle appréciait le sujet à n'en pas douter, et cette remarque inévitable la fit rougir. Finissant par repérer là où étaient les plus softs, elle choisit de rester dans cette partie des étagères et lu tranquillement pour le reste de l'après-midi, en attendant le retour de la doctoresse, bras de nouveau en écharpe.
Prise dans sa lecture, la demoiselle ne remarqua pas le départ du scottish field ni l'arrivée d'Izaya dans l'appartement. Plongée dans l'histoire d'un manga plutôt mignon du nom de Made in Abyss qu'elle venait de commencer, l'Arai restait bien sagement assise là, incapable d'en décrocher pour l'instant.
- Sélène Anryena
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Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Jeu 28 Jan - 3:51
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
Si pour certains prendre plusieurs heures pour aller acheter des vêtements est presque ahurissant, pour Izaya c'est le quotidien. Elle doit regarder pour voir ce qui peut lui plaire, comparer les prix, réfléchir à ce qu'elle peut garder… Ce n'est pas quelqu'un qui choisit ses produits si facilement ! Elle fait d'ailleurs très attention à la qualité/prix ! Quand bien même elle ne sait pas où mettre la plupart de son argent, elle ne veut pas non plus le gaspiller ! C'est pourquoi, elle a très bien réfléchi à ce qu'elle a pris pour Haruna !
Une fois dans l'appartement après une petite route en voiture avec une bonne musique de jazz sur laquelle elle a chantonné, Izaya se met à gratouiller le gentil Scottish Fold qui supplie de l'affection, peut-être un peu jaloux de l'Arai en ce moment. C'est vrai que pratiquement toute l'attention de la psychologue est portée sur elle en ce moment. Il faut dire que cette fille arrive à bien l'intéresser, autant physiquement que mentalement. C'est difficile de dire qu'elle n'est pas son genre. Pour ne pas dire le parfait idéal féminin.
Se redressant après avoir bien caressé son petit et tout gros Neptune, elle prend les sacs qu'elle a posé pour aller dans la chambre où elle a laissé Haruna, et, à sa plus grande surprise, elle n'est déjà plus là. Ecarquillant des yeux avant de les cligner à plusieurs reprises pour essayer de comprendre la situation, elle remarque très rapidement que les vêtements qu'elle a mis à côté d'elle ne sont plus là. Elle doit être quelque part dans le domicile, mais où ?
C'est alors qu'Izaya a un mauvais frisson.
Souriant nerveusement, elle fonce vers un placard, un placard précis qu'elle souhaite que personne n'ouvre. Son cœur bat à la chamade, mais à bien regarder, rien ne semble avoir été touché. Elle prie intérieurement pour que l'Arai n'ait absolument rien vu, avant de se mettre à la chercher, les sacs de courses en mains.
Elle ne semble pas être dans le salon, ni même dans la cuisine.
Elle n'est pas non plus dans la chambre d'ami, ni dans la salle de bain (ce qui est normal en soi).
C'est après quelques minutes de recherches que la Miyamoto la trouve enfin, en train de lire dans la bibliothèque, les vêtements qu'elle lui a prêté. Elle a l'air concentrée.
Souriant gaiement, toute heureuse de voir la musicienne s'occuper un peu, elle s'approche d'elle avant de se mettre en face, relevant un peu les sacs pour les mettre en valeur.
Hey hey Haru-chan ! J'ai acheté des vêtements pour toi ! Je me suis basé sur les étiquettes de tes anciens vêtements ! Oh et, de tes sous-vêtements aussi, j'espère que ça ne te dérange pas ! Même si, pour tout avouer, ce n'était pas bien difficile de deviner ton bonnet de poitrine en te regardant dans le bain, huhu !
La taquinerie passée avec un petit rire étouffé, elle dépose les sacs sous ses yeux. Elle remarque que l'Arai lisait Made in Abyss, qu'elle a acheté, mais qu'elle n'a pas encore lu malheureusement. Elle n'en dit rien pour le moment, sortant les vêtements un par un, y compris les sous-vêtements.
J'ai pris pas mal de choses, comme ça tu n'en manqueras pas ! J'espère que tout ça t'ira ! Je n'ai pas pu te demander quel style tu apprécies, alors j'ai improvisé en suivant ce que j'aimerais bien te voir porter !
Elle sort des porte-jarretelles.
Huhu, je me suis dit que ça ne serait pas mal ça aussi. Après tout, tu es une grande femme, il faut bien profiter de ces belles cuisses ! Un peu d'élégance avec une touche de sexy, je serais honorée de te voir avec ça…~
Elle lui fait un clin d'œil, fière d'elle et toute séductrice.
Allez, je veux que tu essaies tout çaaaa ! Je ne veux pas que tu partes sans que tu me montres si tout ceci te va bien !
S'exclame-t-elle, toute excitée.
Intérieurement, elle fond rien que d'imaginer Haruna avec tout ça, mais elle occulte parfaitement ceci, gardant son habituel sourire chaleureux aux lèvres.
Cependant, cette histoire de poitrine et de "grande femme" lui font naître une question.
D'ailleurs… J'espère que le fait que je n'ai pas une poitrine très… Présente ne te dérange pas. Je sais que beaucoup de gens préfèrent les poitrines plus "imposantes", alors je me demandais si ma poitrine te plaisait !
Demande-t-elle alors, toujours souriante, toujours joyeuse.
Izaya ne complexe pas sur ses seins, mais elle veut au moins savoir si leur taille modeste plaît. Elle a conscience que ce n'est pas le cas pour énormément de monde, alors elle demande, posant les mains d'Haruna sur sa poitrine plate, toute curieuse.
Une fois dans l'appartement après une petite route en voiture avec une bonne musique de jazz sur laquelle elle a chantonné, Izaya se met à gratouiller le gentil Scottish Fold qui supplie de l'affection, peut-être un peu jaloux de l'Arai en ce moment. C'est vrai que pratiquement toute l'attention de la psychologue est portée sur elle en ce moment. Il faut dire que cette fille arrive à bien l'intéresser, autant physiquement que mentalement. C'est difficile de dire qu'elle n'est pas son genre. Pour ne pas dire le parfait idéal féminin.
Se redressant après avoir bien caressé son petit et tout gros Neptune, elle prend les sacs qu'elle a posé pour aller dans la chambre où elle a laissé Haruna, et, à sa plus grande surprise, elle n'est déjà plus là. Ecarquillant des yeux avant de les cligner à plusieurs reprises pour essayer de comprendre la situation, elle remarque très rapidement que les vêtements qu'elle a mis à côté d'elle ne sont plus là. Elle doit être quelque part dans le domicile, mais où ?
C'est alors qu'Izaya a un mauvais frisson.
Souriant nerveusement, elle fonce vers un placard, un placard précis qu'elle souhaite que personne n'ouvre. Son cœur bat à la chamade, mais à bien regarder, rien ne semble avoir été touché. Elle prie intérieurement pour que l'Arai n'ait absolument rien vu, avant de se mettre à la chercher, les sacs de courses en mains.
Elle ne semble pas être dans le salon, ni même dans la cuisine.
Elle n'est pas non plus dans la chambre d'ami, ni dans la salle de bain (ce qui est normal en soi).
C'est après quelques minutes de recherches que la Miyamoto la trouve enfin, en train de lire dans la bibliothèque, les vêtements qu'elle lui a prêté. Elle a l'air concentrée.
Souriant gaiement, toute heureuse de voir la musicienne s'occuper un peu, elle s'approche d'elle avant de se mettre en face, relevant un peu les sacs pour les mettre en valeur.
Hey hey Haru-chan ! J'ai acheté des vêtements pour toi ! Je me suis basé sur les étiquettes de tes anciens vêtements ! Oh et, de tes sous-vêtements aussi, j'espère que ça ne te dérange pas ! Même si, pour tout avouer, ce n'était pas bien difficile de deviner ton bonnet de poitrine en te regardant dans le bain, huhu !
La taquinerie passée avec un petit rire étouffé, elle dépose les sacs sous ses yeux. Elle remarque que l'Arai lisait Made in Abyss, qu'elle a acheté, mais qu'elle n'a pas encore lu malheureusement. Elle n'en dit rien pour le moment, sortant les vêtements un par un, y compris les sous-vêtements.
J'ai pris pas mal de choses, comme ça tu n'en manqueras pas ! J'espère que tout ça t'ira ! Je n'ai pas pu te demander quel style tu apprécies, alors j'ai improvisé en suivant ce que j'aimerais bien te voir porter !
Elle sort des porte-jarretelles.
Huhu, je me suis dit que ça ne serait pas mal ça aussi. Après tout, tu es une grande femme, il faut bien profiter de ces belles cuisses ! Un peu d'élégance avec une touche de sexy, je serais honorée de te voir avec ça…~
Elle lui fait un clin d'œil, fière d'elle et toute séductrice.
Allez, je veux que tu essaies tout çaaaa ! Je ne veux pas que tu partes sans que tu me montres si tout ceci te va bien !
S'exclame-t-elle, toute excitée.
Intérieurement, elle fond rien que d'imaginer Haruna avec tout ça, mais elle occulte parfaitement ceci, gardant son habituel sourire chaleureux aux lèvres.
Cependant, cette histoire de poitrine et de "grande femme" lui font naître une question.
D'ailleurs… J'espère que le fait que je n'ai pas une poitrine très… Présente ne te dérange pas. Je sais que beaucoup de gens préfèrent les poitrines plus "imposantes", alors je me demandais si ma poitrine te plaisait !
Demande-t-elle alors, toujours souriante, toujours joyeuse.
Izaya ne complexe pas sur ses seins, mais elle veut au moins savoir si leur taille modeste plaît. Elle a conscience que ce n'est pas le cas pour énormément de monde, alors elle demande, posant les mains d'Haruna sur sa poitrine plate, toute curieuse.
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Jeu 28 Jan - 14:51
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Concentrée sur sa lecture, l'Arai n'entendit pas Izaya discuter avec le chat et la chercher. Ce n'est que lorsqu'elle entendit sa voix à moins de trois mètres d'elle qu'elle sursauta, lâchant le manga qui se ferma en tombant sur ses jambes alors qu'elle était assise en tailleur.
« Oh... Tu es rentrée... »
Les joues rouges de gêne alors qu'elle venait de paniquer pour rien, bien trop concentrée sur le livre qui était plutôt agréable, commençant doucement par l'installation d'un monde et d'un personnage plutôt mignon. Les décors étaient soignés, les couleurs décrites étaient bariolées, laissant la jeune femme imaginer avec une grande facilité quel genre d'étrangetés pouvaient s'y trouver.
La suite du discours d'Izaya la fit cependant s'étouffer, totalement prise au dépourvu par ses remarques. Les joues désormais bien carmin, elle tâcha de se reprendre au plus vite mais elle baissa le regard, incapable de soutenir celui de la psy après ce qu'elle venait de dire. Elle était capable de savoir la taille juste en regardant ?..
« Ça... ça va... Mais tu n'étais pas obligée d'en prendre autant... J'ai jamais eu autant d'habits, c'est pas nécessaire... »
Mais alors qu'elle commençait à se rendre compte de l'échange, elle observa tout ce qui lui était présenté. Heureusement, elle repéra rapidement des sous-vêtements, chose qui lui manquait actuellement et qu'elle n'avait pas osé prendre dans son inventaire de peur qu'Izaya capte que quelque chose était étrange. Elle aurait juste à en enfiler quand elle aurait le dos tourné de toute façon. Haruna se releva alors tant bien que mal, observant tout ce que lui présentait Izaya tout en l'écoutant. "Ce que j'aimerais bien te voir porter." La tournure de phrase n'avait rien de particulièrement provocateur ou taquin, mais elle fit grandement rougir l'Arai. Ce qu'elle y voyait, c'était comme une promesse de se revoir. Plusieurs fois. Et cette idée ne lui était pas désagréable. Elle manqua cependant de s'étouffer à la vue du sous-vêtement plus osé, ne s'attendant absolument pas à ce genre d'habit. Elle n'avait jamais mit ça, elle.
