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Akashi Ellyot
Akashi Ellyot
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Mer 2 Déc - 19:20
Même un homme peut devenir un monstre.
Ça devait faire une heure que mon réveil sonnait, signe que je devais me lever pour me préparer et aller au boulot. Quel débile, j'avais oublié d'éteindre l'alarme de 16h00 afin de profiter de ma journée de repos après cette foutue quête hebdomadaire. Ma main partait derrière la table de nuit, cherchant après la prise du réveil pour, une fois l'avoir trouvé et agrippé, tiré d'un coup sec et la débrancher, éteignant le réveil par la même occasion et me donnant l'occasion de retourner dans les bras de Morphée. Ce jour-là, et ce jusqu'au lendemain après-midi, j'avais prévu de dormir à poings fermés et personne ne viendrait m'emmerder ou ne parviendrait à me faire sortir de mon lit douillet. J'avais bien dit personne…

Il fallait que ça soit à ce moment là que mon téléphone sonna. Non, j'avais dit que personne ne me dérangerait, donc je ne décrochai pas. Une deuxième tentative, pas de réponse. Une troisième, pas de réponse. Une quatrième et je finis par mettre mon téléphone en mode avion. Enfin la paix... Et cette fois-ci, ce fut Eileen qui débarqua dans ma chambre, toujours en pyjama d'ailleurs, pour me dire que quelqu'un voulait me parler sur le téléphone fixe de l'appartement. Je rouvrais les yeux, les poings serrés et l'envie de frapper dans quelque chose avant de me lever, me grattant l'arrière du crâne, et de me diriger dans le salon pour prendre l'appareil qui était posé sur la table. Une fois à mon oreille, je prononçais un simple allo pour finalement entendre la voix de la personne à l'autre bout du fil. Le patron ? Il avait intérêt à avoir une excellente excuse s'il ne voulait pas que je réfléchisse à une potentielle démission.
"Ellyot, faut que tu viennes !"

"Je suis censé être en repos je vous rappelle…"

"Le bar a été attaqué par des brigands dans la journée, ils ont… Non, faut que tu viennes voir, ils t'ont laissé un message !"

Sa respiration était saccadée, son ton effrayé et sa voix tremblait bien qu'il arrivait à prononcer les mots qu'il souhaitait. Je l'avais compris, c'était grave. Je raccrochais, passais un coup rapide à la douche avant de m'habiller et de me diriger vers le bar. Qui s'occupait du bar à ce moment-là ? Normalement, c'était Stella et Marco, une américaine et un italien que le patron avait engagés au printemps dernier. Ça faisait trois mois qu'ils géraient les horaires de jour du bar et il n'y avait jamais eu le moindre problème, même avec des petites frappes qui étaient déjà venues foutre le bordel. Mais le plus intriguant, c'était le fait qu'un message m'était destiné. Pourquoi moi en particulier ? Je m'étais probablement attiré les foudres d'un gang ou une bêtise du style et il voulait me montrer qui était le patron. Si c'était juste ça, la démarche à suivre était simple. Si c'était juste ça…

Une ambulance et la police ? C'était à ce point-là ? Mais enfin, c'étaient qui ces types ? J'approchais du bar jusqu'à ce qu'un policier m'arrête, interdisant les civils sur la scène de crime. Scène de crime, pardon ?! Calmement, je lui expliquai que c'était mon lieu de travail et que j'avais été appelé par mon patron, informations qui furent suffisantes pour que le policier me laisse passer tout en me prévenant que c'était horrible. Je me dépêchai d'entrer dans le bar pour finalement voir le fameux message qui m'était destiné… Marco était au fond du bar, le bras en écharpe et lui en pleurs, expliquant ce qui était arrivé à un policier tandis que devant moi se trouvait un corps de sexe féminin, nu et recouvert de blessures. Je ne voyais que la partie basse, le haut étant caché par une partie du comptoir, mais j'avais compris, les expressions présentes étaient suffisantes pour que je comprenne. J'avançai de quelques pas, lentement, pour finalement me tourner vers le comptoir, des lettres écrites avec du sang s'y trouvant et formant un message à mon attention.

"Elle sera la suivante, Akashi Ellyot."