« Tu... Tu penses que ça m'irait ça ?.. Je sais pas si j'oserai... C'est... enfin... Tu vois... C'est pas habituel... »
Les joues de nouveau rouges, l'Arai détournait un peu le regard, n'osant pas porter les yeux ni sur Izaya, ni sur les porte-jartelles. Mais alors qu'elle allait la remercier pour lui offrir tant d'habits, bien qu'elle gardait au coin de la tête l'idée de la rembourser plus tard ou au moins de lui faire un cadeau à son tour pour équilibrer la balance, la suite la surprit d'autant plus et la fit tourner encore une fois au carmin alors qu'elle commençait à reprendre des couleurs plus normales.
« T-Tout ?.. Ça... ça va être long... Et... Même ça ?.. »
Montrant les porte-jartelles avec des joues bien rouges, rien que l'idée de les enfiler la perturbait, alors le faire pour les montrer à Izaya... C'était complexe. Alors qu'Izaya insistait, elle finit par accepter, un peu intimidée. Elle ne pouvait pas véritablement le lui refuser, après tant de cadeaux qu'elle venait de lui faire. C'était un peu la moindre des choses que de lui prouver qu'elle avait fait des bons choix, même si la demoiselle aux yeux pourpres n'en doutait pas. Elle n'avait jamais été très attentive à tout ça de toute façon.
« Bon... D'accord... Merci en tous cas... J'en ai jamais eu autant... Des vêtements... »
Alors qu'elle allait prendre le premier set pour se changer et commencer un mini "défilé" pour la Miyamoto, sa question la fit rougir violemment. Elle ne s'attendait pas du tout à ça. Et d'ailleurs, elle n'y avait même pas trop fait attention. Elle n'était pas du genre à observer avec attention les formes, les physiques des gens. Seuls les yeux, les cheveux mais surtout les personnalités et les voix de ceux à qui elle parlait lui restaient dans l'esprit. Le physique était... secondaire.
« Je... J'ai... »
Bégayant, n'arrivant pas à trouver ses mots, elle détourna le regard, les joues toujours bien rouges, et chercha quoi répondre pendant de longues secondes avant d'enfin parvenir à formuler une réponse correcte sans trop la bégayer.
« Je n'y ai pas fait attention... J'ai pas de... Enfin tu vois... D'apprioris voilà... C'est... Tu es très belle... Je... »
Elle s'arrêta un instant, avalant sa salive.
« Je t'apprécie bien... Comme tu es... C'est pas important... La taille... Enfin je trouve... »
Toute rouge, elle s'enfuit alors avec les vêtements, se glissant dans la chambre d'amis et fermant la porte derrière elle. Elle s'adossa au battant de ce dernier, le souffle court. Elle ne savait que penser. À nouveau chamboulée, elle respirait rapidement. Puis finalement, un peu calmée, elle commença à se déshabiller, les joues encore rouges, pour enfiler d'abord des sous-vêtments puis enfin mettre la première tenue qui lui venait sous la main. Plutôt chaude, elle serait parfaite pour l'hiver.
Ressortant de la pièce, elle chercha Izaya quelques instants, le regard baissé, intimidée, elle se présenta à elle dans cette nouvelle tenue. Elle n'avait pas l'habitude de se montrer ainsi.
« Oh... Tu es rentrée... »
Les joues rouges de gêne alors qu'elle venait de paniquer pour rien, bien trop concentrée sur le livre qui était plutôt agréable, commençant doucement par l'installation d'un monde et d'un personnage plutôt mignon. Les décors étaient soignés, les couleurs décrites étaient bariolées, laissant la jeune femme imaginer avec une grande facilité quel genre d'étrangetés pouvaient s'y trouver.
La suite du discours d'Izaya la fit cependant s'étouffer, totalement prise au dépourvu par ses remarques. Les joues désormais bien carmin, elle tâcha de se reprendre au plus vite mais elle baissa le regard, incapable de soutenir celui de la psy après ce qu'elle venait de dire. Elle était capable de savoir la taille juste en regardant ?..
« Ça... ça va... Mais tu n'étais pas obligée d'en prendre autant... J'ai jamais eu autant d'habits, c'est pas nécessaire... »
Mais alors qu'elle commençait à se rendre compte de l'échange, elle observa tout ce qui lui était présenté. Heureusement, elle repéra rapidement des sous-vêtements, chose qui lui manquait actuellement et qu'elle n'avait pas osé prendre dans son inventaire de peur qu'Izaya capte que quelque chose était étrange. Elle aurait juste à en enfiler quand elle aurait le dos tourné de toute façon. Haruna se releva alors tant bien que mal, observant tout ce que lui présentait Izaya tout en l'écoutant. "Ce que j'aimerais bien te voir porter." La tournure de phrase n'avait rien de particulièrement provocateur ou taquin, mais elle fit grandement rougir l'Arai. Ce qu'elle y voyait, c'était comme une promesse de se revoir. Plusieurs fois. Et cette idée ne lui était pas désagréable. Elle manqua cependant de s'étouffer à la vue du sous-vêtement plus osé, ne s'attendant absolument pas à ce genre d'habit. Elle n'avait jamais mit ça, elle.
« Tu... Tu penses que ça m'irait ça ?.. Je sais pas si j'oserai... C'est... enfin... Tu vois... C'est pas habituel... »
Les joues de nouveau rouges, l'Arai détournait un peu le regard, n'osant pas porter les yeux ni sur Izaya, ni sur les porte-jartelles. Mais alors qu'elle allait la remercier pour lui offrir tant d'habits, bien qu'elle gardait au coin de la tête l'idée de la rembourser plus tard ou au moins de lui faire un cadeau à son tour pour équilibrer la balance, la suite la surprit d'autant plus et la fit tourner encore une fois au carmin alors qu'elle commençait à reprendre des couleurs plus normales.
« T-Tout ?.. Ça... ça va être long... Et... Même ça ?.. »
Montrant les porte-jartelles avec des joues bien rouges, rien que l'idée de les enfiler la perturbait, alors le faire pour les montrer à Izaya... C'était complexe. Alors qu'Izaya insistait, elle finit par accepter, un peu intimidée. Elle ne pouvait pas véritablement le lui refuser, après tant de cadeaux qu'elle venait de lui faire. C'était un peu la moindre des choses que de lui prouver qu'elle avait fait des bons choix, même si la demoiselle aux yeux pourpres n'en doutait pas. Elle n'avait jamais été très attentive à tout ça de toute façon.
« Bon... D'accord... Merci en tous cas... J'en ai jamais eu autant... Des vêtements... »
Alors qu'elle allait prendre le premier set pour se changer et commencer un mini "défilé" pour la Miyamoto, sa question la fit rougir violemment. Elle ne s'attendait pas du tout à ça. Et d'ailleurs, elle n'y avait même pas trop fait attention. Elle n'était pas du genre à observer avec attention les formes, les physiques des gens. Seuls les yeux, les cheveux mais surtout les personnalités et les voix de ceux à qui elle parlait lui restaient dans l'esprit. Le physique était... secondaire.
« Je... J'ai... »
Bégayant, n'arrivant pas à trouver ses mots, elle détourna le regard, les joues toujours bien rouges, et chercha quoi répondre pendant de longues secondes avant d'enfin parvenir à formuler une réponse correcte sans trop la bégayer.
« Je n'y ai pas fait attention... J'ai pas de... Enfin tu vois... D'apprioris voilà... C'est... Tu es très belle... Je... »
Elle s'arrêta un instant, avalant sa salive.
« Je t'apprécie bien... Comme tu es... C'est pas important... La taille... Enfin je trouve... »
Toute rouge, elle s'enfuit alors avec les vêtements, se glissant dans la chambre d'amis et fermant la porte derrière elle. Elle s'adossa au battant de ce dernier, le souffle court. Elle ne savait que penser. À nouveau chamboulée, elle respirait rapidement. Puis finalement, un peu calmée, elle commença à se déshabiller, les joues encore rouges, pour enfiler d'abord des sous-vêtments puis enfin mettre la première tenue qui lui venait sous la main. Plutôt chaude, elle serait parfaite pour l'hiver.
Ressortant de la pièce, elle chercha Izaya quelques instants, le regard baissé, intimidée, elle se présenta à elle dans cette nouvelle tenue. Elle n'avait pas l'habitude de se montrer ainsi.
- Sélène Anryena
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Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Ven 29 Jan - 2:25
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
Evidemment, l'arrivée de la trentenaire sort Haruna de sa lecture, mais la plus âgée n'aurait pas pensé qu'elle l'effraierait ! Surprise, Haruna ferme son livre avant qu'il ne tombe de ses mains pour se reposer sur ses jambes. Visiblement, elle était très concentrée ! Ça doit être un très bon livre pour qu'elle s'y intéresse autant ! Pour la doctoresse, c'est terriblement craquant de voir quelqu'un d'aussi plongée dans une histoire, elle qui est si attachée aux écrits, elle qui pense publier un jour…
Suite à la taquinerie de la Miyamoto, l'Arai frôle de s'étouffer, mais, comme à son habitude, elle fait en sorte de ne pas s'y pencher, essayant d'être calme malgré tout, ce qui amuse grandement la psychologue. Et bien sûr, la musicienne est confuse vis à vis de la quantité de vêtements… Mais Izaya n'en accorde aucune importance ! Elle a acheté, elle les portera ! On ne refuse pas un cadeau voyons !
Izaya présente donc les habits petit à petit, toute fière, toute heureuse de pouvoir lui offrir tout ceci. Avoir autant d'argent, c'est quelque chose de bien en effet, mais pour la femme à couettes, savoir l'utiliser pour être généreux envers autrui est bien plus excitant. Offrir des sourires, c'est quelque chose qu'elle apprécie tout particulièrement. Rendre heureux les gens… Illuminer leurs vies…
Sans surprise, Haruna ne semble pas réellement pour l'idée de porter des porte-jarretelles, cette belle lingerie dont raffole la doctoresse. Elle ne dit pas "non", mais elle semble craintive, un peu réticente. Elle ne veut pas décevoir son aînée, qui garde le sourire alors qu'elle lui demande de tout essayer, et de tout lui montrer. Quand Haruna semble étonnée par cela, elle n'hésite pas à demander timidement si elle doit porter les porte-jarretelles aussi, ce à quoi la Miyamoto acquiesce. Bien sûr qu'elle veut la voir porter ça ! Sinon elle ne les aurait pas achetés !
Et finalement, l'Arai accepte, toujours aussi rouge qu'une pivoine, avant de remercier la trentenaire, tout en précisant qu'elle n'a jamais eu autant de vêtements.
Héhé, ne t'en fais pas, je suis heureuse si ça te plait.
Mais avant que la plus jeune puisse prendre des vêtements, Izaya lui prend les mains, les mettant contre sa poitrine pour lui poser une question très osée. Complètement chamboulée par la situation, Haruna a une réaction qu'Izaya a vite prévu. Elle balbutie, elle tente de s'expliquer, et surtout, elle flatte tout de même la Miyamoto, qui rougit d'un coup, ne s'y attendant pas.
O-Oh… Je…
Elle ne s'attendait pas à une telle réponse. Elle parlait de ses seins, pas de son corps de manière générale ! Totalement rouge du visage, Izaya se sent un peu perdue, mais elle n'a pas le temps de parler, Haruna étant déjà partie en courant vers la chambre d'ami pour se changer.
A-Attends, je-
Elle tend le bras, mais c'est déjà trop tard.
Le cœur battant, elle se tient finalement la poitrine avant de soupirer. Elle est pourtant habituée aux compliments ! Mais venant d'elle, c'est différent. Elle sait à quel point c'est dur de dire ceci, en étant quelqu'un d'aussi timide. C'est donc très flatteur et important pour elle. Très touchée, Izaya déglutit, fixant le vide en réfléchissant. Elle n'a même pas eu le temps de voir ce qu'elle a pris comme vêtement. Elle ne cherche même pas à vérifier, attendant patiemment qu'elle revienne lui montrer.
Le temps passe, et finalement, elle ressort enfin.
En la voyant, Izaya en a presque la mâchoire qui tombe. Elle avale sa salive, rougissant comme jamais, la fixant en étant complètement admirative.
W-Woah… Tu es… Magnifique… Encore plus que ce que j'imaginais…
Son cœur panique, son cœur s'emballe, elle la toise, paralysée face à une telle beauté.
La respiration saccadée, elle décide finalement de s'approcher d'elle, la regardant de haut en bas avant de poser une main sur sa joue.
Une vraie princesse, c'est difficile de ne pas tomber amoureuse…
Elle lui sourit, avant de rire un peu.
Elle l'embrasse à nouveau, tendrement cette fois, doucement cette fois, avant de reculer et mettre ses mains derrière son dos comme une petite fille innocente.
Ces vêtements te vont fabuleusement bien ! Je veux voir pour les auuutres !
Suite à la taquinerie de la Miyamoto, l'Arai frôle de s'étouffer, mais, comme à son habitude, elle fait en sorte de ne pas s'y pencher, essayant d'être calme malgré tout, ce qui amuse grandement la psychologue. Et bien sûr, la musicienne est confuse vis à vis de la quantité de vêtements… Mais Izaya n'en accorde aucune importance ! Elle a acheté, elle les portera ! On ne refuse pas un cadeau voyons !
Izaya présente donc les habits petit à petit, toute fière, toute heureuse de pouvoir lui offrir tout ceci. Avoir autant d'argent, c'est quelque chose de bien en effet, mais pour la femme à couettes, savoir l'utiliser pour être généreux envers autrui est bien plus excitant. Offrir des sourires, c'est quelque chose qu'elle apprécie tout particulièrement. Rendre heureux les gens… Illuminer leurs vies…
Sans surprise, Haruna ne semble pas réellement pour l'idée de porter des porte-jarretelles, cette belle lingerie dont raffole la doctoresse. Elle ne dit pas "non", mais elle semble craintive, un peu réticente. Elle ne veut pas décevoir son aînée, qui garde le sourire alors qu'elle lui demande de tout essayer, et de tout lui montrer. Quand Haruna semble étonnée par cela, elle n'hésite pas à demander timidement si elle doit porter les porte-jarretelles aussi, ce à quoi la Miyamoto acquiesce. Bien sûr qu'elle veut la voir porter ça ! Sinon elle ne les aurait pas achetés !
Et finalement, l'Arai accepte, toujours aussi rouge qu'une pivoine, avant de remercier la trentenaire, tout en précisant qu'elle n'a jamais eu autant de vêtements.
Héhé, ne t'en fais pas, je suis heureuse si ça te plait.
Mais avant que la plus jeune puisse prendre des vêtements, Izaya lui prend les mains, les mettant contre sa poitrine pour lui poser une question très osée. Complètement chamboulée par la situation, Haruna a une réaction qu'Izaya a vite prévu. Elle balbutie, elle tente de s'expliquer, et surtout, elle flatte tout de même la Miyamoto, qui rougit d'un coup, ne s'y attendant pas.
O-Oh… Je…
Elle ne s'attendait pas à une telle réponse. Elle parlait de ses seins, pas de son corps de manière générale ! Totalement rouge du visage, Izaya se sent un peu perdue, mais elle n'a pas le temps de parler, Haruna étant déjà partie en courant vers la chambre d'ami pour se changer.
A-Attends, je-
Elle tend le bras, mais c'est déjà trop tard.
Le cœur battant, elle se tient finalement la poitrine avant de soupirer. Elle est pourtant habituée aux compliments ! Mais venant d'elle, c'est différent. Elle sait à quel point c'est dur de dire ceci, en étant quelqu'un d'aussi timide. C'est donc très flatteur et important pour elle. Très touchée, Izaya déglutit, fixant le vide en réfléchissant. Elle n'a même pas eu le temps de voir ce qu'elle a pris comme vêtement. Elle ne cherche même pas à vérifier, attendant patiemment qu'elle revienne lui montrer.
Le temps passe, et finalement, elle ressort enfin.
En la voyant, Izaya en a presque la mâchoire qui tombe. Elle avale sa salive, rougissant comme jamais, la fixant en étant complètement admirative.
W-Woah… Tu es… Magnifique… Encore plus que ce que j'imaginais…
Son cœur panique, son cœur s'emballe, elle la toise, paralysée face à une telle beauté.
La respiration saccadée, elle décide finalement de s'approcher d'elle, la regardant de haut en bas avant de poser une main sur sa joue.
Une vraie princesse, c'est difficile de ne pas tomber amoureuse…
Elle lui sourit, avant de rire un peu.
Elle l'embrasse à nouveau, tendrement cette fois, doucement cette fois, avant de reculer et mettre ses mains derrière son dos comme une petite fille innocente.
Ces vêtements te vont fabuleusement bien ! Je veux voir pour les auuutres !
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Sam 30 Jan - 1:53
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Alors qu'elle se présente habillée d'une première tenue choisie par Izaya, bien sûr sans avoir enfilé la manche gauche pour éviter de se faire mal pour rien, elle ne peut s'empêcher de rougir fortement à la réaction de la psy. Elle n'avait rien de très particulier dans cette tenue, elle était juste bien habillé, ce qui, dans son cas, était quelque chose qui n'avait pas dû avoir lieu depuis fort longtemps.
Se faisant un peu petite, elle tourna au carmin lors de la seconde remarque de la doctoresse. Incapable de répondre, les joues bien rouges, elle détourna le regard sur le côté, se mordant un peu la lèvre. Elle ne savait pas quoi lui répondre, quoi lui dire. Est-ce qu'il y avait seulement quelque chose à dire ? Ce n'était pas une déclaration, au mieux une taquinerie comme les autres. Mais celle-ci raisonnait particulièrement aux oreilles de l'ingénue qui ne comprenait pas la position de celle qui l'accueillait chez elle en ce jour.
Lorsque la Miyamoto s'approcha d'elle et lui toucha la joue, Haruna se bloqua, le regard attiré par celui d'Izaya. Un frisson lui parcourut le dos, puis alors qu'elle était ainsi hypnotisée, la trentenaire accepta finalement de la libérer, lui demandant de voir les autres. C'était à peine si elle avait remarqué le baiser tant ses yeux avaient été happés par ceux de son hôtesse, mais aussi et surtout par ses mots. Envoûtée, ensorcelée, la demoiselle aux cheveux libres avala difficilement sa salive.
« J-J'y vais... »
Couleur pivoine, elle fila donc dans la chambre pour se changer à nouveau. Tranquillement, elle passa les différentes tenues en revue, se représentant à Izaya à chaque fois, esquivant son regard tant que cette dernière n'était pas trop proche. Comme si un aimant s'y était glissé, dès que la psy rentrait dans un certain champ autour de la demoiselle aux yeux pourpres, ses prunelles venaient se planter dans celles bleutées d'Izaya.
À chaque fois, elle laissa le temps à cette dernière de la regarder, de la complimenter, rougissant toujours au moindre mot. C'était dûr de lui faire face, de ne pas juste flancher. Elle revint finalement pour la dernière tenue qu'il lui restait, ce qu'elle n'avait pas osé mettre jusque là. Mais maintenant, c'était le dernier pas. Et vu où elle en était, alors elle se dit simplement pourquoi pas. Enfin, jusqu'au moment de l'enfiler. Si le haut était déjà complexe, lui découvrant ventre plat caché par des bandages et épaules où quelques cicatrices étaient présentes, bien qu'elles disparaîtraient dans les jours à venir, elle ne put s'empêcher de ce dire qu'elle avait cette apparence des filles de Zombie Land Saga qu'elle avait vu il y a quelques années.
Alors quand finalement ses yeux se posèrent sur le pire de toute la collection que lui avait offert Izaya, l'Arai ne put s'empêcher de rougir jusqu'aux oreilles en les regardant, posés sur le lit. Avalant sa salive, toute rouge, elle enfila le sous-vêtement sexy. Mais après quelques instants, elle se dépécha d'attraper une jupe qu'elle avait déjà enfilé avant pour la mettre par dessus. C'était mieux que rien...
Sortant timidement de la chambre d'amis de son hôtesse, elle se présenta devant elle le regard détourné, les joues carmin. Presque tremblante, fragile, son bras gauche en écharpe contre son ventre, elle se montrait on ne peut plus vulnérable et elle ne savait pas trop comment appréhender cette sensation. Si d'ordinaire elle aurait tout juste fuit, là, elle avait envie de rester pour Izaya.
Ce n'était pas si mal d'être la souris entre les pattes de ce chat.
Se faisant un peu petite, elle tourna au carmin lors de la seconde remarque de la doctoresse. Incapable de répondre, les joues bien rouges, elle détourna le regard sur le côté, se mordant un peu la lèvre. Elle ne savait pas quoi lui répondre, quoi lui dire. Est-ce qu'il y avait seulement quelque chose à dire ? Ce n'était pas une déclaration, au mieux une taquinerie comme les autres. Mais celle-ci raisonnait particulièrement aux oreilles de l'ingénue qui ne comprenait pas la position de celle qui l'accueillait chez elle en ce jour.
Lorsque la Miyamoto s'approcha d'elle et lui toucha la joue, Haruna se bloqua, le regard attiré par celui d'Izaya. Un frisson lui parcourut le dos, puis alors qu'elle était ainsi hypnotisée, la trentenaire accepta finalement de la libérer, lui demandant de voir les autres. C'était à peine si elle avait remarqué le baiser tant ses yeux avaient été happés par ceux de son hôtesse, mais aussi et surtout par ses mots. Envoûtée, ensorcelée, la demoiselle aux cheveux libres avala difficilement sa salive.
« J-J'y vais... »
Couleur pivoine, elle fila donc dans la chambre pour se changer à nouveau. Tranquillement, elle passa les différentes tenues en revue, se représentant à Izaya à chaque fois, esquivant son regard tant que cette dernière n'était pas trop proche. Comme si un aimant s'y était glissé, dès que la psy rentrait dans un certain champ autour de la demoiselle aux yeux pourpres, ses prunelles venaient se planter dans celles bleutées d'Izaya.
À chaque fois, elle laissa le temps à cette dernière de la regarder, de la complimenter, rougissant toujours au moindre mot. C'était dûr de lui faire face, de ne pas juste flancher. Elle revint finalement pour la dernière tenue qu'il lui restait, ce qu'elle n'avait pas osé mettre jusque là. Mais maintenant, c'était le dernier pas. Et vu où elle en était, alors elle se dit simplement pourquoi pas. Enfin, jusqu'au moment de l'enfiler. Si le haut était déjà complexe, lui découvrant ventre plat caché par des bandages et épaules où quelques cicatrices étaient présentes, bien qu'elles disparaîtraient dans les jours à venir, elle ne put s'empêcher de ce dire qu'elle avait cette apparence des filles de Zombie Land Saga qu'elle avait vu il y a quelques années.
Alors quand finalement ses yeux se posèrent sur le pire de toute la collection que lui avait offert Izaya, l'Arai ne put s'empêcher de rougir jusqu'aux oreilles en les regardant, posés sur le lit. Avalant sa salive, toute rouge, elle enfila le sous-vêtement sexy. Mais après quelques instants, elle se dépécha d'attraper une jupe qu'elle avait déjà enfilé avant pour la mettre par dessus. C'était mieux que rien...
Sortant timidement de la chambre d'amis de son hôtesse, elle se présenta devant elle le regard détourné, les joues carmin. Presque tremblante, fragile, son bras gauche en écharpe contre son ventre, elle se montrait on ne peut plus vulnérable et elle ne savait pas trop comment appréhender cette sensation. Si d'ordinaire elle aurait tout juste fuit, là, elle avait envie de rester pour Izaya.
Ce n'était pas si mal d'être la souris entre les pattes de ce chat.
- Sélène Anryena
- Messages : 1
Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Sam 30 Jan - 2:40
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
C'est étrange.
A chaque fois qu'elle la voit, qu'elle la regarde plus attentivement…
A chaque fois qu'elle l'embrasse, à chaque fois qu'elle la regarde droit dans les yeux, un long moment…
A chaque fois qu'elle la sent, à chaque fois qu'elle la voit essayer des choses pour elle…
Elle se sent fondre. Elle a l'impression de voir une muse, une nymphe, un ange devant ses yeux.
Dans chaque vêtement, elle est splendide, elle resplendit de mille feux.
Elle est d'une grande beauté, et sa pureté ne fait qu'accentuer ça.
Ses réactions, sa timidité, Izaya craque.
Elle sent que normalement, Haruna fuirait.
Et ce simple fait de savoir qu'elle fait des efforts pour elle, et qu'elle semble vouloir le faire pour le plaisir de lui faire plaisir…
Tout ça la rend si heureuse.