Je fermais les yeux, contenant ma colère… Pas contre eux, mais contre moi. C'était encore moi qui attirais les ennuis. À croire que je ne savais faire que ça… Ils voulaient donc s'en prendre à Eileen ensuite ? Ils n'avaient pas idée de l'erreur que c'était. Le policier qui recevait la déposition de mon collègue finit par s'approcher de moi, me demandant si j'avais une idée de ce qui avait pu amener à de tels actes barbares. Je lui expliquai les quelques idées que j'avais, à savoir le type que j'avais réussi à arrêter il y a environ deux semaines et qui avait tenté de se barrer avec la caisse de la journée ou l'histoire qui s'était passé il y a quelques jours à Sapporo. J'ignorais si les deux affaires étaient liées, mais quelqu'un m'en voulait, c'était certain, mais je n'allais pas me cacher dans mon coin en me recroquevillant sur moi-même. Ce gang voulait guerre, il venait de trouver pire. Le patron me prit à part, voulant discuter avec moi.

"Fais pas de conneries. Ce ne sont pas juste des mecs bourrés ou des petites frappes dont on parle ici. Il y a eu un viol et un meurtre."

"Patron, vous m'avez engagé comme videur pour protéger le bar, je me trompe ? Le bar a l'air protégé là ? Ce ne sont pas des mecs bourrés ou des petites frappes, vous avez raison, mais c'est à cause de moi que tout ça est arrivé et une employée en a subi les frais. Je ne peux pas ne pas intervenir, c'est impossible et vous le savez très bien."

"Je sais que tu es fort, mais on parle d'un gang capable de faire ce genre d'atrocités ! Ça va au-delà du contrat que t'as signé !"

"Alors acceptez ce que je compte faire comme remerciement pour vous être occupé de moi ces trois dernières années alors que rien ne vous y obligeait. Après ma sœur, vous êtes la personne en laquelle j'ai le plus confiance. Alors laissez-moi faire, je vous en prie."

"Putain… Bon, Marco a retenu le symbole qu'ils portaient et il en pas parlé aux flics. Il a déjà envoyé l'info à notre informaticien préféré, je lui dis de te prévenir quand il a les infos. Tu reviens entier, c'est un ordre."

"C'est vous le patron, patron."
Akashi Ellyot
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Mer 2 Déc - 19:21
Même un homme peut devenir un monstre.
J'étais face à un entrepôt désaffecté, destination que m'avait donné un de mes collègues du bar, un ancien informaticien qui était un petit génie de la recherche d'informations sur le net. Avec la description donnée par Marco et les images de surveillance du bar, il réussit à trouver une piste qu'il s'était amusé à remonter pendant un peu plus d'une heure pour finalement tomber sur quelque chose de sérieux. Un petit gang de Tokyo qui faisait assez de bruit pour être connu, mais pas assez pour que la police intervienne, un grand classique en somme. Il me donna l'adresse qui semblait être celle de leur repère et voilà comment je me retrouvais là, réfléchissant à comment j'allais procéder. Foncer dans le tas n'était pas malin, je ne connaissais rien d'eux et s'ils avaient potentiellement ne serait-ce qu'un éveillé assez fort pour me résister, c'était perdu d'avance. Non, il me fallait récupérer des informations et le meilleur moyen, c'était de les soutirer à un sous-fifre qui préférait être une balance que de ressentir la douleur.

Je pénétrais donc en territoire ennemi, rasant les murs et avançant le plus discrètement possible, évitant les endroits trop éclairés par les ampoules qui fonctionnaient encore. Aucun homme à l'extérieur pour surveiller ? C'était vraiment un petit gang sans intérêt pour ne même pas poster au moins un ou deux mecs en surveillance. Je n'avais même pas besoin d'utiliser mes compétences pour progresser dans le bâtiment et ce n'était pas plus mal au fond, je préférais les garder pour mes véritables cibles. Car oui, je n'étais pas venu avec comme objectif de tous les tuer, ça n'aurait eu aucun sens. Je comptais juste les blesser suffisamment pour qu'ils ne puissant plus agir et après, je m'occuperais de ceux qui avaient commis ces atrocités en prenant mon temps, leur faisant ressentir tout l'effroi et la douleur que ma collègue avait pu ressentir avant de lâcher son dernier souffle. Je détestai cette sensation, celle de devoir aller aussi loin, mais je ne pouvais pas me permettre de laisser de tels monstres en vie, pas dans ce genre de monde où un prisonnier à vie peut sortir au bout de quinze ou vingt ans.