Si excitée.
C'est comme si son cœur allait exploser.
Comme si son cœur allait s'arrêter.
Son cœur bat vite, son cœur bat fort.
Ses sentiments brûlent, elle sourit, elle jubile.
Le temps passe, le défilé continue.
Elle rit, elle flatte, elle sourit.
Izaya est si heureuse.
C'est comme si son cœur allait exploser.
Comme si son cœur allait s'arrêter.
Sa respiration s'accélère, elle en oublie son cœur.
Elle en oublie l'importance de ses sentiments.
Son sourire est franc, son sourire est grand.
Elle sourit non pas de manière professionnelle, mais de tout son cœur.
Elle ne cache pas toute la joie qui flamboie en elle, dans son cœur.
Dans son cœur.
Dans son cœur.
C'est comme si son cœur allait exploser.
Comme si son cœur allait s'arrêter.
Finalement, la dernière tenue est celle que Izaya voulait à tout prix voir sur l'Arai, pour le simple fait que c'était particulièrement osé pour cette dernière.
Elle voulait surtout la taquiner avec ça, et elle ne pensait pas qu'elle arriverait à mettre ces porte-jarretelles.
Alors, quand elle la voit…
C'est comme si son cœur s'arrête.
A-Ahh… Hahhh…
Elle se tient la poitrine, fermement.
Elle regarde, elle se rappelle de ce moment où elle a frôlé la mort.
Elle se rappelle de ce moment où son cœur était si gai qu'il n'a pas tenu.
Par réflexe, elle se tient le cœur.
Pourtant, elle sourit, elle sourit niaisement.
Son visage rougit, alors qu'elle rit nerveusement.
…Timidement ?
Haha…
Elle tente de retrouver son calme.
Tu es…
Pourquoi n'arrête-t-elle jamais de la complimenter ?
Pourquoi se sent-elle obligée de lui dire tous ces mots qu'elle pense ?
Pourquoi veut-elle tellement lui dire qu'elle est magnifique, lui répéter qu'elle l'est, encore une fois ?
Encore et encore ?
Elle regarde, Haruna est toujours aussi embarrassée.
Elle essaie, elle essaie pour elle.
Elle lui montre comment cela lui va, elle lui montre à elle, et Izaya se sent comme… Spéciale pour elle.
Se sentir aussi importante la fait rougir davantage.
Elle perd son sourire, elle tremble un peu en baissant les yeux.
J-Je suis heureuse que… Que tu veuilles bien me montrer ça…
Sa joie la frappe comme de violents coups de fouet.
Et ces balbutiements sortent comme des hurlements.
Elle est forcée de dire tout ça.
Elle essaie de se retenir, mais elle le dit quand même.
C'est si flatteur de voir que tu essaies de… De suivre mon jeu… Et que tu essaies de… Me faire plaisir…
Elle avale sa salive.
Pourquoi est-elle aussi nerveuse ?
Oh, c'est vrai. Elle n'a pas l'habitude de recevoir.
Elle cherche surtout à donner.
Et puis, recevoir d'une personne aussi timide…
Aussi nerveuse, aussi aisément embarrassée… Peu sûre d'elle…
Elle a le bras cassé, elle est sortie d'un donjon à peine hier soir, un donjon traumatisant…
Et elle sourit tout de même.
Elle s'amuse, elle tente de lui faire plaisir.
Alors que c'est elle qui cherche à l'aider…
C'est si étrange.
Ce sentiment…
Haha… Je suis vraiment heureuse. Non pas simplement pour cette tenue, mais pour le fait que tu fasses beaucoup d'effort pour moi.
Elle s'approche, et elle lui pose la main de son bras valide sur son cœur, pour qu'elle le sente.
Héhé… Mais c'est vrai que ces collants te vont bien. J'espère que je serai la seule à les voir. Je veux être la privilégiée !
Une petite taquinerie…
Malgré tout.
Elle regarde Haruna dans les yeux.
Elle est hypnotisée, ensorcelée.
Elle ne peut pas se détacher d'elle.
Elle sourit timidement.
H-Hey… Est-ce que tu peux m'embrasser…? Par toi-même ?
Pourquoi est-elle aussi nerveuse ?
A chaque fois qu'elle la voit, qu'elle la regarde plus attentivement…
A chaque fois qu'elle l'embrasse, à chaque fois qu'elle la regarde droit dans les yeux, un long moment…
A chaque fois qu'elle la sent, à chaque fois qu'elle la voit essayer des choses pour elle…
Elle se sent fondre. Elle a l'impression de voir une muse, une nymphe, un ange devant ses yeux.
Dans chaque vêtement, elle est splendide, elle resplendit de mille feux.
Elle est d'une grande beauté, et sa pureté ne fait qu'accentuer ça.
Ses réactions, sa timidité, Izaya craque.
Elle sent que normalement, Haruna fuirait.
Et ce simple fait de savoir qu'elle fait des efforts pour elle, et qu'elle semble vouloir le faire pour le plaisir de lui faire plaisir…
Tout ça la rend si heureuse.
Si excitée.
C'est comme si son cœur allait exploser.
Comme si son cœur allait s'arrêter.
Son cœur bat vite, son cœur bat fort.
Ses sentiments brûlent, elle sourit, elle jubile.
Le temps passe, le défilé continue.
Elle rit, elle flatte, elle sourit.
Izaya est si heureuse.
C'est comme si son cœur allait exploser.
Comme si son cœur allait s'arrêter.
Sa respiration s'accélère, elle en oublie son cœur.
Elle en oublie l'importance de ses sentiments.
Son sourire est franc, son sourire est grand.
Elle sourit non pas de manière professionnelle, mais de tout son cœur.
Elle ne cache pas toute la joie qui flamboie en elle, dans son cœur.
Dans son cœur.
Dans son cœur.
C'est comme si son cœur allait exploser.
Comme si son cœur allait s'arrêter.
Finalement, la dernière tenue est celle que Izaya voulait à tout prix voir sur l'Arai, pour le simple fait que c'était particulièrement osé pour cette dernière.
Elle voulait surtout la taquiner avec ça, et elle ne pensait pas qu'elle arriverait à mettre ces porte-jarretelles.
Alors, quand elle la voit…
C'est comme si son cœur s'arrête.
A-Ahh… Hahhh…
Elle se tient la poitrine, fermement.
Elle regarde, elle se rappelle de ce moment où elle a frôlé la mort.
Elle se rappelle de ce moment où son cœur était si gai qu'il n'a pas tenu.
Par réflexe, elle se tient le cœur.
Pourtant, elle sourit, elle sourit niaisement.
Son visage rougit, alors qu'elle rit nerveusement.
…Timidement ?
Haha…
Elle tente de retrouver son calme.
Tu es…
Pourquoi n'arrête-t-elle jamais de la complimenter ?
Pourquoi se sent-elle obligée de lui dire tous ces mots qu'elle pense ?
Pourquoi veut-elle tellement lui dire qu'elle est magnifique, lui répéter qu'elle l'est, encore une fois ?
Encore et encore ?
Elle regarde, Haruna est toujours aussi embarrassée.
Elle essaie, elle essaie pour elle.
Elle lui montre comment cela lui va, elle lui montre à elle, et Izaya se sent comme… Spéciale pour elle.
Se sentir aussi importante la fait rougir davantage.
Elle perd son sourire, elle tremble un peu en baissant les yeux.
J-Je suis heureuse que… Que tu veuilles bien me montrer ça…
Sa joie la frappe comme de violents coups de fouet.
Et ces balbutiements sortent comme des hurlements.
Elle est forcée de dire tout ça.
Elle essaie de se retenir, mais elle le dit quand même.
C'est si flatteur de voir que tu essaies de… De suivre mon jeu… Et que tu essaies de… Me faire plaisir…
Elle avale sa salive.
Pourquoi est-elle aussi nerveuse ?
Oh, c'est vrai. Elle n'a pas l'habitude de recevoir.
Elle cherche surtout à donner.
Et puis, recevoir d'une personne aussi timide…
Aussi nerveuse, aussi aisément embarrassée… Peu sûre d'elle…
Elle a le bras cassé, elle est sortie d'un donjon à peine hier soir, un donjon traumatisant…
Et elle sourit tout de même.
Elle s'amuse, elle tente de lui faire plaisir.
Alors que c'est elle qui cherche à l'aider…
C'est si étrange.
Ce sentiment…
Haha… Je suis vraiment heureuse. Non pas simplement pour cette tenue, mais pour le fait que tu fasses beaucoup d'effort pour moi.
Elle s'approche, et elle lui pose la main de son bras valide sur son cœur, pour qu'elle le sente.
Héhé… Mais c'est vrai que ces collants te vont bien. J'espère que je serai la seule à les voir. Je veux être la privilégiée !
Une petite taquinerie…
Malgré tout.
Elle regarde Haruna dans les yeux.
Elle est hypnotisée, ensorcelée.
Elle ne peut pas se détacher d'elle.
Elle sourit timidement.
H-Hey… Est-ce que tu peux m'embrasser…? Par toi-même ?
Pourquoi est-elle aussi nerveuse ?
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Sam 30 Jan - 12:47
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Alors qu'elle se montrait dans cette tenue particulièrement osée, les joues toutes rouges, elle remarqua à nouveau les gestes d'Izaya envers son coeur. Elle se mordit la lèvre, se retenant de la questionner. C'était sans doute la même chose, elle ne pouvait pas passer son temps à s'inquiéter et à lui dire qu'elle devait faire attention. D'autant plus qu'elle le savait puisqu'elle avait fait une crise cardiaque d'après ses dires, avec son ancien coeur.
Au moins, elle appréciait ce défilé rien que pour elle, bien que l'Arai ne soit pas particulièrement douée pour présenter les vêtements portés sur elle. Elle n'était pas comme ces modèles qui savaient exactement quoi faire, quel mouvement permettait de mettre en valeur quelle partie de l'habillage, et ainsi de suite. Lorsque la psy lui dit directement qu'elle appréciait son geste, son acceptation de se présenter ainsi, Haruna ne put empêcher son sang d'affluer encore une fois vivement à son visage, retournant au stade carmin qu'elle n'arrivait pas trop à quitter dans cette situation.
« Tu m'as beaucoup aidé hier soir et aujourd'hui... C'est... La moindre des choses... »
Rougissante, gênée, le coeur battant, le souffle court. L'Arai ne savait que dire ou que faire, perdue encore une fois dans ses sentiments. Elle avait peur de briser ce moment entre elles. Peur que ça s'arrête d'un seul coup ou qu'elle oublie.
Mais alors qu'elle était dans ses pensées, elle remarqua finalement qu'Izaya s'était approchée. Elle était rentrée dans ce périmètre où les yeux d'Haruna ne pouvaient plus se cacher, où elle était absorbée par les reflets qu'elle trouvait dans le bleu de la Miyamoto.
Lorsqu'elle lui prit la main, la demoiselle aux prunelles pourpres tressailla. Lorsqu'elle lui posa sa main sur son coeur, elle frissonna. Lorsqu'elle lui parla, elle sentit une chaleur réconfortante mais taquine se former au niveau de son sternum. Lorsqu'elle lui demanda de l'embrasser, la chaleur remonta dans ses joues.
Elle avait si chaud à être si timide, si gênée, elle qui n'avait aucune expérience. Frissonnante, rougissante, l'Arai ferma alors les yeux et sans répondre, elle s'abandonna, acceptant d'embrasser, toujours sans lui répondre. Maladroite sans surprise, elle déposa d'abord un simple baiser sur les lèvres d'Izaya. Puis, après un instant, les yeux toujours fermés avec plus de force que de raison, elle l'embrassa à nouveau. Pleinement. Avec maladresse mais une certaine envie de plaire à celle qui faisait battre son propre coeur à tout rompre.
Après de longues secondes à essayer de reproduire les conseils donnés par la doctoresse plus tôt dans la journée, Haruna se détacha d'elle. Elle eut besoin de quelques pas en arrière, jusqu'à cogner contre le divan et tomber assise dessus, pour enfin pouvoir détacher ses yeux de ceux d'Izaya, toute rouge. Le regard fuyant, elle restait ainsi, genoux collés l'un à l'autre, jambes un peu penchées sur le côté, frissonnante à nouveau. Son bras sain l'aidait à se soutenir, à ne pas basculer et finir à moitié allongée tant l'émotion la perturbait. Elle ne s'attendait pas à faire ça un jour. À le souhaiter. Encore moins avec une femme. C'était sensé être avec un homme, non ?.. Elle ne savait plus. Elle avait vu des relations de toutes les formes, dans tous les sens. Elle n'y voyait jamais de mal. Mais elle ne s'attendait pas à ce que ses propres goûts soient ainsi. Ou alors ça n'avait rien à voir ?.. Elle ne savait pas. C'était si complexe. La seule chose qu'elle savait, qu'elle entendait, qu'elle percevait, c'était son coeur qui allait éclater dans sa poitrine. Il battait si fort qu'elle se demandait comment il tenait. Mais tout allait bien. Seulement... Elle n'était pas préparée à ça. Elle ne s'y attendait pas. Et une vague de sentiments forts l'emportait plus que jamais auparavant.
Elle n'avait pas envie de quitter les côtés d'Izaya. Elle voulait rester avec elle, se blottir dans ses bras. L'embrasser à nouveau même. Elle ne voulait pas partir. Elle voulait juste passer ses journées avec elle, l'écouter, se faire rassurer par elle lorsqu'elle avait peur, qu'elle avait des doutes. Et plus jamais sortir. Ça ne servait à rien de toutes façons. Dehors, elle était pourchassée. Pourquoi y aller ? Elle était mieux là, entre les pattes de ce chat.
Au moins, elle appréciait ce défilé rien que pour elle, bien que l'Arai ne soit pas particulièrement douée pour présenter les vêtements portés sur elle. Elle n'était pas comme ces modèles qui savaient exactement quoi faire, quel mouvement permettait de mettre en valeur quelle partie de l'habillage, et ainsi de suite. Lorsque la psy lui dit directement qu'elle appréciait son geste, son acceptation de se présenter ainsi, Haruna ne put empêcher son sang d'affluer encore une fois vivement à son visage, retournant au stade carmin qu'elle n'arrivait pas trop à quitter dans cette situation.
« Tu m'as beaucoup aidé hier soir et aujourd'hui... C'est... La moindre des choses... »
Rougissante, gênée, le coeur battant, le souffle court. L'Arai ne savait que dire ou que faire, perdue encore une fois dans ses sentiments. Elle avait peur de briser ce moment entre elles. Peur que ça s'arrête d'un seul coup ou qu'elle oublie.
Mais alors qu'elle était dans ses pensées, elle remarqua finalement qu'Izaya s'était approchée. Elle était rentrée dans ce périmètre où les yeux d'Haruna ne pouvaient plus se cacher, où elle était absorbée par les reflets qu'elle trouvait dans le bleu de la Miyamoto.
Lorsqu'elle lui prit la main, la demoiselle aux prunelles pourpres tressailla. Lorsqu'elle lui posa sa main sur son coeur, elle frissonna. Lorsqu'elle lui parla, elle sentit une chaleur réconfortante mais taquine se former au niveau de son sternum. Lorsqu'elle lui demanda de l'embrasser, la chaleur remonta dans ses joues.
Elle avait si chaud à être si timide, si gênée, elle qui n'avait aucune expérience. Frissonnante, rougissante, l'Arai ferma alors les yeux et sans répondre, elle s'abandonna, acceptant d'embrasser, toujours sans lui répondre. Maladroite sans surprise, elle déposa d'abord un simple baiser sur les lèvres d'Izaya. Puis, après un instant, les yeux toujours fermés avec plus de force que de raison, elle l'embrassa à nouveau. Pleinement. Avec maladresse mais une certaine envie de plaire à celle qui faisait battre son propre coeur à tout rompre.
Après de longues secondes à essayer de reproduire les conseils donnés par la doctoresse plus tôt dans la journée, Haruna se détacha d'elle. Elle eut besoin de quelques pas en arrière, jusqu'à cogner contre le divan et tomber assise dessus, pour enfin pouvoir détacher ses yeux de ceux d'Izaya, toute rouge. Le regard fuyant, elle restait ainsi, genoux collés l'un à l'autre, jambes un peu penchées sur le côté, frissonnante à nouveau. Son bras sain l'aidait à se soutenir, à ne pas basculer et finir à moitié allongée tant l'émotion la perturbait. Elle ne s'attendait pas à faire ça un jour. À le souhaiter. Encore moins avec une femme. C'était sensé être avec un homme, non ?.. Elle ne savait plus. Elle avait vu des relations de toutes les formes, dans tous les sens. Elle n'y voyait jamais de mal. Mais elle ne s'attendait pas à ce que ses propres goûts soient ainsi. Ou alors ça n'avait rien à voir ?.. Elle ne savait pas. C'était si complexe. La seule chose qu'elle savait, qu'elle entendait, qu'elle percevait, c'était son coeur qui allait éclater dans sa poitrine. Il battait si fort qu'elle se demandait comment il tenait. Mais tout allait bien. Seulement... Elle n'était pas préparée à ça. Elle ne s'y attendait pas. Et une vague de sentiments forts l'emportait plus que jamais auparavant.
Elle n'avait pas envie de quitter les côtés d'Izaya. Elle voulait rester avec elle, se blottir dans ses bras. L'embrasser à nouveau même. Elle ne voulait pas partir. Elle voulait juste passer ses journées avec elle, l'écouter, se faire rassurer par elle lorsqu'elle avait peur, qu'elle avait des doutes. Et plus jamais sortir. Ça ne servait à rien de toutes façons. Dehors, elle était pourchassée. Pourquoi y aller ? Elle était mieux là, entre les pattes de ce chat.
- Sélène Anryena
- Messages : 1
Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Sam 30 Jan - 17:16
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
C'est comme si plus rien n'avait d'importance.
Comme si elle avait tout oublié.
Comme si, ce fait d'aider les autres, ces problèmes avec les faucheurs, ces problèmes avec le monde… N'existaient plus.
Il n'y avait plus qu'Haruna dans son esprit.
C'est si étrange.
Quelque part, elle se sent voler. Elle se sent monter jusqu'au paradis. Elle se sent arriver à une hauteur incompréhensible, à un niveau de joie indescriptible.
Ses sentiments sont si forts. Si forts que son cœur ne le supporte pas.
Son cœur tape dans sa poitrine, il impose sa présence, à la fois chaleureuse et douloureuse.
Bizarrement, Izaya se sent aussi bénie que maudite.
Quelque part, dans cet océan de joie, elle y voit au fin fond… Quelque chose qui ne va pas.
Qu'est-ce donc ? Elle n'arrive pas à réfléchir durant ce baiser.
Elle ne pensait pas qu'Haruna l'embrasserait comme ça, par elle-même.
Elle a demandé, c'est vrai, mais elle ne s'attendait pas à ne réponse positive.
Pourquoi l'avoir demandé alors ? Elle ne sait plus trop, elle a laissé ses sentiments parler niaisement.
Elle n'a même pas répondu. Elle a posé ses lèvres contre les siennes, sans un mot.
C'était comme un coup de jus.
Un choc électrique au contact, qui l'a fait tressaillir.
Pourtant, elles se sont déjà embrassées ! Deux fois même !
Mais cette fois, avec ce simple fait que ce soit Haruna qui y aille par elle-même… C'est différent.
Izaya se sent comme partir.
Elle se sent morte de joie.
Joie ? Elle ne sait pas vraiment si c'est le bon terme. Ça semble fade, faux, peut-être hypocrite.
Mais elle a un blocage. Elle n'a pas envie de s'aventurer davantage dans cette réflexion.
Enfin si, elle a envie parce qu'elle est curieuse. Mais…
Quelque chose ne va pas.
Elles sont silencieuses.
On n'entend plus que le son de leurs respirations, de leurs lèvres qui se touchent et de leurs cœurs qui battent à la chamade.
Izaya se sent comme partir.
Elle se sent morte de…
Morte de…?
Quand le baiser se rompt, Haruna recule, et Izaya ouvre lentement ses yeux, comme si elle sortait d'un pays merveilleux. Comme si elle sortait du plus beau des rêves.
Elle observe Haruna, sans sourire.
Elle ne sourit pas, elle a l'air fascinée. Elle a l'air hypnotisée, ensorcelée.
Elle a encore du mal à sortir du choc.
Elle n'aurait jamais cru qu'Haruna le ferait.
Izaya se sent confuse.
Elle pense à cette tenue, elle pense à ce baiser, elle réfléchit.
Est-ce qu'Haruna cherche à lui plaire ?
Imaginer ça la rend heureuse et la flatte.
Plus heureuse que prévu.
Elle a l'impression qu'elle pourrait s'en évanouir.
Pourquoi ? Elle a déjà eu tellement de relations. Elle devrait être habituée !
Alors pourquoi ?
Pourquoi elle précisément ?
Izaya essaie d'être pragmatique.
Mais les sentiments sont trop forts, et le nom d'Haruna se répète dans son esprit.
Encore et encore.
Haruna aussi semble perdue, épuisée, étourdie.
Elle est là, sur le divan. Elle a l'air de réfléchir.
Izaya s'avance, elle respire fort, elle halète même.
Elle a l'impression qu'elle pourrait tomber par-terre à tout moment.
Elle s'approche, elle allonge Haruna sur le divan, toujours en faisant attention à son bras.
...
Ses pupilles se dilatent.
Elle respire bruyamment.
Haruna…
Chuchote-t-elle d'une étrange manière.
Elle est tendre, mais il y a une profondeur dans cette tendresse, une passion difficile à expliquer.
Je t'-
Son coeur explose dans sa poitrine.
Elle a l'impression qu'il s'arrête, et elle inspire d'un coup avant de reculer rapidement pour se remettre assise en riant nerveusement.
AHM ! Je voulais dire… Hm… Il est tard je pense et hm. Je… Enfin… Je ne voudrais pas que tu sois en retard à ton travail haha… Je peux t'amener chez toi en moto…
Elle tente de retrouver son calme en se tenant le cœur.
C'était quoi, ça ?
Enfin, elle le sait très bien.
Mais elle n'a pas envie de se l'avouer.
Elle n'a pas envie de comprendre, ou plutôt, de l'affirmer.
Je… Hm.
Les joues en flamme, elle tourne son regard vers Haruna, timidement.
E-En tout cas… Tu embrasses très bien… Ça m'a rendue très…
Elle ferme les yeux, complètement embarrassée.
H-Heureuse ? Et passionnée aussi… Et… Enfin… C'était très agréable et…
...
Et ?
Comme si elle avait tout oublié.
Comme si, ce fait d'aider les autres, ces problèmes avec les faucheurs, ces problèmes avec le monde… N'existaient plus.
Il n'y avait plus qu'Haruna dans son esprit.
C'est si étrange.
Quelque part, elle se sent voler. Elle se sent monter jusqu'au paradis. Elle se sent arriver à une hauteur incompréhensible, à un niveau de joie indescriptible.
Ses sentiments sont si forts. Si forts que son cœur ne le supporte pas.
Son cœur tape dans sa poitrine, il impose sa présence, à la fois chaleureuse et douloureuse.
Bizarrement, Izaya se sent aussi bénie que maudite.
Quelque part, dans cet océan de joie, elle y voit au fin fond… Quelque chose qui ne va pas.
Qu'est-ce donc ? Elle n'arrive pas à réfléchir durant ce baiser.
Elle ne pensait pas qu'Haruna l'embrasserait comme ça, par elle-même.
Elle a demandé, c'est vrai, mais elle ne s'attendait pas à ne réponse positive.
Pourquoi l'avoir demandé alors ? Elle ne sait plus trop, elle a laissé ses sentiments parler niaisement.
Elle n'a même pas répondu. Elle a posé ses lèvres contre les siennes, sans un mot.
C'était comme un coup de jus.
Un choc électrique au contact, qui l'a fait tressaillir.
Pourtant, elles se sont déjà embrassées ! Deux fois même !
Mais cette fois, avec ce simple fait que ce soit Haruna qui y aille par elle-même… C'est différent.
Izaya se sent comme partir.
Elle se sent morte de joie.
Joie ? Elle ne sait pas vraiment si c'est le bon terme. Ça semble fade, faux, peut-être hypocrite.
Mais elle a un blocage. Elle n'a pas envie de s'aventurer davantage dans cette réflexion.