Au détour d'un couloir, je finis par voir un type qui avançait dans ma direction. Il ne m'avait pas vu, les ampoules de mon côté ne fonctionnant pas, et je me remettais dans l'angle du mur, attendant qu'il passe devant moi. Toutefois, il n'était pas débile, prenant son téléphone pour utiliser l'option lampe torche afin d'éclairer la portion de l'endroit qu'il devait vérifier. Je fermais les yeux, écoutant le son de ses pas qui se rapprochait, tapant parfois dans une brique décrochée d'un mur ou un morceau de verre venant des vitres brisées. J'attendais, calmement, méthodiquement, prêt à passer à l'attaque à la seconde même où il serait à côté. C'est alors qu'une voix l'interpella, le faisant s'arrêter. Merde, un autre ? Je ne bougeais pas, écoutant l'échange entre les deux. Ils parlaient de ce qui était arrivé au bar et se mirent à rire, disant que je l'avais bien cherché à cause des deux fois où je leur avais fait perdre des hommes. C'était donc ce gang qui était lié à ces deux histoires ? Bien, au moins je savais à quoi m'attendre de ce côté-là. Ils reprirent la ronde à deux, s'approchant de là où je me trouvais. Une fois qu'ils furent à ma hauteur, je sortais rapidement, portais un premier coup de poing assez violent pour mettre K.O. l'un des d'eux avant de plaquer le deuxième contre un mur, ma main sur sa bouche tout en lui demandant très calmement s'il savait quoi que ce soit à propos de l'accident du bar, tout en précisant que la moindre tentative de cri se solderait par un arrachage de dent à mains nues. Il fut compréhensif et me donna de suite le nom d'un des coupables ainsi que l'endroit où il se trouvait actuellement. Je le remerciai poliment avant de le mettre K.O. à son tour. Je n'avais pas besoin de gêneurs.

Je pris la direction du sous-sol, celui dont l'identité qui m'avait été donné s'étant fait un malin plaisir à transformer la salle du générateur en salle de torture. Quel coup de chance, il allait pouvoir y goûter. Je descendais tranquillement jusqu'à finalement arriver devant sa porte, porte à laquelle je toquai deux fois avant d'entendre un "quoi ?" qui je pris comme une permission d'entrer. Un coup de pied ouvrit la porte et la fit sauter de ces gonds avant que je me jette sur le mec en face de moi, un type plutôt grand et musclé, mais qui ne put répliquer à cause de l'effet de surprise. Assommé, il me laissait le temps d'utiliser les outils de la pièce pour l'attacher et préparer cet interrogatoire. Je dus lui mettre deux claques pour le réveiller afin qu'il puisse enfin répondre à mes questions.

"Salut toi, t'as deux minutes ? J'ai quelques questions à te poser."


"Vas te faire enculer !"

"Dommage, mauvaise réponse.", disais-je avant de planter un couteau reliée à un câble électrique et de jouer avec le générateur, lui faisant lâcher un cri de douleur qui devait sûrement résonner dans tout le bâtiment. "C'est bon, t'es prêt à me parler ? J'ai toute ma soirée alors que toi, je te donne grand maximum une heure avant de finir en steak."

"Qu'est-ce que tu veux ?!"

"Les nom des autres gars responsables de ce qui est arrivé au Second Luck de Tokyo aujourd'hui ainsi que l'identité de la personne qui a donné cet ordre.", répondis-je d'un ton froid, presque robotique.

"Et si je veux pas ?!"

"Dommage, mauvaise réponse.", m'exclamais-je avant de rejouer avec le bouton du générateur, montant la puissance plus haute que tout-à-l'heure. "Du coup ?"

"C'est notre chef qu'a demandé ça ! T'as arrêté à deux reprises nos gars et il voulait te faire passer un message ! Les autres responsables, c'est les deux gardes qui l'accompagnent en permanence ! Maintenant, laisse-moi partir !"