Enfin si, elle a envie parce qu'elle est curieuse. Mais…
Quelque chose ne va pas.
Elles sont silencieuses.
On n'entend plus que le son de leurs respirations, de leurs lèvres qui se touchent et de leurs cœurs qui battent à la chamade.
Izaya se sent comme partir.
Elle se sent morte de…
Morte de…?
Quand le baiser se rompt, Haruna recule, et Izaya ouvre lentement ses yeux, comme si elle sortait d'un pays merveilleux. Comme si elle sortait du plus beau des rêves.
Elle observe Haruna, sans sourire.
Elle ne sourit pas, elle a l'air fascinée. Elle a l'air hypnotisée, ensorcelée.
Elle a encore du mal à sortir du choc.
Elle n'aurait jamais cru qu'Haruna le ferait.
Izaya se sent confuse.
Elle pense à cette tenue, elle pense à ce baiser, elle réfléchit.
Est-ce qu'Haruna cherche à lui plaire ?
Imaginer ça la rend heureuse et la flatte.
Plus heureuse que prévu.
Elle a l'impression qu'elle pourrait s'en évanouir.
Pourquoi ? Elle a déjà eu tellement de relations. Elle devrait être habituée !
Alors pourquoi ?
Pourquoi elle précisément ?
Izaya essaie d'être pragmatique.
Mais les sentiments sont trop forts, et le nom d'Haruna se répète dans son esprit.
Encore et encore.
Haruna aussi semble perdue, épuisée, étourdie.
Elle est là, sur le divan. Elle a l'air de réfléchir.
Izaya s'avance, elle respire fort, elle halète même.
Elle a l'impression qu'elle pourrait tomber par-terre à tout moment.
Elle s'approche, elle allonge Haruna sur le divan, toujours en faisant attention à son bras.
...
Ses pupilles se dilatent.
Elle respire bruyamment.
Haruna…
Chuchote-t-elle d'une étrange manière.
Elle est tendre, mais il y a une profondeur dans cette tendresse, une passion difficile à expliquer.
Je t'-
Son coeur explose dans sa poitrine.
Elle a l'impression qu'il s'arrête, et elle inspire d'un coup avant de reculer rapidement pour se remettre assise en riant nerveusement.
AHM ! Je voulais dire… Hm… Il est tard je pense et hm. Je… Enfin… Je ne voudrais pas que tu sois en retard à ton travail haha… Je peux t'amener chez toi en moto…
Elle tente de retrouver son calme en se tenant le cœur.
C'était quoi, ça ?
Enfin, elle le sait très bien.
Mais elle n'a pas envie de se l'avouer.
Elle n'a pas envie de comprendre, ou plutôt, de l'affirmer.
Je… Hm.
Les joues en flamme, elle tourne son regard vers Haruna, timidement.
E-En tout cas… Tu embrasses très bien… Ça m'a rendue très…
Elle ferme les yeux, complètement embarrassée.
H-Heureuse ? Et passionnée aussi… Et… Enfin… C'était très agréable et…
...
Et ?
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Sam 30 Jan - 19:53
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Leur échange est puissant, nouveau pour l'ingénue. Elle découvrit avec violence la puissance des sentiments, des émotions qui l'emportaient. La demoiselle était perdue dans cette tempête lorsque Izaya se rapprocha d'elle plus encore. Elle trembla, hypnotisée, lorsque la Miyamoto l'allongea sur le divan. Mais la tendresse, l'attirance qu'elle avait pour la psychologue fut rapidement dépassée par la peur de la rapidité des évènements. Elle n'était pas prête. Pas prête pour plus. C'était déjà tellement sur son coeur... Elle ne savait pas comment gérer.
Mais heureusement, la trentenaire se recula peu avant qu'Haruna ne craque et tente de la repousser d'elle-même. La tension s'apaisa un peu. Elle pouvait mieux respirer. Son coeur qui tambourinait contre sa cage thoracique se calma doucement. Doucement. Les résonnances dans ses oreilles se calmaient. Elle parvenait mieux à entendre ce qu'Izaya disait.
« Oui... Je... Je devrais rentrer... Ma coloc' va s'inquiéter... Sinon... Je veux bien que tu me ramènes... »
À son tour, elle se redressa. Un peu perdue, elle se mordit la lèvre en remarquant la main d'Izaya à nouveau sur sa poitrine, au niveau de son coeur. Ce mouvement la tiraillait à chaque fois qu'elle le voyait, mais elle savait que ce n'était rien maintenant. Il fallait qu'elle parvienne à s'en détacher, à accepter que ce n'était pas un signe de malêtre de la doctoresse, que c'était plutôt une forte émotion mais que tout allait bien.
Alors qu'elle pensait simplement rentrer raccompagnée d'Izaya, cette dernière reprit la parole pour la faire tourner au carmin en un instant. Alors qu'elle était calmée en partie, l'Arai sentit son coeur s'emballer à nouveau, la gêne et la timidité reprendre le contrôle de son sang pour le faire vivement monter au visage. Elle était là, incapable de réagir face aux déclarations trop honnêtes de la psy trentenaire. Lorsque cette dernière voulu continuer de parler, Haruna leva sa main droite droit devant elle, paume ouverte vers l'extérieur. Vers Izaya.
C'était trop. Si elle continuait, elle allait imploser. Son coeur battait la chamade, hurlait son trop plein d'émotions. Elle n'en pouvait plus, elle était balancée çà et là dans un tourbillon si fort qu'elle n'en comprenait presque plus rien.
« Je... Suis très contente... Que ça t'ait plu... À toi aussi... C'est trop pour moi... D'un coup... Désolée... Je sais pas si je tiendrais beaucoup plus longtemps... À plus d'émotions... »
Couleur pivoine suite à cet aveu, elle eut besoin de quelques longues secondes pour retrouver un semblant de capacité cognitive et se rendre compte qu'elle était toujours avec les porte-jartelles. Elle ne pouvait pas rentrer comme ça. Toute rouge, elle se releva d'un coup, n'osant pas regarder Izaya dans les yeux.
« Je... Je vais me changer... Je reviens... »
Filant dans la chambre d'amis de son hôtesse, elle se changea lentement, prenant le temps de réfléchir à ce qu'il s'était passé, à ce qu'elle venait de traverser, de faire avec Izaya. C'était tant de nouveautés en si peu de temps. Elle avait osé ce qu'elle n'aurait jamais cru oser. C'était sans doute peu de choses pour beaucoup, mais c'était comme un mur qu'elle aurait vu comme insurmontable jusque là qu'elle avait passé presque naturellement avec Izaya. Grâce à elle ? À cause d'elle ? Elle ne saurait pas dire si c'était quelque chose de bien, de mal ou si ces notions n'avaient pas à s'appliquer dans ce cas. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle était bien trop perdue pour retrouver des positions solides si vite.
Ressortant de la pièce une fois changée en une tenue plus sobre, emplie d'une grande timidité après tous ces évènements si rapprochés, la jeune fille aux yeux pourpres revint vers son hôtesse.
« Du coup... Si tu veux... Tu peux me raccompagner... Je pourrais te montrer où j'habite... C'est pas très grand mais... Ça fait l'affaire... Et c'est pas très cher. »
Bras en écharpe, l'Arai remarqua Neptune qui vint se frotter à ses jambes alors qu'elle essayait de discuter avec Izaya. Elle s'accroupit quelques instants pour le caresser mais ne dit rien. Elle avait laissé tous les vêtements dans la pièce où elle s'était changée pour l'instant. Les porter en moto était inenvisageable après tout.
« Pour les vêtements... Je les laisse là, si tu veux bien... Je les ramènerai quand mon bras ira mieux... D'accord ? »
Les joues rouges, elle releva finalement le regard pour recroiser celui d'Izaya. Comment allait-elle réagir ?..
Mais heureusement, la trentenaire se recula peu avant qu'Haruna ne craque et tente de la repousser d'elle-même. La tension s'apaisa un peu. Elle pouvait mieux respirer. Son coeur qui tambourinait contre sa cage thoracique se calma doucement. Doucement. Les résonnances dans ses oreilles se calmaient. Elle parvenait mieux à entendre ce qu'Izaya disait.
« Oui... Je... Je devrais rentrer... Ma coloc' va s'inquiéter... Sinon... Je veux bien que tu me ramènes... »
À son tour, elle se redressa. Un peu perdue, elle se mordit la lèvre en remarquant la main d'Izaya à nouveau sur sa poitrine, au niveau de son coeur. Ce mouvement la tiraillait à chaque fois qu'elle le voyait, mais elle savait que ce n'était rien maintenant. Il fallait qu'elle parvienne à s'en détacher, à accepter que ce n'était pas un signe de malêtre de la doctoresse, que c'était plutôt une forte émotion mais que tout allait bien.
Alors qu'elle pensait simplement rentrer raccompagnée d'Izaya, cette dernière reprit la parole pour la faire tourner au carmin en un instant. Alors qu'elle était calmée en partie, l'Arai sentit son coeur s'emballer à nouveau, la gêne et la timidité reprendre le contrôle de son sang pour le faire vivement monter au visage. Elle était là, incapable de réagir face aux déclarations trop honnêtes de la psy trentenaire. Lorsque cette dernière voulu continuer de parler, Haruna leva sa main droite droit devant elle, paume ouverte vers l'extérieur. Vers Izaya.
C'était trop. Si elle continuait, elle allait imploser. Son coeur battait la chamade, hurlait son trop plein d'émotions. Elle n'en pouvait plus, elle était balancée çà et là dans un tourbillon si fort qu'elle n'en comprenait presque plus rien.
« Je... Suis très contente... Que ça t'ait plu... À toi aussi... C'est trop pour moi... D'un coup... Désolée... Je sais pas si je tiendrais beaucoup plus longtemps... À plus d'émotions... »
Couleur pivoine suite à cet aveu, elle eut besoin de quelques longues secondes pour retrouver un semblant de capacité cognitive et se rendre compte qu'elle était toujours avec les porte-jartelles. Elle ne pouvait pas rentrer comme ça. Toute rouge, elle se releva d'un coup, n'osant pas regarder Izaya dans les yeux.
« Je... Je vais me changer... Je reviens... »
Filant dans la chambre d'amis de son hôtesse, elle se changea lentement, prenant le temps de réfléchir à ce qu'il s'était passé, à ce qu'elle venait de traverser, de faire avec Izaya. C'était tant de nouveautés en si peu de temps. Elle avait osé ce qu'elle n'aurait jamais cru oser. C'était sans doute peu de choses pour beaucoup, mais c'était comme un mur qu'elle aurait vu comme insurmontable jusque là qu'elle avait passé presque naturellement avec Izaya. Grâce à elle ? À cause d'elle ? Elle ne saurait pas dire si c'était quelque chose de bien, de mal ou si ces notions n'avaient pas à s'appliquer dans ce cas. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle était bien trop perdue pour retrouver des positions solides si vite.
Ressortant de la pièce une fois changée en une tenue plus sobre, emplie d'une grande timidité après tous ces évènements si rapprochés, la jeune fille aux yeux pourpres revint vers son hôtesse.
« Du coup... Si tu veux... Tu peux me raccompagner... Je pourrais te montrer où j'habite... C'est pas très grand mais... Ça fait l'affaire... Et c'est pas très cher. »
Bras en écharpe, l'Arai remarqua Neptune qui vint se frotter à ses jambes alors qu'elle essayait de discuter avec Izaya. Elle s'accroupit quelques instants pour le caresser mais ne dit rien. Elle avait laissé tous les vêtements dans la pièce où elle s'était changée pour l'instant. Les porter en moto était inenvisageable après tout.
« Pour les vêtements... Je les laisse là, si tu veux bien... Je les ramènerai quand mon bras ira mieux... D'accord ? »
Les joues rouges, elle releva finalement le regard pour recroiser celui d'Izaya. Comment allait-elle réagir ?..
- Sélène Anryena
- Messages : 1
Date d'inscription : 18/11/2020
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Sam 30 Jan - 21:01
Rétablissements
Tokyo
Centre ville
Jour
Oh, donc elle a une colocataire ?
Enfin, Izaya n'a pas la tête à y penser. Elle acquiesce simplement quand Haruna lui dit ça tout en acceptant de se faire amener.
Néanmoins, quand elle se met debout et que la Miyamoto commence à exprimer ce qu'elle ressentait vis à vis du baiser, cette dernière se fait vite couper par l'Arai, qui lève la main devant elle pour lui demander poliment que c'était trop pour elle, qu'elle a beaucoup d'émotions à encaisser. La doctoresse comprend et hoche la tête, laissant la plus jeune s'en aller se changer, ne pouvant définitivement pas se permettre de sortir avec de tels vêtements. Ou plutôt, sous-vêtements…
En profitant pour y réfléchir, Izaya se rend compte à quel point elle a été torturée par ses émotions elle aussi.
Même en tant que psychologue, elle a eu du mal à maîtriser ses sentiments.
Elle s'est sentie comme vulnérable, elle s'est laissée emporter sans trop réfléchir.
C'est en commençant à prononcer des mots bien trop importants qu'elle s'est réveillée et qu'elle a arrêté.
Elle ne sait plus quoi penser de ce qu'elle ressent. Elle ne sait plus quoi dire sur Haruna.
Ou plutôt, elle le sait, mais elle contient ces pensées. Elle essaie désespérément de dompter ses instincts, ses envies. Oui, elle voulait la séduire, finir avec elle dans un lit... Mais c'est allé plus loin que prévu. Trop loin.
Elle se retenait vis à vis d'elle. Elle se retenait parce qu'elle la considérait trop "romantique".
Pourtant, elle n'a pas réussi à tout garder. Elle a dérapé très souvent, trop souvent, suffisamment pour arriver au point où elles se sont embrassées plusieurs fois.
En se rappelant de ces baisers, Izaya se touche les lèvres et rougit violemment.
Elle a embrassé tant de personnes, et pourtant...
Elle se sent comme une lycéenne, une vierge qui découvre ses envies.
Elle sait très bien ce qu'elle ressent, mais elle ne devrait pas.
Elle est bien plus jeune qu'elle, elle doit trouver des gens de son âge.
Et puis, elle ne sait même pas si elle est bien pour elle. Si elle la mérite.
Plissant des yeux, tristement, elle pousse un soupir.
En si peu de temps, elle a comme rattrapé tout ce qu'elle avait raté jusqu'ici.
Quand Haruna revient, Izaya sourit à nouveau, chaleureusement.
Elle retrouve cet habituel sourire, alors que Haruna lui propose de voir où elle habite.
Suite à cette révélation, les yeux d'Izaya se mettent à briller. Elle n'arrive pas à parler.
Elle a une montée brutale d'émotions, alors qu'Haruna caresse le chat.
Elle arrive au point où des larmes coulent sur ses joues.
Haha… Je suis vraiment une pleurnicharde. A mon âge, je ne devrais pas pleurer aussi facilement, surtout en tant que psychologue, haha !
Elle se met à rire nerveusement.
Visiblement, j'ai du mal à rester professionnelle avec toi. Je n'ai même pas pu te faire cette séance gratuite haha ! Ça sera peut-être pour une prochaine fois.
Elle marque une pause avant de se mettre debout et ranger les vêtements dans leurs sacs.
Avec ton bras cassé, je vais éviter de t'amener en moto, j'ai oublié ce petit détail l'espace de quelques secondes haha !
Elle laisse cependant les sacs à côté du divan.
Je peux t'amener en voiture si tu veux !
Haruna balbutie et accepte.
Cependant…
Néanmoins, pour ce qui est des vêtements, je peux peut-être les mettre dans le coffre maiiis… Je vais les laisser ici. Ça te donnera une raison pour revenir me voir, haha !
Taquine-t-elle en faisant un clin d'oeil.
Suite à ça, elles partent vers l'entrée. Izaya n'oublie pas de lui refaire l'écharpe rudimentaire, avant de s'approcher du porte-manteau et-
Hein ? OH ! Mais c'est ton manteau ! Tu l'as laissé ici la dernière fois ! Tiens, prends-le !
Elle le met sur elle, après avoir mis le sien.
Voi-là ! Cette fois, tu ne peux pas l'oublier !
Sortant dehors, elles partent donc au parking souterrain pour aller chercher la voiture, bien sûr assez large et luxueuse, alors qu'elle est seule. Une sorte de 4x4 si brillant qu'il paraissait neuf. Elle met sa ceinture, et elle réfléchit à mettre une musique… Mais elle ne le fait pas. Elle préfère rester dans ce silence apaisant, avant de se mettre en route.
C'est particulier.
C'est particulier parce qu'elle peut tourner la tête pour la voir maintenant.
Elle peut voir son visage.
Elle peut lui parler en l'entendant correctement.
Izaya ouvre une fenêtre en laissant son bras sortir, alors qu'elle admire toujours les lumières de la ville.
Je t'aime… Beaucoup.
Avoue-t-elle tout en fixant droit devant elle, n'osant pas tourner ses yeux vers l'Arai.
C'était juste…
Amical.
…N'est-ce pas ?
Voilà, c'est ici n'est-ce pas ?
Arrivées au lieu souhaité, Izaya observe curieusement depuis la voiture.
Elle soupire.
Elle tourne ensuite la tête, elle attrape le menton de la plus jeune…
Et elle l'embrasse.
…
Elle la fixe avec un regard sérieux.
Quelques secondes…
Avant de sortir et de lui ouvrir la porte.
Là là, il faudra un jour que tu me montres l'intérieur ! Mais je vais éviter de le faire maintenant et de déranger ta collègue. On se fera un petit rendez-vous ! Allez, repose-toi et dors bien mon cœur.
Elle écarquille les yeux et se met à rougir furieusement.
NON NON NON ! Attends, attends, je voulais dire, enfin, c'est affectueux et puis- hm. Hm.
Enfin, Izaya n'a pas la tête à y penser. Elle acquiesce simplement quand Haruna lui dit ça tout en acceptant de se faire amener.
Néanmoins, quand elle se met debout et que la Miyamoto commence à exprimer ce qu'elle ressentait vis à vis du baiser, cette dernière se fait vite couper par l'Arai, qui lève la main devant elle pour lui demander poliment que c'était trop pour elle, qu'elle a beaucoup d'émotions à encaisser. La doctoresse comprend et hoche la tête, laissant la plus jeune s'en aller se changer, ne pouvant définitivement pas se permettre de sortir avec de tels vêtements. Ou plutôt, sous-vêtements…
En profitant pour y réfléchir, Izaya se rend compte à quel point elle a été torturée par ses émotions elle aussi.
Même en tant que psychologue, elle a eu du mal à maîtriser ses sentiments.
Elle s'est sentie comme vulnérable, elle s'est laissée emporter sans trop réfléchir.
C'est en commençant à prononcer des mots bien trop importants qu'elle s'est réveillée et qu'elle a arrêté.
Elle ne sait plus quoi penser de ce qu'elle ressent. Elle ne sait plus quoi dire sur Haruna.
Ou plutôt, elle le sait, mais elle contient ces pensées. Elle essaie désespérément de dompter ses instincts, ses envies. Oui, elle voulait la séduire, finir avec elle dans un lit... Mais c'est allé plus loin que prévu. Trop loin.
Elle se retenait vis à vis d'elle. Elle se retenait parce qu'elle la considérait trop "romantique".
Pourtant, elle n'a pas réussi à tout garder. Elle a dérapé très souvent, trop souvent, suffisamment pour arriver au point où elles se sont embrassées plusieurs fois.
En se rappelant de ces baisers, Izaya se touche les lèvres et rougit violemment.
Elle a embrassé tant de personnes, et pourtant...
Elle se sent comme une lycéenne, une vierge qui découvre ses envies.
Elle sait très bien ce qu'elle ressent, mais elle ne devrait pas.
Elle est bien plus jeune qu'elle, elle doit trouver des gens de son âge.
Et puis, elle ne sait même pas si elle est bien pour elle. Si elle la mérite.
Plissant des yeux, tristement, elle pousse un soupir.
En si peu de temps, elle a comme rattrapé tout ce qu'elle avait raté jusqu'ici.
Quand Haruna revient, Izaya sourit à nouveau, chaleureusement.
Elle retrouve cet habituel sourire, alors que Haruna lui propose de voir où elle habite.
Suite à cette révélation, les yeux d'Izaya se mettent à briller. Elle n'arrive pas à parler.
Elle a une montée brutale d'émotions, alors qu'Haruna caresse le chat.
Elle arrive au point où des larmes coulent sur ses joues.
Haha… Je suis vraiment une pleurnicharde. A mon âge, je ne devrais pas pleurer aussi facilement, surtout en tant que psychologue, haha !
Elle se met à rire nerveusement.
Visiblement, j'ai du mal à rester professionnelle avec toi. Je n'ai même pas pu te faire cette séance gratuite haha ! Ça sera peut-être pour une prochaine fois.
Elle marque une pause avant de se mettre debout et ranger les vêtements dans leurs sacs.
Avec ton bras cassé, je vais éviter de t'amener en moto, j'ai oublié ce petit détail l'espace de quelques secondes haha !
Elle laisse cependant les sacs à côté du divan.
Je peux t'amener en voiture si tu veux !
Haruna balbutie et accepte.
Cependant…
Néanmoins, pour ce qui est des vêtements, je peux peut-être les mettre dans le coffre maiiis… Je vais les laisser ici. Ça te donnera une raison pour revenir me voir, haha !
Taquine-t-elle en faisant un clin d'oeil.
Suite à ça, elles partent vers l'entrée. Izaya n'oublie pas de lui refaire l'écharpe rudimentaire, avant de s'approcher du porte-manteau et-
Hein ? OH ! Mais c'est ton manteau ! Tu l'as laissé ici la dernière fois ! Tiens, prends-le !
Elle le met sur elle, après avoir mis le sien.
Voi-là ! Cette fois, tu ne peux pas l'oublier !
Sortant dehors, elles partent donc au parking souterrain pour aller chercher la voiture, bien sûr assez large et luxueuse, alors qu'elle est seule. Une sorte de 4x4 si brillant qu'il paraissait neuf. Elle met sa ceinture, et elle réfléchit à mettre une musique… Mais elle ne le fait pas. Elle préfère rester dans ce silence apaisant, avant de se mettre en route.
C'est particulier.
C'est particulier parce qu'elle peut tourner la tête pour la voir maintenant.
Elle peut voir son visage.
Elle peut lui parler en l'entendant correctement.
Izaya ouvre une fenêtre en laissant son bras sortir, alors qu'elle admire toujours les lumières de la ville.
Je t'aime… Beaucoup.
Avoue-t-elle tout en fixant droit devant elle, n'osant pas tourner ses yeux vers l'Arai.
C'était juste…
Amical.
…N'est-ce pas ?
Voilà, c'est ici n'est-ce pas ?
Arrivées au lieu souhaité, Izaya observe curieusement depuis la voiture.
Elle soupire.
Elle tourne ensuite la tête, elle attrape le menton de la plus jeune…
Et elle l'embrasse.
…
Elle la fixe avec un regard sérieux.
Quelques secondes…
Avant de sortir et de lui ouvrir la porte.
Là là, il faudra un jour que tu me montres l'intérieur ! Mais je vais éviter de le faire maintenant et de déranger ta collègue. On se fera un petit rendez-vous ! Allez, repose-toi et dors bien mon cœur.
Elle écarquille les yeux et se met à rougir furieusement.
NON NON NON ! Attends, attends, je voulais dire, enfin, c'est affectueux et puis- hm. Hm.
Re: Rétablissements [Pv. Miyamoto Izaya|+16]
Dim 31 Jan - 1:23
Rétablissements
Ft.Dr. Miyamoto Izaya
Alors qu'Haruna revenait tout juste de la chambre où elle s'était changée, laissant les habits là-bas, juste après avoir carressé Neptune, elle vit Izaya se mettre à fondre en larmes alors qu'elle lui proposait de venir voir chez elle rapidement. Elle ne voulait pas la forcer ni l'obliger à rester encore avec elle, elles avaient déjà passé la nuit et la journée ensemble, mais lorsqu'elle vit cette dernière craquer, elle paniqua, ne sachant pas ce à quoi c'était dû.