"Merci. Et non, tu vas crever ici.", répondais-je en tournant le bouton jusqu'au maximum, faisant sauter un paquet d'ampoules et les hurlements de ma victime résonnants avec encore plus de puissance que précédemment. "T'as du bol que je te tue, les traitres subissent bien pire.
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Mer 2 Déc - 20:16
Même un homme peut devenir un monstre.
Le noir avait pris totalement place dans le bâtiment. Plus aucune installation électrique ne fonctionnait, provoquant des mouvements un peu partout. Ils l'avaient compris, un intru était là, mais ils ignoraient où j'étais et tout cela allait être à mon avantage. Pas compliqué de savoir où serait le chef, sûrement dans une salle qui serait une énième reproduction foireuse d'une salle du trône, avec les vitres cassées, probablement un tonneau en feu et le plafond en partie écroulé. Un premier type finit par arriver à mon niveau et je l'attrapais, lui faisant une clé de bras jusqu'à briser le sien avant de le jeter par la fenêtre. Blesser tout ceux qui n'avaient rien à voir avec ça et ne tuer que les principaux coupables. Objectifs simples, surtout que je voyais que ces soi-disant gangsters n'étaient en fait qu'un regroupement de boulets qui se prenaient pour des durs. Mais où va la jeunesse, je vous jure… Ah oui, j'en fais théoriquement partie de la jeunesse. Bah elle part en couilles ma bonne dame.

Le même schéma se reproduisait : un type, un os brisé, une défenestration et au suivant. J'avais presque la sensation d'être dans un beat them all mal branlé, avec les ennemis qui sont débiles au possible et le gameplay qui se contentait des trois mêmes mouvements en permanence. N'empêche que plus j'avançais, plus je voyais leurs visages se décomposer et être effrayés par ce qu'il voyait. Qu'est-ce qu'il voyait d'ailleurs, quelle expression avais-je ? Je n'en avais aucune idée, mon esprit était trop concentré sur mon objectif pour que je ne le sache, mais vu leurs têtes, je ne devais pas avoir mon air neutre habituel. Peut-être que j'arborais un immense sourire sadique et diabolique, peut-être que mon regard était injecté de sang, peut-être que j'avais juste l'air d'un fou. Je l'ignorais, mais je n'en avais que faire, je voulais simplement finir ça le plus vite pour rentrer chez moi et reprendre mon sommeil qu'ils avaient interrompu.

Je finis par arriver près de la salle du chef. En même temps, quel débile de poser une grosse pancarte "bureau du chef" à l'entrée. Je jetais un œil à mon interface système : mes points de vie étaient pratiquement à fond, mon énergie aussi, j'allais m'amuser. J'ouvris la porte tout en activant ma dernière trouvaille : la marche des ombres. Évidemment, le chef poussa un cri, sommant à la personne qui venait d'ouvrir la porte de se montrer, mais rien ne leur apparu. Non, j'étais resté dans l'ombre, avançant lentement, alourdissant le son de mes pas pour qu'il résonne dans la pièce. Ils étaient tous là, lui et ses deux gardes du corps, c'était parfait. Je continuais d'avancer, me situant bientôt derrière eux. Je pouvais le voir, ils étaient effrayés, en particulier le chef qui regardait tout autour de lui en suant à grosse goutes. Un vrai porc celui-là, dans sa chemise trop petite pour lui qui était couvertes de traces de sauce. Tu allais être le dernier mon cochon, j'allais d'abord m'occuper de tes deux hommes.

J'étais juste derrière l'homme à la droite du chef et j'engageai finalement le dernier acte avec puissant coup de pied dans le foie qui le fit valdinguer sur plusieurs mètres avant d'éviter un coup de l'autre homme de main et de lui porter un violent coup de poing dans le coude, pliant son bras dans le mauvais sens et faisant ressortir les os à travers la peau. Le chef hurlait, suppliant pour l'arrivée de son gang, mais personne ne vint et il n'osait pas bouger alors que ses sbires se relevaient difficilement, ne sachant pas comment s'occuper de moi. Je finis par mettre mes mains dans mes poches, les invitant à venir me frapper. Ils essayèrent, de toutes leurs forces, mais ils ne parvenaient pas à me toucher et c'était normal : ils n'étaient que des humains, pas des éveillés. J'esquivai un énième coup avant de les attraper tous les deux et de les plaquer au sol, les enfonçant légèrement dans le sol et les ayant presque rendus inconscients, mais je n'allais pas m'arrêter là.