« Hein ?! Qu'est-ce qu'il y a Izaya ? Qu'est-ce qui ne va pas ? »
S'empressant d'aller vers la femme qu'elle appréciait de plus en plus, encore perdue dans ses sentiments exacts pour mettre un qualificatif précis sur ce qu'elle ressentait, elle ne s'attendait certainement pas à provoquer des pleurs chez la trentenaire. Hésitante, ne sachant pas si elle devait aller au contact ou si la psy préférait avoir un certain espace dans ces instants là, elle décida finalement de lui prendre la main comme cette dernière l'avait fait pour elle dans ses moments de panique. Ça l'avait rassuré, alors peut-être que ça marcherait pour elle aussi ?..
« C'est... C'est vraiment pas grave pour cette histoire de séance gratuite tu sais... Je gère plutôt bien quand même... Bon, pas sur l'instant, mais avec un peu de temps je m'en sors toujours. »
Faisant un sourire mi-amusé mi-gêné, la demoiselle laissa Izaya se reprendre et elle l'aida tant bien que mal à ranger les vêtements, cette dernière étant visiblement plus portée sur la chose qu'Haruna qui avait tendance à ne pas trop y faire attention. Par manque d'habitude plus que par fainéantise ou par bordélisme. Elle n'avait jamais eu autant d'affaires. Lorsqu'elle mentionna la moto, l'Arai ne put s'empêcher de rougir. Elle n'aurait pas été contre un tour avec elle, mais maintenant qu'elle le disait, c'était vrai que son bras ne rendait pas la balade aisée.
« Ça me va oui... »
Lorsqu'elle revira sur la question des vêtements, un peu taquine au passage, Haruna lui sourit. Un sourire doux, attendri. L'idée lui plaisait bien. Et que la psy se remette aussi vite de ce craquage passagé la rassurait aussi. Elle rougit cependant bien vivement lorsque Izaya lui rappela son manteau. Elle l'avait TOTALEMENT oublié, loin dans son esprit. Elle qui l'avait laissé là à son premier passage avait, les deux fois, découvert tant d'émotions, de sentiments si brusquement qu'elle en était entièrement déboussolée. Sa veste à nouveau sur les épaules, une tenue toute neuve en dessus, elle suivit la Miyamoto jusqu'à sa voiture pour le moins imposante.
Attachant sa ceinture de sécurité avec précaution pour son bras encharpé, elle profite du vent et du calme nocturne de l'extérieur avec la psy qui choisit de ne pas mettre de musique. Alors qu'elle allait et venait dans ses pensées, Izaya parla comme si de rien n'était. Si dans un premier temps, ses mots ne percutèrent pas dans l'esprit d'Haruna, au bout de quelques secondes, elle vira couleur pivoine, ne s'attendant pas du tout à ce genre de déclaration sur la comète.
Baffouillant à la question de la doctoresse sur le lieu, encore toute chamboulée, la jeune fille lui fit indiqua l'adresse, deux pâtés de maison plus loin. Elle l'avait laissé au konbini l'autre fois et heureusement, ce n'était pas très loin de là où elle habitait désormais. Elle n'aurait pas voulu devoir s'expliquer sur la distance entre chez elle et le konbini si elle avait logé à l'autre bout du quartier.
Alors qu'elle se remettait tout juste de la déclaration précédente d'Izaya, cette dernière l'attrapa par le menton pour l'embrasser sans plus de cérémonie, sans lui laisser le temps de comprendre ou de réagir. Commençant doucement à comprendre quoi faire, elle avait cependant encore du mal à accompagner sa partenaire. Toute rouge lorsque cette dernière la relacha, elle baissa la tête et fixa ses genoux alors qu'Izaya descendait et faisait le tour pour lui ouvrir.
« D'a... D'accord... »
Elle ne parvint qu'à dire ce mot unique alors que la Miyamoto semblait se jouer encore d'elle, lui donnant un nouveau surnom affectif et la faisant rougir jusqu'aux oreilles. À chaque fois que le sang commençait à reprendre une position normale, la psy semblait s'amuser à le faire repartir n'importe où. Elle contrôlait littéralement l'Arai qui essayait désespérément d'être un peu moins gênée sans parvenir à maîtriser ses émotions le moins du monde.
Lorsque Izaya s'expliqua, elle hocha la tête en détournant le regard, intimidée à nouveau. Elle était plus grande que la psy de quelques centimètres mais elle se sentait plus petite avec elle. Haruna hésita de longues secondes, se mordant la lèvre, avant de finalement craquer.
« Moi... Moi aussi... Je t'aime beaucoup... »
Retournant au carmin, elle fila sans demander son reste vers la porte de l'immeuble, l'ouvrant de sa main saine avant de disparaître derrière le battant de l'entrée. Tout juste rentrée, elle s'adossa au mur, haletante. Elle essaya de se calmer mais elle avait tant de mal à gérer ses émotions. Elle n'avait pas attendu de réponse ou de réaction de la part de la Miyamoto. Elle n'avait aucune idée de comment elle avait pu prendre cette information. Elle n'aurait pas tenu le choc si la doctoresse l'avait mal prit, ou l'avait reçu avec un doute. Ça aurait été insupportable tant ses sentiments étaient forts, dévastateurs. Alors elle préférait ne pas savoir pour l'instant. Est-ce qu'elle avait seulement compris ce qu'elle voulait vraiment dire ? Ou est-ce qu'Izaya ne la voyait pas du tout comme ça, juste comme un amusement passager ? Cette idée commençait à la dévorer, à l'effrayer. Grimpant rapidement les escaliers pour se fatiguer et s'empêcher d'y penser plus longtemps, la Joueuse rentra vite dans l'appartement et alla s'effondrer sur le divant, épuisée.
Ne prenant pas la peine de discuter avec Elena pour l'heure, n'ayant pas l'énergie pour se lever et se préparer à manger, elle se laissa juste sombrer dans un sommeil particulièrement instable et entrecoupé de cauchemars. Si jusque là elle avait été en course quasi permanente avec ses sentiments et ses émotions envers Izaya, elle était maintenant dévorée par le retour de bâton de son donjon punitif dont l'horreur ne l'avait pas quitté. Elle s'était juste tapie dans l'ombre le temps qu'elle baisse sa garde, et c'était maintenant chose faite...
« Hein ?! Qu'est-ce qu'il y a Izaya ? Qu'est-ce qui ne va pas ? »
S'empressant d'aller vers la femme qu'elle appréciait de plus en plus, encore perdue dans ses sentiments exacts pour mettre un qualificatif précis sur ce qu'elle ressentait, elle ne s'attendait certainement pas à provoquer des pleurs chez la trentenaire. Hésitante, ne sachant pas si elle devait aller au contact ou si la psy préférait avoir un certain espace dans ces instants là, elle décida finalement de lui prendre la main comme cette dernière l'avait fait pour elle dans ses moments de panique. Ça l'avait rassuré, alors peut-être que ça marcherait pour elle aussi ?..
« C'est... C'est vraiment pas grave pour cette histoire de séance gratuite tu sais... Je gère plutôt bien quand même... Bon, pas sur l'instant, mais avec un peu de temps je m'en sors toujours. »
Faisant un sourire mi-amusé mi-gêné, la demoiselle laissa Izaya se reprendre et elle l'aida tant bien que mal à ranger les vêtements, cette dernière étant visiblement plus portée sur la chose qu'Haruna qui avait tendance à ne pas trop y faire attention. Par manque d'habitude plus que par fainéantise ou par bordélisme. Elle n'avait jamais eu autant d'affaires. Lorsqu'elle mentionna la moto, l'Arai ne put s'empêcher de rougir. Elle n'aurait pas été contre un tour avec elle, mais maintenant qu'elle le disait, c'était vrai que son bras ne rendait pas la balade aisée.
« Ça me va oui... »
Lorsqu'elle revira sur la question des vêtements, un peu taquine au passage, Haruna lui sourit. Un sourire doux, attendri. L'idée lui plaisait bien. Et que la psy se remette aussi vite de ce craquage passagé la rassurait aussi. Elle rougit cependant bien vivement lorsque Izaya lui rappela son manteau. Elle l'avait TOTALEMENT oublié, loin dans son esprit. Elle qui l'avait laissé là à son premier passage avait, les deux fois, découvert tant d'émotions, de sentiments si brusquement qu'elle en était entièrement déboussolée. Sa veste à nouveau sur les épaules, une tenue toute neuve en dessus, elle suivit la Miyamoto jusqu'à sa voiture pour le moins imposante.
Attachant sa ceinture de sécurité avec précaution pour son bras encharpé, elle profite du vent et du calme nocturne de l'extérieur avec la psy qui choisit de ne pas mettre de musique. Alors qu'elle allait et venait dans ses pensées, Izaya parla comme si de rien n'était. Si dans un premier temps, ses mots ne percutèrent pas dans l'esprit d'Haruna, au bout de quelques secondes, elle vira couleur pivoine, ne s'attendant pas du tout à ce genre de déclaration sur la comète.
Baffouillant à la question de la doctoresse sur le lieu, encore toute chamboulée, la jeune fille lui fit indiqua l'adresse, deux pâtés de maison plus loin. Elle l'avait laissé au konbini l'autre fois et heureusement, ce n'était pas très loin de là où elle habitait désormais. Elle n'aurait pas voulu devoir s'expliquer sur la distance entre chez elle et le konbini si elle avait logé à l'autre bout du quartier.
Alors qu'elle se remettait tout juste de la déclaration précédente d'Izaya, cette dernière l'attrapa par le menton pour l'embrasser sans plus de cérémonie, sans lui laisser le temps de comprendre ou de réagir. Commençant doucement à comprendre quoi faire, elle avait cependant encore du mal à accompagner sa partenaire. Toute rouge lorsque cette dernière la relacha, elle baissa la tête et fixa ses genoux alors qu'Izaya descendait et faisait le tour pour lui ouvrir.
« D'a... D'accord... »
Elle ne parvint qu'à dire ce mot unique alors que la Miyamoto semblait se jouer encore d'elle, lui donnant un nouveau surnom affectif et la faisant rougir jusqu'aux oreilles. À chaque fois que le sang commençait à reprendre une position normale, la psy semblait s'amuser à le faire repartir n'importe où. Elle contrôlait littéralement l'Arai qui essayait désespérément d'être un peu moins gênée sans parvenir à maîtriser ses émotions le moins du monde.
Lorsque Izaya s'expliqua, elle hocha la tête en détournant le regard, intimidée à nouveau. Elle était plus grande que la psy de quelques centimètres mais elle se sentait plus petite avec elle. Haruna hésita de longues secondes, se mordant la lèvre, avant de finalement craquer.
« Moi... Moi aussi... Je t'aime beaucoup... »
Retournant au carmin, elle fila sans demander son reste vers la porte de l'immeuble, l'ouvrant de sa main saine avant de disparaître derrière le battant de l'entrée. Tout juste rentrée, elle s'adossa au mur, haletante. Elle essaya de se calmer mais elle avait tant de mal à gérer ses émotions. Elle n'avait pas attendu de réponse ou de réaction de la part de la Miyamoto. Elle n'avait aucune idée de comment elle avait pu prendre cette information. Elle n'aurait pas tenu le choc si la doctoresse l'avait mal prit, ou l'avait reçu avec un doute. Ça aurait été insupportable tant ses sentiments étaient forts, dévastateurs. Alors elle préférait ne pas savoir pour l'instant. Est-ce qu'elle avait seulement compris ce qu'elle voulait vraiment dire ? Ou est-ce qu'Izaya ne la voyait pas du tout comme ça, juste comme un amusement passager ? Cette idée commençait à la dévorer, à l'effrayer. Grimpant rapidement les escaliers pour se fatiguer et s'empêcher d'y penser plus longtemps, la Joueuse rentra vite dans l'appartement et alla s'effondrer sur le divant, épuisée.
Ne prenant pas la peine de discuter avec Elena pour l'heure, n'ayant pas l'énergie pour se lever et se préparer à manger, elle se laissa juste sombrer dans un sommeil particulièrement instable et entrecoupé de cauchemars. Si jusque là elle avait été en course quasi permanente avec ses sentiments et ses émotions envers Izaya, elle était maintenant dévorée par le retour de bâton de son donjon punitif dont l'horreur ne l'avait pas quitté. Elle s'était juste tapie dans l'ombre le temps qu'elle baisse sa garde, et c'était maintenant chose faite...
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