Ils avaient adoré utiliser leurs parties reproductrices plus tôt, j'allais donc me faire un plaisir de les en alléger. Je sortis mon poing-lame, ne cachant nullement ma nature de Joueur fasse à eux, c'était inutile comme ils allaient mourir, avant de pointer l'entrejambe de l'un d'entre-eux et de porter un coup qui sectionna le service trois-pièces. Le sang giclait, mon poing en était recouvert, mais cela n'allait pas m'arrêter et je refaisais la même chose au deuxième, provoquant une autre giclée de sang qui atteint mon visage cette fois-ci. Les deux hommes ne répondaient plus, probablement inconscients et en train de mourir de l'hémorragie qu'ils subissaient tous les deux. Enfin, il ne restait plus que l'instigateur de tout ça, le petit cochon. Je m'approchais de lui, doucement, jusqu'à finalement arrivé à son niveau avant de lui arracher sa chemise. J'essuyais le sang qui me recouvrait avec cette dernière avant de la lui mettre en bouche pour qu'il évite de crier. Je le jetais au sol et me mit au travail.

J'attrapais sa main droite, la regardant dans un premier temps avant de poser mon regard sur le sien et de pousser sur la phalange à l'extrémité de son auriculaire, cette dernière se brisant. Je pouvais lire la douleur sur son visage, mais ce n'était que le début. Je continuais le procédé méticuleusement, passant de phalange en phalange avant de recommencer avec un autre doigt, puis encore un autre, puis encore un autre, puis encore un, puis encore un, encore un, encore un, encore et encore jusqu'à ce que ses deux mains soient totalement brisées. Je me relevai, toujours en le regardant, sans jamais le lâcher, pour arriver au niveau de sa tête, retirer le bâillon improvisé et de poser mon pied sur sa gorge, commençant tout doucement à l'écraser.

"Pitié, me tues pas. Je le ferais plus, je le jure !"

"Ne pas te tuer ? C'est aussi ce que ma collègue a dû dire à tes hommes, non ? Elle devait hurler la même chose quand ils ont abusé d'elle avant de lui enlever la vie ? Pourquoi je devrais t'épargner, parce que ce n'est pas toi qui l'a fait ? Mais tu en as donné l'ordre, je me trompe ? C'est donc toi le principal coupable de tout ça. Tu te rends compte ? Juste parce que tu as ordonné à un de tes hommes de voler mon lieu de travail, tu vas perdre la vie. C'est injuste, pas vrai ?" monologuais-je, le ton froid et inexpressif.

"Je t'en supplie, je ne peux plus respirer, je veux pas mourir…"

"Elle non plus ne voulait pas mourir. T'avais qu'à directement venir me voir, on aurait réglé ça entre nous. T'as préféré jouer au gros dur et voulu te venger non pas une, mais deux fois. Que tes petits macaques viennent m'emmerder à Sapporo, je peux encore laisser passer, bien que t'ais choisi le pire jour pour ça. Mais que tu impliques des innocents, que tu leur arraches la vie et que tu te permettes de menacer ma famille, ça ne te donne plus le droit de vivre !", hurlais-je de rage, augmentant la pression de mon pied sur sa trachée. "Tu es un monstre. Je suis un chasseur. Et les chasseurs tuent les monstres. Au revoir, petit cochon.", terminais-je avant de mettre toute ma force dans ma jambe, écrasant sa gorge et brisant sa nuque.

C'était fini, enfin fini. Je pris un instant pour sortir une clope et l'allumer avant de tire un coup dessus. J'avais mal, tellement mal. Pour la première fois, je venais de tuer volontairement, sans circonstance atténuante, sans excuse. J'avais tué des humains. Oui, je les voyais comme des monstres, mais ils étaient humains. J'avais mal, j'avais peur. Je m'effrayais. Était-ce la route sur laquelle je m'engageais ? Étais-je condamné à devenir un monstre ? Je ne savais, ne voulais pas savoir. Je voulais oublier, ne plus me souvenir de cette soirée. Je voulais juste rentrer chez moi et dormir, le plus longtemps possible…

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